CHRONOLOGIE DES NOUVELLES DÉCOUVERTES
Vous trouverez la suite à la page suivante :
Voici « l'onde de LaFrenière ».
C'est l'une de mes découvertes, et j'affirme qu'il s'agit d'un électron.
Si vous parlez de cette onde, vous êtes priés de respecter son nom.
Page d'accueil : La matière est faite d'ondes.
Ce site propose une explication révolutionnaire de tous les phénomènes physiques. Il montre que la matière et tous les phénomènes physiques peuvent s'expliquer uniquement à l'aide d'ondes. Le but de cette page est d'éviter ce qui s'est produit lors de la mise au point de la théorie de la Relativité. De toute évidence, les historiens des sciences n'ont pas fait leur travail, puisqu'il devient de plus en plus évident que la Relativité est une découverte conjointe de Hendrick Lorentz et de Henri Poincaré (1904). La contribution d'Albert Einstein (1905) est pour ainsi dire à peu près nulle. Einstein a été soutenu par toutes sortes d'influences bien orchestrées. Sa théorie de la Relativité restreinte s'avère exacte dans son application, mais elle n'en est pas moins erronée en ce qui concerne les faits. Pire encore, la gravitation n'a rien à voir avec la Relativité. Il devient donc inutile de distinguer la Relativité restreinte de la Relativité générale. Pour des raisons que je m'explique mal, ni Lorentz ni Poincaré n'ont dénoncé vigoureusement l'attitude d'Einstein. Par mesure de précaution, avant que des influences dévastatrices semblables ne se fassent de nouveau sentir, je préfère aiguiller moi-même le train sur les bons rails. Je ne suis pas un historien des sciences. Dans cette page, je ne prétends donc pas être exact ni exhaustif. Fort heureusement, l'Internet permet aujourd'hui à chacun de s'exprimer librement. Ceux qui ne seront pas d'accord auront tout le loisir de rectifier les choses à leur manière. Mis à part les commentaires ci-dessous, je prétends être le seul à l'heure actuelle qui soit capable d'expliquer le fonctionnement mécanique de la matière et de tous les phénomènes physiques d'une manière cohérente et complète. Et j'arrive à le faire uniquement à l'aide de l'électron. Rien d'autre. Cette théorie est donc particulièrement belle parce qu'elle est simple. La liste de toutes les innovations dont je réclame la paternité figure dans cette page. On constatera que cette liste est très longue. Je précise que j'ai bel et bien fait toutes ces découvertes seul et sans aide, mais que pour quelques-unes, je n'étais pas le premier. J'ai donc pris la peine de faire un préambule sur les précurseurs. Toutefois, j'ai maintenant plusieurs collaborateurs, en particulier MM. Philippe Delmotte, Anselme Dewavrin et Jocelyn Marcotte. Quelques autres préfèrent conserver l'anonymat. Il arrive donc maintenant que je ne sois plus l'auteur de certaines découvertes, et en pareil cas je me fais un point d'honneur de le préciser comme vous le verrez plus loin. J'insiste tout particulièrement sur le fait que l'électron peut se déplacer par effet Doppler. C'est bien évidement cette mobilité qui est capitale. Toute la mécanique ondulatoire en dépend, d'autant plus que l'énergie est le résultat du mouvement : c'est de l'énergie cinétique. Il faudra donc remplacer le terme de thermodynamique par celui de « cinédynamique » : les ondes stationnaires de la matière, si elles sont comprimées par effet Doppler, peuvent être stockées d'une manière plus ou moins stable dans les champs de force gluoniques et électrostatiques ; à leur tour, ceux-ci peuvent restituer cette énergie en accélérant les particules impliquées. Je réclame donc d'abord et avant tout la paternité de cet électron mobile, c'est à dire « l'Onde de LaFrenière » dont on aura vu une animation au début de cette page. |
LES PRÉCURSEURS
1895 - HENDRICK ANTOON LORENTZ (1853 – 1928)
Comme FitzGerald, Lorentz a d'abord supposé que l'interféromètre de Michelson devait se contracter. Mais il est allé beaucoup plus loin en appliquant les transformations de Voigt (1887) à la matière elle-même, ce qui donnait à penser qu'en plus de se contracter, l'interféromètre présentait un temps local et que sa vitesse d'évolution devait ralentir. Henri Poincaré de son côté connaissait bien ce temps local parce qu'il était l'auteur d'une procédure de réglage des horloges par signaux optiques. Tous les deux ont alors travaillé de concert et ils ont analysé les différentes avenues possibles, la transformation de Voigt comportant une constante inconnue. C'est Poincaré qui en est arrivé finalement aux équations définitives en 1904. Il a immédiatement énoncé très clairement un « postulat de Relativité ». Poincaré est donc le découvreur incontestable de la Relativité. Pourtant, à mon sens, les générations futures reconnaîtront que la Relativité, même si elle est vraie, n'est qu'une curiosité. C'est plutôt la transformation mécanique de la matière selon sa vitesse absolue à travers l'éther qui s'avère d'une importance capitale. De plus, des textes de Lorentz montrent qu'il concevait la matière mobile comme une déformation locale de l'éther, celui-ci restant sur place : il était donc tout près de penser que la matière est faite d'ondes. Et enfin, la Relativité étant devenue évidente, il n'a pas fait l'erreur de mettre en doute le point de vue absolu des choses, comme l'a fait Poincaré, et encore moins de le rejeter, comme l'a fait Einstein. Il faudra donc retenir d'abord et avant tout le nom de Lorentz. Il fut le plus grand des physiciens. |
1904 - JULES HENRI POINCARÉ (Nancy, 29 avril 1854 - Paris, 17 juillet 1912)
Non seulement Henri Poincaré est celui qui a établi les équations définitives des transformations de Lorentz, mais c'est aussi le découvreur incontestable de la Relativité. Tous les scientifiques et tous les historiens des sciences qui attribuent la Relativité à Albert Einstein font preuve d'une mauvaise foi évidente, ou pire encore d'une ignorance inqualifiable. Comme Lorentz lui-même l'a signalé, c'est Poincaré qui a parlé le premier de Relativité. Il fut le premier à employer ce terme. La Relativité est la conséquence des transformations de Lorentz. Nous n'avons pas besoin d'Albert Einstein pour nous l'expliquer, et d'ailleurs son interprétation est erronée parce qu'il ne fait pas la distinction entre les faits absolus d'une part, et ce que nous observons qui est le résultat d'une distorsion attribuable à l'effet Doppler d'autre part. Il est vrai que sa théorie se vérifie, mais il est infiniment préférable d'en connaître les raisons au lieu de s'en remettre à un ensemble de préceptes dogmatique. |
1924 - LOUIS DE BROGLIE (1892-1987)
http://www.academie-francaise.fr/immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=580
Il faut impérativement mentionner le nom de Louis de Broglie dans une étude sur la nature ondulatoire de la matière, puisqu'il fut le premier à la signaler. Malheureusement, il a peut-être un peu insisté sur la dualité onde et corpuscule. Alors le monde scientifique s'est mis à voir des particules dans les ondes (les photons, les neutrinos, etc.), alors qu'il aurait dû plutôt voir des ondes dans les particules. On pourrait citer aussi Erwin Schrödinger et Werner Heisenberg, dans le contexte de la mécanique quantique. Malheureusement, à la lumière des nouvelles découvertes, on constate qu'ils auraient dû attacher une plus grande importance au fait que ces ondes existent vraiment. Ils se sont comportés comme s'il ne s'agissait que d'une analogie, et ils ont traité ces ondes comme si elles n'étaient que des équations. Il n'existe pas des centaines de sortes d'ondes, et elles sont bien réelles. Il y a les ondes progressives et les ondes stationnaires ; et elles peuvent être planes ou sphériques. De plus on a manifestement abusé des mathématiques, car ces ondes peuvent être représentées en plus d'être calculées. Notre monde ne s'explique pas tout de go avec des équations, il fonctionne selon des mécanismes qu'il faut comprendre et décrire avant de les calculer. On a aussi attaché une importance démesurée aux propriétés quantiques de la matière. Les quanta ne représentent qu'un aspect secondaire de la mécanique de la matière, qu'il faudra désormais appeler non pas la mécanique quantique, mais plutôt la mécanique ondulatoire selon l'expression retenue par de Broglie lui-même. Monsieur Denys Lépinard (voir plus bas) signale qu'il a relevé les mots suivants dans un texte de de Broglie : "Tout se passe comme s'il y avait superposition d'une onde convergente et d'une onde divergente se propageant avec la vitesse c. Ce résultat ...permettra peut-être de définir plus exactement la grandeur périodique qui paraît intimement liée à l'existence même de la matière. En tout cas, il paraît certain que l'existence d'une vitesse de phase supérieure à c n'est pas incompatible avec l'équation électromagnétique de propagation des ondes." (C.R. Acad des Sciences Paris, Séance du 16 février 1925). Il est clair que des ondes convergentes ou divergentes ne peuvent être que sphériques. De plus leur superposition conduit à des ondes stationnaires selon le modèle statique de M. Milo Wolff, et à mon propre modèle de l'électron mobile si le système se déplace. Je dois dire qu'à la lecture de cet extrait, ma surprise fut totale. On sait que les ondes stationnaires semblent apparaître puis disparaître deux fois par période. Elles produisent alternativement deux sortes de « nœuds » séparant des ventres de courant, puis des ventres de tension. Mais si ce système se déplace, il se produit aussi des « heures locales » selon l'expression de Poincaré : alors cette disparition périodique ne peut plus avoir lieu partout simultanément. La période évolue forcément le long de l'axe du déplacement, ce qui provoque l'apparition d'une « onde de phase », à laquelle M. Lépinard attache justement (avec raison) une grande importance. La vitesse de cette onde de phase correspond à c 2 / v. Elle vaut : 1 / (v / c) si elle est exprimée en secondes lumière par seconde ou en longueurs d'onde par période. Il est donc exact qu'elle est toujours supérieure à la vitesse c. Toutefois mon scanner du temps montre qu'il ne suffit pas d'appliquer cette formule à l'électron de M. Wolff pour aboutir à mon électron mobile : il faut aussi tenir compte de la contraction des distances. La « vitesse de phase » pressentie par de Broglie en est modifiée selon l'équation du temps de Lorentz. Finalement, il faut appliquer intégralement les deux équations des transformations de Lorentz à mon électron mobile pour aboutir à l'électron stationnaire de M. Wolff. Selon une erreur tenace, les physiciens ont plutôt tendance à penser que les transformations de Lorentz produisent une distorsion. En réalité, elles corrigent la distorsion consécutive à l'effet Doppler, ce qui explique que la valeur des variables x' est plus élevée que celle des variables x. Je dois le reconnaître, de Broglie était bien plus près de la vérité que je ne le croyais. |
1970 - M. SERGE CABALA
http://members.aol.com/scabala25/index.htm
http://members.aol.com/DominiqueCabala/sommaire.htm
Pour autant que je sache, M. Cabala fut le premier à réintroduire l'existence de l'éther comme milieu élastique propre à la propagation des ondes de la lumière, et à en faire la preuve. On sait que c'est René Descartes qui a découvert l'éther. Cette idée avait été reprise par son disciple Christiaan Huygens, mais il s'agissait alors uniquement d'expliquer la lumière. M. Cabala est allé beaucoup plus loin en proposant d'utiliser l'éther comme support de la matière elle-même, en signalant que Lorentz la voyait comme une déformation locale de l'éther. Il fut donc le premier à pressentir la nature exclusivement ondulatoire de la matière. La « dualité » onde et corpuscule de Louis de Broglie n'a plus sa raison d'être. J'affirme qu'il s'agit là d'une innovation majeure et sans précédent dans l'histoire des sciences, et qu'elle doit être attribuée à M. Cabala. Il a également démontré hors de tout doute que la Relativité était en faveur de l'éther, en une époque difficile où tous ceux qui osaient seulement prononcer ce mot étaient purement et simplement ostracisés. J'aurai toujours le plus grand respect et la plus grande admiration pour M. Cabala. |
1986 - M. MILO WOLFF
On peut trouver de nombreuses observations pertinentes sur le site de M. Wolff, qui a aujourd'hui plus de 80 ans. En particulier, il montre que l'électron, s'il est fait d'ondes stationnaires sphériques et concentriques, peut expliquer la matière. Le point important, c'est que malgré le fait que le centre de ce système soit localisé en un point précis de l'espace, il peut communiquer et échanger avec tout ce qui se trouve dans son voisinage à l'aide de ses ondes périphériques. Il a aussi affirmé que la matière gagne en masse à mesure qu'elle accélère à cause de l'effet Doppler. Hélas, il a toujours refusé d'admettre que l'effet Doppler appliqué à son électron stationnaire conduisait à mon électron mobile... M. Wolff a bien vu qu'il se produisait une inversion de phase au centre de ce système, ce qui fait que le diamètre du noyau central mesure une onde entière et non la demi-onde habituelle des ondes stationnaires planes. Ce détail apparemment insignifiant, que j'ai corrigé en 2003, m'avait échappé tout d'abord. Il prend une importance considérable lorsque vient le temps d'étudier le comportement de la matière. |
1990 - M. YURI IVANOV
http://www.keelynet.com/spider/b-104e.htm
http://www.keelynet.com/spider/b-107e.htm
Je sais : le site keelynet.com fait l'éloge de John Worrell Keely, l'un des plus grands imposteurs de tous les temps. À travers ses divagations manifestes, M. Ivanov fait pourtant deux constats d'importance : 1. - Il fut le premier à montrer que les ondes stationnaires se contractent de la même manière que l'indiquent les calculs d'Albert Michelson, aux fins de réaliser sa célèbre expérience à l'aide d'un interféromètre. Il en déduit la « transformation d'Ivanov », qui à mon sens devrait plutôt être attribuée en toute justice à Michelson, et il fait le rapprochement avec les transformations de Lorentz. Malheureusement, il omet de prendre en compte le ralentissement des horloges et il aboutit à une contraction sur les axes y et z, contrairement à ce que ces transformations prévoient. 2. - Il utilise « sa » transformation pour démontrer que tout objet qui se déplace à grande vitesse devrait se contracter, à la seule condition qu'il utilise des ondes pour structurer ses molécules. Lorentz lui-même n'était pas parvenu à faire la preuve que la matière se contracte réellement comme il l'affirmait. J'ose affirmer qu'autrement, c'est lui qui aurait occupé la place qu'Albert Einstein occupe depuis un siècle, malgré la contribution de Henri Poincaré. En effet, c'est l'idée même d'une transformation réelle de la matière qui est importante, et non pas la Relativité, qui n'en est que la conséquence. Selon moi, ces deux découvertes de M. Yuri Ivanov ont donc un importance majeure. |
Avant 2000 - MME CAROLINE THOMPSON (1942 - 2006)
http://freespace.virgin.net/ch.thompson1/
Mme Thompson a fait elle aussi de nombreuses observations pertinentes. Il est remarquable que des cheminements ou des raisonnements si différents des miens aient abouti à autant de similitudes. On peut citer entre autres des déclarations à l'effet que les photons n'existent pas, que l'éther ne transmet que des ondes longitudinales mais qu'il peut quand même véhiculer des vibrations transversales de manière à justifier la polarisation de la lumière. Mme Thompson parlait aussi de « centres oscillants émetteurs » (pulsating wave centres) qui sont capables d'utiliser l'énergie des ondes présentes dans l'éther par effet de lentille et de la « pulser » à travers l'éther. Dans l'un de ses textes, elle a montré un tétraèdre fait de quatre particules, qui selon elle pourrait bien constituer la matière. Elle était très près de la solution puisque le proton et le neutron sont faits selon moi de six électrons disposés sur les sommets d'un octaèdre. Et enfin elle avait compris comme M. Milo Wolff que ces ondes qu'elle appelle « phi waves » pouvaient avoir une influence mécanique sur les autres « centres oscillants ». C'est bien assez pour que son nom figure en bonne place dans les futurs manuels d'histoire. |
Juin 2005 ou avant. - M. PHILIPPE DELMOTTE
Je mentionnais déjà le nom de M. Delmotte depuis février 2004 à la fin de ma page d'accueil. Comme moi, c'était avant l'avènement de FreeBASIC un adepte du langage de programmation archaïque QuickBASIC, mais sa maîtrise était infiniment supérieure à la mienne. Il m'avait transmis des renseignements très utiles sur les commandes qui permettent d'obtenir une échelle de gris sur l'écran de mon ordinateur même en format 640 x 480, ce qui était impossible autrefois en mode MS DOS (certains dinosaures évoluent). Il arrivait aussi à afficher des ondes correctement et même en relief comme s'il s'agissait de vagues sur l'eau. C'est lui qui m'a enseigné cette technique. Même s'il ne s'agit que d'un artifice, d'ailleurs bien connu, les ondes apparaissent alors d'une manière beaucoup plus intuitive, ce qui m'a permis d'en mieux comprendre certains aspects. L'invention de l'Éther Virtuel. M. Philippe Delmotte m'a transmis en juin 2005 un programme d'ordinateur utilisant un algorithme génial, qui lui permettait de surclasser mon vénérable principe de Huygens en modélisant le milieu élastique lui-même. Il procède sensiblement comme on le fait actuellement pour prévoir les perturbations atmosphériques, cette méthode exigeant toutefois pour être vraiment efficace le concours des ordinateurs les plus puissants de la planète à l'heure actuelle. Il peut de cette manière illustrer l'évolution du milieu élastique dans le temps, ce qui permet de prévoir le comportement des ondes progressives ou stationnaires, leur composition, la diffraction de Fresnel et même d'autres phénomènes ondulatoires plus complexes et plus difficilement explicables par le principe de Huygens. Ce qu'il y a de bien avec sa méthode, c'est qu'elle reproduit ce qui se passe réellement. Elle pourra en particulier démontrer que l'électron peut être amplifié par effet de lentille. En fait, puisqu'elle permet de tout vérifier, c'est surtout à l'aide de cette méthode qu'on arrivera à démontrer que la matière est faite d'ondes comme je l'affirme. Je crois donc pouvoir dire qu'il s'agit d'une invention majeure. Il faut toutefois mettre un bémol sur l'antériorité de M. Delmotte. En effet, M. Dewavrin (voir ci-dessous) a pu retracer des programmes pour jeux vidéos datant d'au moins dix ans, et qui simulaient des vagues sur l'eau. À en juger par les résultats, les algorithmes mis en œuvre sont moins évolués. Mais il faut reconnaître qu'ils présentent des similitudes avec celui de M. Delmotte. Le nom de l'inventeur n'est pas clairement établi. M. Paul Falstad a fait mieux plus récemment : Ce qui me consterne, c'est que les opticiens et les acousticiens que j'ai pu contacter n'en avaient pas la moindre connaissance, alors que cet outil fantastique révolutionnera certainement leur science. En toute bonne foi, j'ai donc présumé pendant plus d'un an que M. Delmotte en était l'inventeur. Je n'arrive pas à croire que les physiciens se montrent toujours aussi bornés lorsqu'il y a du nouveau. Désormais, l'étude des ondes ne peut plus faire appel à des équations. Je crois avoir déjà démontré qu'elle doit impérativement faire appel à l'ordinateur, dont la puissance augmente sans cesse et semble sans limites. Il est clair que le principe de Huygens produit plus simplement et plus rapidement des résultats irréprochables. Mais la méthode de M. Delmotte est promise à un avenir grandiose. En effet, puisque tout n'est qu'ondes, c'est toute la physique et en particulier la physique nucléaire et même la chimie qu'on pourra désormais étudier de cette manière. Avec quelques collaborateurs, je travaille désormais en priorité sur le « projet Éther Virtuel ». Il s'agit d'un véritable laboratoire qui nous permettra non seulement de démontrer que la matière est faite d'ondes, mais d'en découvrir tous les mécanismes. On trouvera plus de renseignements sur l'Éther Virtuel à la page sur l'éther. |
Depuis août 2005. - M. ANSELME DEWAVRIN
M. Dewavrin est un ingénieur spécialiste des langages de programmation. Il a réussi à établir un lien entre la méthode d'Euler et l'algorithme de Philippe Delmotte, ce qui conduit à un algorithme simplifié capable de produire une sinusoïde, ou encore des oscillations : voir le programme oscillations_Delmotte_Dewavrin.exe et son code source. Avec une parfaite maîtrise, il a aussi retracé un algorithme similaire rejoignant celui de M. Jocelyn Marcotte : examinez le programme oscillations_Marcotte_Dewavrin.exe et son code source. Je tiens à souligner la participation de M. Dewavrin à cette grande aventure parce que nous n'en serions pas arrivés là si rapidement sans lui. La liste de tout ce qu'il nous a apporté est très longue. En particulier, c'est lui qui m'a permis de réaliser des programmes beaucoup plus efficaces grâce à FreeBASIC. Mais surtout, ses commentaires ont toujours été remarquablement pertinents, ce qui est inestimable. |
Depuis janvier 2006. - M. JOCELYN MARCOTTE
Vous trouverez plus loin plusieurs découvertes attribuables à M. Marcotte, qui vit au Québec tout comme moi. En particulier, il a inventé lui aussi un algorithme tout à fait original capable de produire des ondes. C'est un ingénieur diplômé de l'école Polytechnique de Montréal. Il est particulièrement habile à développer puis à vérifier de nouvelles hypothèses grâce à l'informatique. Je tiens aussi à souligner que c'est lui qui a identifié les formules permettant de reproduire l'électron en évolution : y = sin(x) / x (phase) y = (1 – cos(x) ) / x (quadrature) Je ne serais pas surpris s'il arrivait un jour à faire des découvertes fantastiques à propos de l'électron et de la matière. |
LES AUTRES
D'autres personnes ont fait preuve d'une certaine ouverture d'esprit. Malheureusement je ne suis généralement pas d'accord avec ce qu'elles proposent. En tous cas il arrive qu'elles voient juste sur certains points. Je les cite ici pour souligner leur participation à un effort collectif pour rétablir la vérité. Tous ceux qui sont en mesure de produire des preuves à l'effet qu'ils ont déjà signalé l'une quelconque des propositions énoncées dans ces pages sont priés de me le faire savoir, en mentionnant la date et les preuves. Je me ferai un plaisir de les ajouter à la liste suivante, et de faire mieux encore si leur découverte me semble importante : En français : http://membres.lycos.fr/bvr/relf00.html Bruno van Rossum, de Belgique. Il fait un effort louable pour montrer que la Relativité ne peut pas se résumer à des principes, comme l'a fait Einstein. Elle peut et elle doit pouvoir s'expliquer intelligemment. http://perso.wanadoo.fr/lebigbang/relativite.htm Bernard Chaverondier, de France. Même s'il ne prend pas parti, il a l'intelligence de reconnaître que la Relativité de Lorentz constitue une approche plausible. Voilà au moins un professeur qui manifeste un certain courage face à l'ordre établi, contrairement à la grande majorité des autres qui, à moins d'être des ignorants, sont des lâches. http://www.ontostat.com/franc/physique_revisitefr.htm Denys Lépinard, de France. Il y a trop d'éléments discutables susceptibles de faire fuir n'importe quel physicien raisonnable. Son approche manque de rigueur, mais malgré les apparences il arrive qu'il dise vrai. Je tiens en tous cas à le remercier d'avoir reconnu qu'il n'était pas nécessairement l'auteur initial de ces idées puisqu'il a pris la peine de citer les noms de MM. Wolff, Hawkings, Cabala, ainsi que le mien. C'est tout à son honneur. En anglais : http://www.rbduncan.com/ Robert Byron Duncan. Plutôt fantasque ; mais il voit juste parfois. http://ray.tomes.biz/ Ray Tomes. Ce dernier a entrepris récemment de réaliser des animations semblables aux miennes. Il avait lui aussi pensé que la matière pouvait être faite d'ondes stationnaires sphériques, avant même de connaître M. Milo Wolff. Il affirme qu'il a découvert la formule : y=sin(x)/x il y a longtemps, mais elle ne figure pas sur son site et il ne l'a mentionnée nulle part à ma connaissance. http://www.spaceandmotion.com/chris-hawkings-wave-theory.htm C. O. Hawkings. Il y a un conflit puisqu'il expose des idées réclamées par M. Milo Wolff en 1986. Il cite M. Wolff à propos d'un livre publié en 1990 alors que son « poster » initial daterait de 1984 : il est donc évident que sa page web n'est pas une fidèle retranscription de ce texte. Elle contient sans doute beaucoup de nouvelles idées beaucoup plus récentes, et qui ne sont pas nécessairement les siennes.
Je croyais naïvement que toutes ces personnes finiraient par aboutir à un consensus, mais chacun reste sur ses positions. Il y a même pire : certains ont recours à des arguments surréalistes, et ils ont une nette tendance à faire appel à des principes philosophiques et même au mysticisme. Je vous laisse en juger : vous en trouverez des exemples sur les pages des membres d'un groupe nommé « WSM » (wave structure of matter). Bref, ils n'ont aucun respect pour la physique. Pour bien comprendre les choses, il est essentiel de garder les deux pieds sur terre. Il faut s'en tenir aux faits, et il faut tout vérifier. Je tiens donc à m'en dissocier énergiquement. |
MES DÉCOUVERTES
1 - La théorie de l'Absolu (mai 2000 - mai 2001)
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2 - La matière est faite d'ondes (juin 2002)
En plus des points cités ci-dessus, cet ouvrage proposait les nouveautés suivantes :
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3 - La matière est faite d'ondes (le site Internet, depuis sept. 2002).
En plus des points cités ci-dessus, le présent site propose les nouveautés suivantes :
Mises à jour en 2004 :
Mises à jour en 2005 :
Mises à jour en 2006 :
http://www.glafreniere.com/programmes
y = sin(x) / x (phase) y = (1 – cos(x) ) / x (quadrature) y = [ Cos(t) * Sin(x) – Sin(t) * (1 – Cos(x) ) ] / x (rotation)
y = [sin(t + x) – sin(t)] / x
Ces deux systèmes se déplacent vers la droite à la moitié de la vitesse de la lumière. À gauche, l'interféromètre et sa lame sont contractés ; le faisceau est réfléchi correctement. À droite, le faisceau n'est pas réfléchi à 90° bien que l'angle de la lame soit maintenu à 45°.
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Page d'accueil : La matière est faite d'ondes.
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Gabriel LaFrenière, Bois-des-Filion en Québec. Sur l'Internet depuis septembre 2002. Dernière mise à jour le 7 septembre 2009. Courrier électronique : veuillez consulter cet avis. La théorie de l'Absolu, © Luc Lafrenière, mai 2000. La matière est faite d'ondes, © Gabriel Lafrenière, juin 2002. |