L'ÉLECTRON

Cette onde est un électron.

Les équations de M. Jocelyn Marcotte permettent de la reproduire.

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LES ÉLECTRONS SONT DES ONDES

Le principe de Huygens. 

Je suis un passionné d'optique depuis toujours et je sais pour l'avoir vérifié des centaines de fois que le principe de Huygens se révèle toujours extrêmement fiable.

Vers 1995, lorsque les ordinateurs personnels sont devenus accessibles et efficaces, j'ai mis au point un algorithme capable de faire la sommation des ondelettes de Huygens. Au départ, mes programmes avaient pour but d'étudier ce phénomène étonnant qu'on observe au foyer des lentilles et des télescopes à miroir : la tache (ou le disque) d'Airy. C'est à la suite de cette étude que je suis arrivé au diagramme suivant, qui représente une tache d'Airy hypothétique dont l'angle d'ouverture serait de 180°, c'est à dire dont la source serait hémisphérique : 

   

La tache d'Airy, si l'angle d'ouverture fait 180°.

On peut aussi considérer qu'il s'agit de la moitié d'un électron fixe, les ondes circulant vers la droite.

Remarquer la similitude entre la courbe animée du coin inférieur droit et celles montrées plus haut.

Vous pouvez observer la tache d'Airy et ce phénomène grâce au programme Ether16.exe

   

À la découverte de l'électron. 

À cette époque, je savais déjà que la matière était sans doute faite d'ondes stationnaires sphériques. Je savais aussi que, si de telles ondes subissaient l'effet Doppler, le système pouvait se déplacer à travers l'éther. Si j'ai gardé le silence, c'est que j'entrevoyais - à tort - que cette découverte risquait fort de déboucher sur une véritable Apocalypse. On sait que les découvertes scientifiques ont toujours conduit à la production d'armes de plus en plus dévastatrices, et c'est particulièrement vrai des découvertes importantes comme la radioactivité, par exemple.

Or je n'ai jamais pu trouver le moindre indice que cela serait vrai également pour cette découverte, et j'ai donc publié « La Matière est faite d'Ondes » en langage clair en l'an 2002. J'avais auparavant publié « La Théorie de l'Absolu » en langage volontairement obscur, parce que j'avais à cœur de démontrer que s'il est vrai que la matière est faite d'ondes (ce n'est pas ma découverte, mais j'ai été le premier et je suis toujours le seul à en faire la preuve), les transformations de Lorentz sont absolues et la Relativité ne peut donc être que le résultat d'une illusion.

En juillet 2003,  j'ai découvert le site de M. Milo Wolff. J'ai tout de suite noté que son électron (qu'il a présenté dès 1986, mais qui n'est pas mobile) comportait un noyau central dont le diamètre faisait une onde entière, et non pas la demi-onde classique des ondes stationnaires. J'ai donc voulu vérifier ce prodige au moyen de mon algorithme (aussi étrange que cela puisse paraître, je n'avais pas encore fait le lien avec la tache d'Airy), et j'ai obtenu ceci : 

   

La tache d'Airy à 360° : il faut additionner les ondes provenant de deux hémisphères opposés.

Le noyau onde entière suppose qu'il se produit une inversion de phase au centre.

Pour que ce soit possible, ses ondes progressives doivent y évoluer d'une manière inattendue.

   

Le noyau onde entière de l'électron statique de M. Wolff, tel que le révèle le principe de Huygens.

   

L'onde de LaFrenière 

M. Wolff n'a jamais appliqué l'effet Doppler ni les transformations de Lorentz (c'est la même chose) à son électron, qui ne peut donc pas bouger. C'est pourquoi je tiens à rappeler que je suis le découvreur de cette onde « stationnaire mobile », que j'ai appelée l'Onde de LaFrenière dès l'ouverture de mon site Internet en septembre 2002. J'ai aussi été le premier à montrer l'évolution de ses ondes, en 2003, même si je n'étais pas en possession des équations qui en rendent compte. En fait, le recours au principe de Huygens est beaucoup plus valable, important et satisfaisant parce que cela constitue une preuve irréfutable.

Cette onde présente toutes les propriétés d'un électron.

Les propriétés de l'électron sont bien connues. On peut citer ses deux spins, l'absence apparente de dimensions, la charge électrostatique, les propriétés ondulatoires, la capacité d'accélérer, de ralentir ou de changer de direction, l'action et la réaction par contact apparent ou à distance, l'énergie intrinsèque, l'énergie cinétique, la similitude quasi absolue avec ses semblables, la présence d'une antiparticule identique mais positive, l'augmentation de masse à grande vitesse accompagnée des autres effets des transformations de Lorentz.

Il faut citer aussi sa participation évidente aux champs magnétiques et électriques. Il est impliqué lors de l'émission ou de la réception des ondes radio et de la lumière, et aussi lors des réactions chimiques. Il est capable de se stabiliser autour du noyau des atomes. On sait que lui et le positron sont capables de former des quarks, qui sont alors accompagnés de champs gluoniques. Or les quarks sont les seuls constituants des protons et des neutrons, et ils sont alors aussi accompagnés de champs gluoniques. 

C'est beaucoup demander à une onde. Et pourtant cette onde en est capable.

Le calcul des ondes stationnaires sphériques.

Ainsi, l'électron est l'équivalent d'une tache d'Airy ; mais il faut que l'angle d'ouverture fasse 360°, la source lumineuse présumée étant la surface interne d'une sphère complète de très grand diamètre (en principe infini). Le premier hémisphère (la tache d'Airy à 180° montrée ci-dessus) ne produit que des ondes progressives, mais les deux hémisphères combinés produisent forcément des ondes stationnaires.

Fort de ce précieux renseignement, j'ai donc entrepris (toujours en 2003) d'ajouter un effet Doppler aux ondelettes de Huygens, ce qui représente un calcul relativement complexe. C'est que la longueur d'onde doit varier progressivement de 1 + bêta vers l'arrière à 1 bêta vers l'avant. Cela produit le résultat suivant, qui ne concerne que les ondes telles qu'elles se présentent le long de l'axe du déplacement :

   

Les ondes axiales avec effet Doppler de l'électron mobile, calculées selon le principe de Huygens.

Ces résultats ont été confirmés par M. Jocelyn Marcotte en juillet 2006 grâce à son algorithme reproduisant virtuellement un médium.

   

Les équations de M. Jocelyn Marcotte.

M. Marcotte a communiqué avec moi en janvier 2006 pour m'aviser qu'il avait mis au point un algorithme sur l'éther différent de celui de M. Philippe Delmotte, l'inventeur initial. Effectivement, selon cet algorithme, les ondes se propagent d'une manière différente. En particulier, les ondes carrées et les ondes en dents de scie continuent d'évoluer sans modification apparente, alors que l'algorithme de M. Delmotte produit dans ce cas de la chaleur, c'est à dire des vibrations locales des « granules d'éther ». Cela ne signifie pas pour autant que son algorithme est supérieur : il est simplement différent, et cela laisse entrevoir que l'éther pourrait présenter des propriétés qui nous sont encore inconnues. Toutefois, les ondes sinusoïdales évoluent de la même manière dans les deux cas, sensiblement comme le fait le son dans un solide homogène, par exemple.

M. Jocelyn Marcotte est un ingénieur diplômé en 1989 de l’école Polytechnique (Université de Montréal) en génie électrique. C'est manifestement un as de l'informatique, car il a tout de suite réussi à prendre en charge le langage de programmation FreeBASIC et à mettre en place l'électron statique de M. Milo Wolff dans son propre Éther Virtuel en trois dimensions. Entre autres choses, il y a également testé l'évolution d'une impulsion gaussienne. En mars 2006, il m'informait que l'enveloppe (le tracé qui montre les ventres et les nœuds) de ces ondes stationnaires obéissait à l'équation suivante, la variable x étant exprimée en radians selon :  x = 2 * pi * distance / lambda :

y = sin(x) / x

Évidemment, sous la forme :  sin(2 * pi * distance / lambda) / distance, j'utilisais depuis longtemps l'équivalent de cette équation. Toutefois, la distance (il s'agit plus exactement du délai) n'étant pas exprimée en radians, la courbe du noyau en était faussée.

Le 27 juillet 2006, M. Marcotte a finalement établi que les ondes progressives de l'électron, lorsqu'elles sont à la quadrature, correspondent à l'équation suivante :

y = (1 cos(x) ) / x

Ces deux équations sont bien connues des mathématiciens. Elles sont utilisées notamment pour établir les limites lors d'un calcul différentiel. On peut aussi les relier à la fonction de Bessel sphérique. Toutefois, M. Marcotte fut le premier à les attribuer à l'électron et à les fusionner en une seule, comme on le verra plus loin.

Il faut préciser que si x = 0, ces équations sont bien évidemment invalides ; c'est ce qu'on appelle une "singularité", mais ce n'est pas un problème puisqu'on a alors y = 1 et y = 0 selon qu'il s'agit de la phase ou de la quadrature.

Voici les courbes qui en rendent compte :

 Les équations de M. Jocelyn Marcotte et les courbes correspondantes.

   

La rotation.

M. Marcotte m'a aussi signalé qu'il était possible de fusionner les deux équations en introduisant un temps t (en radians, de 0 à 2 * pi), dans le but de montrer l'évolution de ces ondes progressives :

y = (cos(t) * sin(x)  sin(t) * (1 cos(x) ) ) / x

M. Philippe Delmotte a trouvé la simplification suivante en septembre 2006 :

y = (sin(t + x) sin(t)) / x

Il suffit d'inverser le temps t pour faire évoluer les ondes dans l'autre sens. Alors leur addition dans les deux sens produit les ondes stationnaires de l'électron. C'est ce que montrent le programme Ether06_Marcotte_Delmotte.exe et son code source Ether06_Marcotte_Delmotte.bas.

Vous êtes autorisés à copier, distribuer, ou modifier les programmes des dossiers programmes et programs grâce à l'éditeur de FreeBASIC, à votre guise. Nous n'avons rien à cacher, bien au contraire ; si vous prenez la peine de vérifier nos programmes, vous réaliserez que la nouvelle physique ondulatoire que nous sommes en train d'édifier est remarquablement simple. Il ne tient qu'à vous d'y participer. Je me ferai une joie de mentionner votre nom sur ce site dès que vous aurez trouvé du nouveau !

Voici une image produite par un programme antérieur :

Voici une capture d'écran du programme. Observez aussi une animation tirée de ce programme.

   

L'effet Doppler.

À partir des formules de l'effet Doppler, j'ai pu modifier les résultats pour montrer comment devrait se comporter l'électron selon sa vitesse d'entraînement. J'ai dû cependant tenir compte du ralentissement de la fréquence selon les transformations de Lorentz, ce qui conduit à des longueurs d'onde plus grandes. Tel que prévu, on peut constater que l'enveloppe typique de l'électron au repos persiste malgré son déplacement à travers l'éther, et elle se contracte comme l'a indiqué Lorentz.

Il est avantageux de recourir aux transformations de Lorentz pour obtenir l'effet Doppler particulier de l'électron, car même le déplacement du système et le ralentissement de sa fréquence se font automatiquement. Le calcul requis est élémentaire, comme le démontre ce programme :

Ether17.exe        Ether17.bas

Je tiens à répéter ici que ce programme montre hors de tout doute que les transformations de Lorentz ne sont rien d'autre et rien de plus que l'expression mathématique de l'effet Doppler particulier que subit l'électron.

En réalité, il suffit de postuler que la fréquence de l'électron diminue selon sa vitesse de telle manière que les distances transversales demeurent invariables selon les équations y'=y; z'=z. Dans ce cas on peut tout aussi bien utiliser le calcul le plus élémentaire de l'effet Doppler. Tout est alors beaucoup plus simple et évident, et donc beaucoup moins suspect. J'ai pris la peine d'écrire un petit programme qui montre comment procéder :

Doppler_Lorentz.bas        Doppler_Lorentz.exe

L'enveloppe typique de l'électron se contracte.

Puisque la fréquence de l'électron ralentit selon Lorentz, il en résulte une dilatation générale des longueurs d'onde qui s'ajoute à l'effet Doppler. Mais on observe malgré tout que les nœuds et les anti-nœuds qui déterminent l'enveloppe de l'électron se contractent plutôt sur l'axe du déplacement selon le facteur de contraction g, exactement comme le prévoyait Lorentz.

L'amplitude augmente selon la vitesse, et donc la masse de l'électron augmente.

On sait que Lorentz lui-même en était venu à la conclusion que la masse de l'électron et même celle de toute matière devait augmenter selon la vitesse, selon le facteur gamma (l'inverse du facteur de contraction). Cela fut vérifié peu après par M. M. Kaufmann,  lors d'une expérience demeurée célèbre. Or à mesure qu'un émetteur accélère, non seulement la fréquence absolue des ondes émises vers l'avant augmente, mais aussi leur amplitude.

Le programme Ether06_Marcotte_Doppler.exe (code source : Ether06_Marcotte_Doppler.bas) montre qu'effectivement, l'amplitude de l'enveloppe augmente selon la vitesse d'entraînement. Cela signifie que l'énergie et donc la masse de l'électron doit augmenter aussi. Toutefois, pour évaluer cette augmentation, l'observateur doit être au repos. En effet, à cause de l'effet Doppler, l'énergie ne correspond pas au carré de la distance si elle est observée du point de vue de l'électron, les ondes ayant été émises à des endroits différents comparativement à l'éther.

   

Voici une capture d'écran.

Observez aussi une animation tirée de ce programme.

   

L'ONDE DE PHASE 

Les transformations de Lorentz font état d'un « temps local ». Il s'agit d'une découverte commune de Lorentz et de Poincaré. Ils avaient constaté que si l'on tentait de synchroniser des horloges à l'aide de signaux optiques, alors que la Terre se déplace à travers l'éther, la différence de vitesse des ondes de la lumière devait fausser la procédure.

Or les ondes de l'électron se plient aux mêmes contraintes. Lorsqu'il est au repos dans l'éther, les ventres et les nœuds de ses ondes stationnaires se forment simultanément partout. Mais dès qu'il commence à se déplacer, on observe qu'une « onde de phase » apparaît distinctement.

Puisque le « temps local » est le même partout sur un plan orthogonal, cette onde de phase est plane. Elle se manifeste par des bandes verticales qui progressent dans le sens du déplacement, et toujours à une vitesse supérieure à celle de la lumière, soit selon 1 / bêta. Il faut savoir que la vitesse normalisée bêta est égale à v / c dans ce système, d'où c = 1 ; on peut alors évaluer les distances en secondes-lumière (300 000 km), et le temps en secondes. Toutefois, dans le cas de l'électron, on peut aussi évaluer de la même manière les distances en longueurs d'ondes, le temps en période d'onde et donc la vitesse en longueurs d'ondes par période.

L'électron et les transformations de Lorentz.

Cette convention permet d'exprimer les transformation de Lorentz d'une manière beaucoup plus simple et évidente :

   

Les transformations de Lorentz.

Ici, elles sont inversées de manière à produire un effet Doppler au lieu de le corriger.

Elles sont présentées sous la forme d'un groupe complet, à la manière de Poincaré.

   

J'insiste sur le fait que Lorentz a établi que les distances transversales ne sont jamais affectées (y'=y; z'=z ci-dessus). Pour qu'il en soit ainsi, il faut que la longueur d'onde de l'électron y demeure constante. Or dans le cas de l'effet Doppler normal, il s'y produit une contraction selon le facteur g de Lorentz. C'est là toute l'astuce : on remarque que si la fréquence diminue selon ce même facteur g, la contraction est annulée, comme le montre hors de tout doute le programme suivant: 

Electron_Doppler_effect.bas        Electron_Doppler_effect.exe

   

Retenez-bien ceci !

Il n'est plus nécessaire d'invoquer les transformations de Lorentz pour expliquer la Relativité. Il suffit de considérer que la fréquence de l'électron qui se déplace ralentit selon le facteur g de Lorentz. 

   

La véritable raison pour laquelle les horloges mobiles indiquent des heures plus lentes, c'est que la fréquence des électrons qui la composent ralentit.

– La matière ne se contracte pas sur les axes transversaux (y et z) parce que la longueur d'onde de l'électron  qui la composent y est invariable malgré l'effet Doppler.

– La matière se contracte selon le facteur g sur l'axe du déplacement  x  parce que les ondes stationnaires de l'électron qui la composent s'y contractent précisément selon ce facteur g. Il faut savoir que les ondes stationnaires normales à fréquence constante s'y contractent plutôt selon le carré du facteur g.

– L'effet Doppler de l'électron et donc de la lumière présente dans ce cas une symétrie stupéfiante, pour ne pas dire diabolique. On aura par exemple une longueur d'onde de 0,577 * lambda à l'avant et de 1,732 * lambda à l'arrière avec bêta = 0,5. Le produit des deux chiffres étant toujours égal à 1, la réciprocité est parfaite et toute détection de l'effet Doppler devient impossible.

Je le répète, cela suffit pour expliquer la Relativité, à commencer par la contraction de l'interféromètre de Michelson. Si vous avez des doutes, vous pouvez le vérifier à l'aide de mon programme Ether14.exe. Ce qu'il montre est incontestable : tout se passe toujours de telle manière qu'un observateur sera incapable de déterminer quelle est sa vitesse réelle à travers l'éther. Il peut toujours considérer qu'il est parfaitement au repos. La Relativité, c'est ça. Ainsi, il n'y a plus de mystère. Oubliez tout ce qu'on raconte sur une prétendue transformation de l'espace et du temps ! Il s'agit plutôt d'une contraction de la longueur d'onde de l'électron et d'un ralentissement de sa période, mais aussi d'une évolution de cette période le long de l'axe du déplacement, laquelle se traduit par un décalage horaire.

Observez bien ces diagrammes de l'électron mobile, lorsqu'il se déplace à différentes vitesses. Plus sa vitesse se rapproche de c, plus l'espacement entre les changements de phase raccourcit, et plus la vitesse de l'onde de phase ralentit tout en demeurant toujours supérieure à c :

   

v = 0,1 c v = 0,5 c

L'onde de phase se traduit par des bandes verticales qui se déplacent vers l'avant à la vitesse c / bêta.

Elle correspond au temps local  t' des transformations de Lorentz.

   

Ci-dessus, l'électron accélère. Observez la contraction, que Lorentz avait prédite.

Cette contraction se manifeste dans les ventres et les nœuds, mais aussi dans le noyau central.

Les inversions de phase se produisent sur des plans verticaux selon des intervalles valant :  g * lambda / bêta.

Elles correspondent au décalage horaire des transformations de Lorentz.

Il en résulte une "onde de phase" dont la vitesse exprimée en longueurs d'onde par période vaut : c / bêta.

   

Voici un agrandissement du noyau central.

On observe que l'onde de phase affecte même ce noyau.

La vitesse du système est ici de 0,866 c, d'où une contraction de moitié selon : cos(arcsin(v / c)).

La phase est affichée en vert, l'opposition de phase en rouge, et l'amplitude nulle, en noir.

Cette méthode permet de distinguer plus facilement les ventres et les nœuds des ondes stationnaires.

   

Les changements de phase s'effectuent vers l'avant à une vitesse c / bêta qui correspond à la vitesse de balayage du « Scanner du Temps ». Ce Scanner du Temps est l'une de mes inventions. Si on le met à l'épreuve sur des ondes sphériques convergentes, divergentes ou stationnaires, il produit lui aussi un effet Doppler. Mais il fait encore mieux en contractant les objets mobiles et en modifiant l'heure qu'y affichent les horloges, exactement selon les prédictions de Lorentz.

Il faut en tirer une conclusion révolutionnaire : les transformations de Lorentz ne concernent rien d'autre et rien de plus que l'effet Doppler très particulier que subit l'électron s'il se déplace à grande vitesse. Il se produit une contraction de sa longueur d'onde, un ralentissement de sa fréquence, et aussi un décalage dans la période de ses ondes à cause de l'onde de phase. Or il est bien établi que c'est l'électron qui assemble les atomes qui constituent toute matière en molécules. S'il est vrai qu'il le fait en fonction d'une certaine longueur d'onde, il doit en résulter une contraction de la matière. Et puisque sa fréquence diminue avec sa vitesse, la mécanique de la matière ralentit aussi, d'où un ralentissement des horloges et l'apparition d'un temps local.

C'est d'une simplicité enfantine, et la physique a donc sérieusement dérapé au début du XXe siècle : il ne s'agit absolument pas d'une transformation de l'espace et du temps. Et surtout, cela ne justifie en rien l'abandon de l'hypothèse de l'éther.

On attribue souvent à tort la découverte de l'onde de phase à Louis de Broglie. Pourtant, il s'agit tout simplement d'une conséquence de l'équation du temps de Lorentz, qui permet d'évaluer le temps local découvert par lui et par Henri Poincaré.

   

L'ÉTHER VIRTUEL À LA RESCOUSSE

M. Philippe Delmotte.

L'Éther Virtuel est une invention géniale de M. Philippe Delmotte, faite en juin 2005. Il s'agit d'un médium virtuel informatique capable de reproduire n'importe quel phénomène ondulatoire. Le programme présume que l'éther est fait d'un nombre quasi infini de « granules » ayant la propriété de vibrer selon la loi de Hooke, ce qui suppose une énergie initiale et une inertie qu'on peut assimiler à une mémoire. Ces granules peuvent aussi communiquer leur énergie aux granules voisins.

On pourrait penser que l'algorithme de base qui réalise cette performance est très complexe, mais non. Croyez-le ou non, il ne comporte que trois lignes de programme ! Vous pouvez d'ailleurs examiner cette pure merveille : elle est montrée dans toute sa splendeur en une seule dimension dans le programme Ether04.exe et son code source FreeBASIC Ether04.bas. Je le répète, nous avons ici une manifestation du génie à l'état pur...

M. Jocelyn Marcotte.

Le 10 juillet 2006, M. Jocelyn Marcotte a réussi à mettre en place mon électron mobile en trois dimensions dans sa propre version de l'Éther Virtuel (voir Ether04_Marcotte.exe  Ether04_Marcotte.bas), soit selon un algorithme qui diffère de celui de M. Delmotte.

Mieux encore, M. Marcotte a utilisé les transformations de Lorentz pour créer l'effet Doppler, ce qui montre que ces transformations n'ont pas la vertu de transformer l'espace et le temps comme on le prétend actuellement. Ce sont plutôt la longueur et la période des ondes de l'éther qui en sont affectées. Son programme Ether09_3D montre distinctement l'électron qui se déplace tel que prévu, mais hélas dans un espace limité. Faute d'amplification, il s'évanouit rapidement. On pourra bientôt augmenter les dimensions du « cube » d'éther virtuel selon la mémoire vive et la vitesse (au moins 2 Go et 2 GHz requis !) des futurs ordinateurs. On peut donc s'attendre à obtenir des images de plus en plus spectaculaires, mais surtout des résultats de plus en plus probants..

Voyez ci-dessous comme l'Éther Virtuel confirme les résultats que j'avais moi-même obtenus grâce au principe de Huygens. En effet, la courbe montrée au bas de l'image est identique à celle montrée plus haut :

   

Voici une image tirée du programme sur l'Éther Virtuel en 3-D conçu par M. Jocelyn Marcotte.

Observez attentivement cette animation produite par son programme.

Vous verrez l'électron se déplacer de lui-même vers la droite, sans la moindre intervention.

Malheureusement, sans amplification par les ondes de l'éther, il s'évanouit rapidement.

Nous ne disposons pas encore d'un médium suffisamment grand pour que l'expérience soit parfaite.

Mais c'est désormais incontestable : cette onde fonctionne. Elle peut exister.

   

L'électron et les transformations de Lorentz. 

J'ai démontré que la Relativité de Lorentz est parfaitement justifiée. Tous les systèmes ondulatoires semblent demeurer invariants peu importe leur vitesse à travers leur médium, à la seule condition de respecter les transformations de Lorentz. Et puisque la matière est faite d'ondes, cela s'applique aussi à la matière, et en particulier à l'interféromètre de Michelson.

Tel que prévu, il se produit une contraction de la longueur d'onde sur l'axe du déplacement, mais jamais sur un axe transversal. De plus, la fréquence du système doit ralentir de manière à permettre que toutes les ondelettes de Huygens aient le temps de parvenir à destination, la distance à parcourir étant de plus en plus grande à mesure que la vitesse du système augmente.

Il devient très clair qu'un observateur qui se déplace avec ce système sera incapable de constater la moindre anomalie. Non seulement il est lui-même contracté, mais il évolue lui-même plus lentement. Mais en plus, la vitesse relative de la lumière qui l'informe de la situation est plus lente vers l'avant, ce qui à ses yeux semble annuler l'effet Doppler. C'est pourquoi il ne peut que se croire au repos dans l'éther, ce qui signifie que même un observateur qui est réellement au repos devient incapable de s'en assurer. Et s'ils s'observent mutuellement, c'est toujours "l'autre" qui semble se déplacer et subir les transformations de Lorentz !

Voici l'une des images produites par le programme Ether18.exe  Ether18.bas  Elle constitue un hommage magnifique à ce grand physicien que fut Lorentz.

L'électron à 0,5 c dans l'Éther Virtuel en 2-D.

L'ellipse mobile génère des ondelettes de Huygens qui parviennent toutes au centre simultanément.

Cela signifie que l'amplification de l'électron peut continuer de s'opérer même s'il se déplace.

Remarquer aussi comment l'onde de phase produit un effet Doppler parfait.

   

Des formules éternelles.

L'éther est constamment parcouru par des ondes puissantes capables d'amplifier l'électron. Sans énergie, cet électron disparaît rapidement. Mais grâce à l'énergie des ondes qui circulent sans cesse dans l'éther, il peut exister éternellement.

C'est pourquoi les formules de M. Jocelyn Marcotte aussi sont éternelles. Bien qu'elles soient connues depuis longtemps, elles n'avaient encore jamais été attribuées aux ondes stationnaires sphériques, et encore moins à l'électron.

Admirez leur simplicité et leur élégance :

 

 

Si tout se passe comme je le prévois, on reconnaîtra un jour que ces formules sont à la base de la physique. Parce que tout s'explique par l'électron, elles sont fondamentales.

La quadrature correspondant au cosinus, elle indique normalement l'amplitude maximum d'une onde au temps t = 0 pi. On a en effet : cos 0° = 1. Mais ici, puisque le noyau central de l'électron mesure une onde entière, il se produit une inversion de phase exactement au centre. À cet endroit, c'est plutôt le sinus qui indique l'amplitude maximum au temps (plus exactement au délai) zéro.

La variable x représente en fait le délai (en radians) nécessaire aux ondes pour effectuer le trajet. C'est essentiel quand vient le temps d'introduire un effet Doppler. La variable y représente l'amplitude des ondes de l'électron normalisée à 1, la valeur réelle étant inconnue pour l'instant.

L'électron détermine les transformations de Lorentz.

Pour simplifier les choses, je propose d'établir de nouvelles unités d'amplitude et d'énergie correspondant à celles de l'électron en son centre lorsqu'il est au repos. Il faudra aussi tôt ou tard mesurer le temps et donc la seconde selon la période de l'électron au repos. L'espace, et donc le mètre, devra s'évaluer en longueurs d'onde de l'électron au repos, en rappelant que selon Lorentz les mesures de l'espace sont constantes et absolues (y'=y; z'=z) dans le plan transversal même si l'électron se déplace.

C'est en effet l'une de mes principales découvertes : les transformations de Lorentz demeurent utiles, mais elles ne sont pas essentielles pour expliquer la Relativité. Il suffit de postuler que la longueur d'onde de l'électron mobile dans le plan transversal est invariable, ce qui survient à cause d'un ralentissement de sa fréquence selon le facteur g de Lorenz. À cette seule condition, et uniquement par le calcul élémentaire de l'effet Doppler, on observe en particulier que la matière doit se contracter sur l'axe du déplacement comme le prévoyait Lorentz.

L'électron ne s'étend pas à l'infini.

D'une part, on sait bien que l'amplitude des ondes sphériques qu'une source quelconque émet décroît comme la distance. L'énergie valant le carré de l'amplitude selon une loi de Fresnel, elle décroît donc comme le carré de la distance. La lumière émise par une étoile s'étend ainsi à l'infini sans jamais disparaître complètement.

Mais d'autre part, puisque l'électron émet des ondes progressives sphériques, il faut réaliser que l'amplitude de ses ondes stationnaires ne peut pas décroître de la même manière. Même si ce n'est pas réellement le cas, on peut postuler que, d'un point de vue mathématique, les ondes stationnaires pures sont faites d'ondes dont l'amplitude est la même et qui circulent en sens opposé.

Or l'électron est amplifié par les ondes de l'éther et il rayonne des ondes progressives à travers ses propres ondes stationnaires. Alors l'amplitude de ses ondes stationnaires doit décroître davantage que selon la distance, de manière à compenser peu à peu l'amplitude des ondes qu'il émet. Ainsi, il émet des ondes progressives jusqu'à sa périphérie tant qu'il y subsiste des ondes stationnaires, mais il cesse d'y ajouter de l'énergie au-delà d'un certain point.

L'électron n'est donc pas fait d'ondes stationnaires sphériques pures. C'est le cas seulement de la région située très près du noyau. Plus loin, même en supposant qu'il soit parfaitement au repos dans l'éther, les ondes deviennent partiellement stationnaires puisque l'amplitude des ondes convergentes et divergentes diffère. Finalement, beaucoup plus loin, les ondes sont purement progressives. Le diagramme suivant montre que la transition entre ces trois états peut se faire progressivement :

   

L'électron au repos montre trois types d'ondes, selon la distance du centre.

Il n'est donc pas fait d'ondes stationnaires sphériques pures.

   

La pression de radiation.

Il est clair qu'un électron en train d'accélérer, de ralentir ou de changer de direction ne peut pas compter sur ses propres ondes présumées convergentes. Elles ne convergeraient pas au bon endroit.

Le mécanisme de la pression de radiation fait plutôt appel aux champs de force. Il s'agit des ondes stationnaires produites par la rencontre des ondes émises par un électron donné d'une part, et les ondes émises par d'autres électrons d'autre part. Parce qu'ils sont eux-mêmes amplifiés par les ondes de l'éther, ces champs de force ont la propriété de retourner la moitié de l'énergie correspondante vers les électrons qui leur ont donné naissance.

Le programme Ether13.exe (code source : Ether13.bas) montre d'une manière indiscutable que ce phénomène doit se produire. Contrairement aux ondes convergentes de l'électron, qui ne sont que théoriques, les ondes émises par les champs de force sont réelles. Et parce que leur période ne correspond pas nécessairement à celle du noyau central de l'électron, cela aura pour effet de le déplacer. 

Il en ressort que la moitié de l'énergie des ondes stationnaires de l'électron est certainement limitée à une très petite sphère, vraisemblablement de la taille d'un atome. Cette sphère représente néanmoins des millions, sinon des milliards de longueurs d'onde. L'autre moitié, bien plus diffuse, s'étend sans doute relativement loin, peut-être jusqu'à un mètre.

Le phénomène d'amplification de l'électron se produit à cause d'un effet de lentille, qui se traduit par un très faible déséquilibre local dans ses ondes stationnaires lors du passage des ondes planes qui circulent en permanence à travers l'éther. Ce déséquilibre se traduit par la création d'ondelettes de Huygens. Il est clair que ces ondelettes ne provoqueront la formation d'ondes stationnaires que si leur « enveloppe commune », dont parlait Huygens, se rencontre. C'est toujours le cas si elles sont dirigées vers l'intérieur. Mais elles ne pourront que former des ondes progressives si elles sont dirigées vers l'extérieur.

La sommation de ces ondelettes en termes d'énergie nouvelle étant de plus en plus importante à mesure qu'on se rapproche du centre, il devient impossible de justifier la présence d'ondes stationnaires permanentes significatives à grande distance. C'est ce que montre le diagramme suivant :

   

Ce diagramme a été réalisé grâce à l'Éther Virtuel (ici en deux dimensions) de M. Philippe Delmotte.

Les ondes stationnaires de l'électron occupent un espace limité. Elles ne s'étendent pas à l'infini.

Si l'électron est amplifié localement, les ondelettes de Huygens ne proviennent pas de l'infini.

Vers l'extérieur, leur enveloppe commune ne peut produire que des ondes progressives.

   

LE SPIN DE L'ÉLECTRON

Une onde, deux particules, quatre phases.

On sait que les ondes stationnaires présentent des ventres et des nœuds de courant ou de tension aux demi-longueurs d'onde et ceci, deux fois par période. Il peut donc exister deux sortes d'électrons, dont l'un est en avance d'une demi-période sur l'autre. C'est ce qui permet leur deux « spins », qui s'expliquent par une rotation de phase et non une rotation mécanique.

Ces deux électrons se distinguent car en un instant donné leur noyau central est fait l'un d'éther comprimé et l'autre d'éther dilaté. Mais ils ont en commun le fait que leurs ventres et leurs nœuds se forment simultanément. 

En effet, deux fois par période, les ondes stationnaires semblent disparaître. À ce moment, la pression du médium est la même partout et ce sont plutôt  les ventres de courant qui s'activent. Alors la substance du médium est déplacée en direction du futur ventre de pression. Ces deux phases peuvent donc être occupées par deux autres particules qui oscillent à la quadrature. Ce sont les positrons, qui présentent eux aussi deux spins opposés.

La synchronisation de toutes ces particules doit donc être parfaite. On peut présumer que les électrons libres se synchronisent mutuellement de manière à ne tolérer que les deux phases compatibles, ce qui explique l'absence de positrons à l'état libre. En effet les atomes et les molécules sont ainsi construits que les électrons périphériques sont infailliblement plus près les uns des autres que les positrons qu'on suppose ici présents à l'intérieur des protons. Confinés à l'intérieur des champs gluoniques qui se forment entre les quarks qui composent les protons, ces positrons baignent dans des ondes qui vibrent à la quadrature. Ils sont donc à l'abri de l'influence directe des électrons, et ils conservent eux aussi leur période propre.

On peut facilement distinguer les électrons des positrons parce qu'ils apparaissent en alternance. Pourtant, comme c'est aussi le cas du pôle nord et du pôle sud d'un aimant, il est impossible de déterminer à priori lesquels sont les électrons ou les positrons.

Ces noms sont donc relatifs, comme ceux des pôles d'un aimant. On a d'ailleurs fait erreur en ce qui concerne le pôle nord de la Terre, qui est en fait son pôle sud, et en identifiant les bornes positives et négatives des piles. Ceci montre qu'on aurait pu tout aussi bien considérer que les électrons sont positifs. Alors les protons auraient été négatifs et les anti-électrons auraient été nommés « négatrons ».

Le spin des électrons et des positrons.

Considérant les phases, il y a plus de différence entre les deux électrons de chaque spin qu'il y en a entre un électron et un positron. Mais on verra plus loin que c'est très nettement le fait que leurs ventres et leurs nœuds apparaissent simultanément qui les identifie.

Toutefois le spin des électrons devient déterminant lorsqu'on les met en présence d'un positron, par exemple celui qui se trouve à l'intérieur d'un proton. Dans ce cas, à distance égale, le sens du rayonnement unidirectionnel qu'ils produisent est inversé selon leur spin. Il faut donc que les deux soient présents de part et d'autre du noyau de l'atome pour neutraliser le champ magnétique qui en résulterait autrement. C'est pour cette raison que le principe d'exclusion de Pauli interdit la présence de deux électrons de même spin, du moins sur une même couche, compte tenu d'autres critères. 

Le spin des électrons a été établi à + 1 / 2 et à 1 / 2, ce qui correspond à pi / 2 et à 3 pi / 2. Le mot anglais spin fait référence à une rotation, mais celle-ci suppose un axe qui n'a jamais été démontré. D'ailleurs les comptes-rendus récents donnent à penser qu'il n'y a pas de rotation, tout simplement parce qu'on n'a jamais pu déterminer le diamètre d'un électron. Géométriquement, c'est un point, et il est impossible de démontrer qu'un point tourne sur lui-même.

Ce spin indique donc plutôt une période d'onde. Dans ces conditions le spin des positrons devrait s'établir à 0 et à p.

Voici une animation qui montre le spin respectif des électrons et des positrons :

   

Quatre spins, deux pour l'électron et deux pour le positron.

   

Les erreurs du passé nous empêchent de progresser.

Cette hypothèse ne peut plus être rejetée du revers de la main. Il faudra bien qu'on le réalise : à ce jour, personne n'a pu expliquer clairement l'électron ni la matière. Or non seulement il s'agit ici d'une hypothèse plausible, mais c'est la seule hypothèse raisonnable à l'heure actuelle...

Le problème, c'est que cette hypothèse remet en question de nombreuses autres hypothèses qu'on avait avec le temps considérées comme des certitudes absolues. Par exemple, quand Maxwell a présenté en 1873 ses équations sur les « ondes électromagnétiques » dans leur forme définitive, toute la communauté scientifique a immédiatement applaudi. Et pourtant, Maxwell n'a fait que présenter des équations. Il n'a jamais démontré que les champs électriques et magnétiques pouvaient réellement voyager de cette manière à la vitesse de la lumière. Comment pouvait-on en être si sûr, alors qu'il y avait amplement matière à douter ?

En plus clair, les ondes électromagnétiques n'existent pas. Si la lumière présente une polarisation, ce n'est pas parce que ses ondes vibrent transversalement comme le prétendait Fresnel (voilà encore une erreur...). C'est parce que ses ondes sont émises par deux électrons ou positrons au minimum. Les spécialistes en radioélectricité conviendront que si l'un de deux émetteurs synchronisés effectue une rotation mécanique autour d'un point, on obtiendra des ondulations de phase dans le plan comprenant les deux émetteurs. Ces ondulations ne seront pas perceptibles sur un plan orthogonal : il y a bel et bien polarisation, mais pas nécessairement car le plan de rotation peut aussi tourner dans un sens ou dans l'autre. De plus, la fréquence est celle des ondulations, et non pas celle des ondes émises par les électrons. La fréquence de la lumière et des ondes radio est donc une fréquence secondaire.

Bien sûr, les équations de Maxwell donnent des résultats corrects car les champs électriques et magnétiques sont virtuellement présents dans les ondes radio. En effet, les ondes émises par les électrons ont la « vertu » de provoquer de tels champs en atteignant toute matière.

Bref, tout se passe comme si les champs eux-mêmes se déplaçaient. Mais ce n'est pas le cas. Vous trouverez d'autres exemples de méprises à la page sur les erreurs à corriger. Il faudra éliminer ces entraves. Étant donné leur nombre et leur importance, la reconstruction sera laborieuse.

La vérité triomphera.

En septembre 2009, ce site était sur l'Internet depuis six ans et ce n'était pas encore gagné. Pourtant, c'est désormais acquis : cette onde "stationnaire mobile" fonctionne. Elle peut exister. Et puisqu'elle présente toutes les propriétés d'un électron, il ne peut s'agir que d'un électron.

Je veux bien admettre que l'hypothèse est surprenante ; mais si les physiciens qui connaissent bien les ondes stationnaires prenaient la peine de lire cette page avec attention, ils devraient au moins admettre qu'elle est intéressante.

De toutes façons, s'ils refusent de l'étudier, ce sont les étudiants d'aujourd'hui, ceux dont l'intelligence et la curiosité sont encore en éveil, qui le feront.

Ils auront un doute, le doute salutaire de Descartes. Et le temps fera son œuvre.

   

En complément à cette page, vous trouverez un peu plus loin une page sur les ondes stationnaires sphériques.

   

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Gabriel LaFrenière,

Bois-des-Filion en Québec.

Dernière mise à jour le 09-09-09.

Sur l'Internet depuis septembre 2002.

Courrier électronique : veuillez consulter cet avis.

La théorie de l'Absolu, © Luc Lafrenière, mai 2000.

La matière est faite d'ondes, © Gabriel Lafrenière, juin 2002.