LES POSTULATS DE LA THÉORIE DES ONDES.
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À lui seul, l'électron explique l'Univers.
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La théorie de l'Absolu. Le but de ce site est de montrer que la matière est faite d'ondes, et que ce sont également des ondes qui sont responsables de toutes les forces. On y explique le mécanisme des phénomènes physiques fondamentaux, et la page précédente en fait le survol. Toutefois l'ensemble de ces sujets ne constitue pas un tout en soi. Il fallait en faire la synthèse, plus centrée sur la matière que celle qui avait déjà fait l'objet d'une première publication en mai de l'an 2000 sous le nom de La Théorie de l'Absolu. Ce titre avait bien sûr été choisi pour faire contrepoids à la célèbre théorie de la Relativité d'Albert Einstein. Il s'agissait de démontrer qu'il existe toujours deux points de vue en matière de physique. Il y a ce qui se passe réellement, qui est absolu, et ce que nous constatons, qui est souvent relatif. Le meilleur exemple qu'on puisse en donner est l'effet Doppler, qu'il est impossible de déceler en présence d'un vent constant, mais qui se produit tout de même. Einstein prétend que la vitesse de la lumière est la même dans tous les référentiels galiléens. C'est inexact et même tout à fait faux. Il est vrai qu'elle y semble la même, mais dans les faits, puisque nous nous déplaçons sûrement à travers l'éther, la lumière subit bel et bien l'effet Doppler. Puisqu'on parlera ici d'ondes, et uniquement d'ondes, le titre "La théorie des ondes" est plus approprié. Après tout la Relativité n'est somme toute qu'une curiosité, alors qu'une explication mécanique complète et cohérente de la matière à l'aide d'ondes exclusivement est capitale. Elle constitue à mon sens une révolution sans précédent dans l'histoire des sciences. La théorie des ondes en bref. Puisqu'il est ici question d'ondes, qui ont besoin d'un médium, il faut postuler dès le départ que l'éther existe. La matière est faite uniquement d'électrons qui sont constitués d'ondes stationnaires sphériques mobiles qui tirent leur énergie des ondes qui se propagent dans l'éther. Toutes les forces de la nature s'expliquent par les ondelettes que ces électrons émettent et qui se composent selon le principe de Huygens sous la forme de champs de forces. Ceux-ci émettent à leur tour des ondes qui sont focalisées et qui exercent une pression de radiation. Et enfin, le résultat d'une telle pression est le mouvement. La pression des ondes est la force, et le mouvement de la matière est l'énergie. La mécanique de la matière, c'est donc la mécanique des ondes. Par ailleurs, en présence d'ondes et de mouvement, l'effet Doppler est inévitable. Cela nous conduira tout droit aux transformations de Lorentz. À la seule condition de postuler que l'éther existe et que la matière est faite d'ondes stationnaires sphériques, on en déduit finalement que la Relativité telle que la concevait Lorentz doit se vérifier. Voilà donc toute la théorie des ondes résumée en quelques mots. La page précédente en fait une analyse plus approfondie : La théorie des ondes. Jetons d'abord un coup d'œil à la liste des postulats de la théorie des ondes. Les postulats. Cette page reprend sensiblement les mêmes assertions que celles qui figuraient déjà dans La Théorie de l'Absolu. Ici, on utilisera plutôt le mot postulat, qui rappelle Euclide sans pour autant signifier "évidence". |
Et maintenant, voyons cela d'un peu plus près. |
LES POSTULATS DE LA THÉORIE DES ONDES
1 - L'ÉTHER.
Descartes a découvert l'éther (d'après la mythologie grecque, Aiqhr ou Aithêr) en notant que les ondes de la lumière avaient besoin d'un médium. Toutefois, parce que la matière est faite d'ondes, et parce que toutes les forces s'expliquent également par des ondes, ce n'est plus seulement la lumière qui est concernée, mais l'Univers entier. L'importance de l'éther s'avère maintenant capitale. Il s'agit bien évidemment d'un milieu élastique capable de véhiculer des ondes sans pertes. Toutefois sa véritable nature risque de demeurer pour toujours un mystère. Contrairement à ce que prétendait Fresnel, les ondes de la lumière ne vibrent pas transversalement, et il est donc inutile de prévoir un éther rigide particulier capable de véhiculer de telles ondes. D'un point de vue mathématique, l'infini n'existe pas. Si c'est bien le cas physiquement, il existe une possibilité que ce milieu prenne progressivement de l'expansion puisqu'on le présume ici élastique, ce qui pourrait expliquer l'expansion de l'Univers. Ce phénomène provoquerait un effet Doppler très particulier. On peut affirmer que l'Univers matériel est composé uniquement d'éther, et alors le premier postulat s'impose :
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L'éther est une substance homogène, compressible et élastique qui occupe un espace immense mais fini. Il justifie l'existence des ondes stationnaires dont la matière est faite, de même que l'existence des ondes responsables de toutes les forces qui contrôlent cette matière. |
2 - LES ÉLECTRONS.
On montre à la page sur les ondes stationnaires qu'un système fait d'ondes sphériques appelées à tort stationnaires peut très bien se déplacer par effet Doppler. Chaque unité est identique et s'avère être un électron. Il s'agit d'un oscillateur autonome dont l'essentiel de l'énergie est distribué dans un espace relativement petit, qu'il faut éviter de considérer comme fait d'ondes convergentes et divergentes. Parce que les ventres et les nœuds des ondes stationnaires apparaissent deux fois par période, il peut exister deux spins distincts, ce qui permet aussi l'existence de deux antiparticules qui vibrent à la quadrature, les positrons. Fondamentalement, il s'agit de la même particule, dont le fonctionnement est décrit à la page sur les électrons. Les électrons ont été créés peu à peu spontanément par les ondes qui circulent dans l'éther selon un processus identique à celui qui permet la formation de la tache d'Airy, à la suite d'une situation hautement improbable mais possible qui fait en sorte qu'un grand nombre d'ondes provenant de différentes directions et vibrant sur la même fréquence parviennent en phase en un point donné.
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Les électrons sont des ondes stationnaires sphériques qui se déplacent par effet Doppler. |
3 - L'AMPLIFICATION.
Tout système fait d'ondes stationnaires rayonne normalement toute son énergie puis il disparaît. Pour subsister, il faut donc qu'il soit alimenté en énergie. Ce processus d'amplification s'explique par l'effet de lentille, comme on le montre à la page sur la mécanique ondulatoire. À l'origine, c'étaient les ondes déjà présentes dans l'éther qui alimentaient chaque nouvel électron en énergie. Ces ondes ont été peu à peu remplacées par les ondes que tous les électrons de l'Univers émettent. Elles constituent une réserve abondante et inépuisable d'énergie, qui est recyclée indéfiniment par les électrons, et redistribuée dans toutes les directions.
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Chaque électron est alimenté en énergie par tous les autres électrons de l'Univers. |
4 - LA VITESSE DE LA LUMIÈRE.
Il est bien établi et vérifié que peu importe sa fréquence ou son amplitude, toute onde qui se propage dans un médium stable et homogène le fait à une vitesse constante. Toutes les ondes qui se propagent à travers l'éther, y compris celles qui sont responsables de la lumière, le font donc certainement à la même vitesse. Nous ne mesurons pas cette vitesse de la même manière selon notre propre mouvement à travers l'éther, mais elle n'en est pas moins constante et absolue.
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La vitesse des ondes de l'éther est constante et absolue. |
5 - LA FRÉQUENCE CONSTANTE DES ÉLECTRONS.
Le spin distinct des électrons et des positrons s'explique par leur période d'oscillation relative, ce qui suppose qu'ils vibrent tous sur la même fréquence. Cette uniformité s'explique par la nature homogène de l'éther et par la constance de l'énergie des ondes qui s'y propagent. La très haute fréquence s'explique par le fait que toute amplification tend à accélérer la fréquence d'un phénomène vibratoire, quand c'est possible, jusqu'à ce qu'une limite physique soit atteinte. De plus, chacun d'eux se synchronise sur la fréquence des électrons voisins, ce qui explique qu'il n'existe pas de positrons à l'état libre. La longueur d'onde de ce système est incroyablement petite, certainement moins de 10 ^ –18 mètre. Toutefois, plusieurs physiciens ont découvert récemment que les ondes stationnaires subissent les transformations prévues par Lorentz. S'ils accélèrent, les électrons doivent donc ralentir cette fréquence selon la première loi de Lorentz, qui est énoncée plus bas.
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La fréquence de tous les électrons au repos est la même, et celle de ceux qui se déplacent ralentit selon la première loi de Lorentz. |
6 - LA MATIÈRE EST FAITE UNIQUEMENT D'ÉLECTRONS.
Toute autre particule qu'un électron ou un positron est un ensemble d'électrons ou de positrons. Il s'y ajoute un système ondulatoire secondaire résultant de l'addition des ondes de chacun d'eux. Il peut s'agir d'un champ électrostatique, magnétique ou gluonique. Ces systèmes secondaires constituent de la matière à toutes fins pratiques, mais ils ne peuvent exister sans la présence des électrons. C'est le cas par exemple à l'intérieur des quarks et entre ceux-ci, et aussi entre les protons et les neutrons dont les atomes sont faits. On peut donc affirmer que :
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La matière est faite uniquement d'électrons. |
7 - LES CHAMPS DE FORCE.
Les électrons rayonnent de l'énergie en permanence sous la forme d'ondelettes sphériques qui rappellent les ondelettes de Huygens. Conformément au principe de Huygens, ces ondelettes ajoutent ou retranchent leur énergie en un point donné. En présence de deux électrons ou de deux parcelles de matière, les ondes se rencontrent dans l'espace intermédiaire, particulièrement sur l'axe qui les unit. Il en résulte un champ de force constitué d'ondes stationnaires qui rayonne et focalise son énergie vers la matière qui les a créés.
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Toutes les forces de la nature agissent par l'intermédiaire de champs de force. |
8 - LA PRESSION DE RADIATION.
Les ondes de l'éther possèdent la propriété d'accélérer ou de ralentir les électrons, et donc la matière. Elles ne peuvent le faire que si elles sont suffisamment puissantes. Les champs de force ont la propriété de focaliser les ondes qu'ils émettent vers les deux parcelles de matière qui les ont créés. Arrivées à destination, ces ondes ont donc acquis une puissance suffisante pour exercer une pression de radiation, qui est la seule force capable de modifier la vitesse de la matière. Toutes les forces agissent donc de la même manière, ce qui réalise l'unification des forces malgré le fait que les champs de force diffèrent les uns des autres par leur structure.
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La pression de radiation est la seule force. |
9 - LE MOUVEMENT.
Il n'existe pas de force attractive, tout effet d'attraction étant le résultat d'une composante de forces en sens opposé. La pression de radiation est une force répulsive, qui a pour effet d'accélérer la matière, de la ralentir, ou de modifier sa direction. Le résultat d'une telle pression est le mouvement, qui accumule de l'énergie par effet Doppler sous forme d'énergie cinétique.
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Toute force appliquée à la matière modifie son mouvement. |
10 - L'ÉQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE.
Le mouvement d'un électron s'explique par l'effet Doppler que ses ondes subissent, et alors l'action de ces ondes peut être comparée à celle d'un bang subsonique. La théorie des ondes montre que l'énergie cinétique qui en résulte peut s'expliquer en invoquant des forces actives et réactives qui varient en fonction de la vitesse, donc de l'effet Doppler. Le calcul de ces forces permet de démontrer du même coup que l'action et la réaction, comme la masse de la matière, varient aussi en fonction de l'effet Doppler.
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La masse de la matière s'explique par l'énergie de ses ondes, et puisque tout mouvement comprime ces ondes par effet Doppler, il en résulte une augmentation de leur énergie, et donc de leur masse. |
11 - L'EFFET D'OMBRE.
La matière absorbe une partie de l'énergie des ondes qui circulent dans l'éther. Ces ondes étant affaiblies en provenance de toute accumulation de matière, les ondes venant en sens inverse s'en trouvent plus puissantes en comparaison. C'est l'effet d'ombre, une force attractive qui se justifie par une pression de radiation supérieure en sens opposé mettant en jeu des ondes qui n'ont pas été affaiblies.
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L'effet d'ombre est une force attractive qui résulte d'une composante de forces supérieure en sens opposé. |
12 - L'INVARIANCE DES PHÉNOMÈNES PHYSIQUES.
Le deuxième postulat de la théorie de la Relativité d'Albert Einstein affirmait que les lois de la nature sont les mêmes dans tous les référentiels galiléens. Il convient de préciser que c'est plutôt Henri Poincaré qui a fait cette découverte. Étant donné son importance, on pourra parler de la loi des lois. En effet, Poincaré a fait la déclaration suivante dès 1904, en parlant d'ailleurs aussi le premier de la Relativité. Je précise que j'ai dû remplacer le mot "sont" par le mot "semblent" pour demeurer cohérent avec le fait que la Relativité ne décrit que les apparences.
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Les lois des phénomènes physiques semblent les mêmes pour un observateur fixe et pour un observateur entraîné dans un mouvement de translation uniforme, de sorte que nous n'avons et ne pouvons avoir aucun moyen de discerner si nous sommes, oui ou non, emportés dans un pareil mouvement. |
13 - L'ACTION ET LA RÉACTION.
Selon la troisième loi de Newton, toute action devrait être accompagnée d'une réaction de force égale mais de sens opposé. Sachant que c'est le mouvement qui détermine l'intensité d'une force, et qu'il s'agit d'ondes, il faut s'attendre à ce que l'effet Doppler soit impliqué. Dans l'absolu, ces forces ne sont donc pas égales. On peut aussi remarquer qu'elles n'agissent pas nécessairement en sens opposé. Toutefois, à la condition de les observer dans le référentiel du champ de force qui les cause, il est impossible de distinguer l'action et la réaction. Elles apparaissent parfaitement égales et de sens opposé. Elles apparaissent aussi simultanées, ce que la loi de Newton omettait de préciser. Cela conduit à un principe de double action qui permet de contourner les transformations de Lorentz et la Relativité. On peut ainsi récupérer les lois de Newton en toute légitimité.
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Dans les faits, les forces d'action et de réaction sont assujetties à l'effet Doppler mais elles semblent simultanées, égales et de sens opposé si elles sont observées dans le référentiel du champ de force qui les cause. |
14 - L'ÉNERGIE.
Dès qu'une force est appliquée sur la matière, son mouvement en est modifié. La matière qui se déplace comprime ses ondes par effet Doppler, ce qui augmente leur fréquence et donc l'énergie qu'elles contiennent. Il s'agit donc d'énergie cinétique. Il peut arriver que cette énergie soit pour ainsi dire mise en conserve indéfiniment dans les ondes stationnaires d'un champ de force, un peu comme s'il s'agissait d'un ressort qu'on enclenche. C'est le cas en particulier des champs gluoniques. On est alors en présence d'énergie potentielle. Mais à la base, toute énergie est liée à un mouvement.
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Toute énergie est le résultat d'un mouvement. |
15 - TOUT DÉPLACEMENT EST COMPOSITE.
Tout déplacement est le résultat d'une suite de mouvements de va-et-vient longitudinaux ou en zigzag, toujours effectués à la vitesse de la lumière. Toute vitesse supérieure est impossible, et toute vitesse inférieure résulte de la composition de déplacements en tous sens qui sont toujours effectués à la vitesse de la lumière, et qui justifient la première loi de Lorentz citée plus loin. Toute autre vitesse que celle de la lumière prend un aspect composite. Ces mouvements sont évidemment ceux des ondes de la matière, mais il faut préciser que leur mécanisme implique plus exactement la substance de l'éther. Celle-ci n'est pas déplacée dans son ensemble, mais le déplacement moyen local de sa substance l'espace d'une période correspond à la vitesse de la lumière.
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La vitesse de la lumière est la seule vitesse fondamentale. |
16 - LE SYSTÈME DE DESCARTES.
Descartes a découvert l'éther et il a inventé le système de coordonnés à trois axes qui porte maintenant son nom. Dès ce moment le principe de Relativité de Galilée devenait invalide puisque la lumière n'y est pas assujettie à cause de l'éther. Un référentiel dit galiléen est inapplicable dans le cas de la lumière. Il ne l'est pas plus dans le cas de la matière puisqu'elle est faite d'ondes de même nature. Dans l'absolu, il faut obligatoirement que les variables x, y, z et t des transformations de Lorentz fassent référence à la longueur d'onde et à la période de l'électron au repos, puisque celles-ci sont invariables. Il n'est pas question de l'espace et du temps, il est question d'une longueur d'onde et d'une période, quoique celles-ci ne soient pas encore connues. D'un point de vue strictement mécanique, les transformations de Lorentz étaient déjà prévisibles dès l'époque de Descartes, mais ce n'est que vers 1885 que Woldemar Voigt et Albert Michelson en ont trouvé indépendamment les valeurs préliminaires. Par la suite, Lorentz et Poincaré ont découvert une loi de la Relativité qui fait en sorte que le mouvement absolu comparativement à l'éther nous échappe totalement. À défaut de pouvoir repérer un point véritablement au repos, le seul compromis acceptable qui subsiste est de choisir par convention le point de référence qui semble le plus approprié et de présumer qu'il est au repos. Étonnamment, cette méthode donne des résultats cohérents qui ont l'avantage de satisfaire de nombreux observateurs qui ont accepté de se soumettre à cette convention. Ce référentiel privilégié conduit à la Relativité de Lorentz.
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Le référentiel privilégié est cartésien et il est présumé au repos absolu dans l'éther. |
17 - L'ESPACE ET LE TEMPS NE SE TRANSFORMENT PAS.
Qu'on le veuille ou non, nos mesures sont établies par convention selon la loi du plus fort. On a vu ci-dessus qu'elles pourraient être établies selon la longueur d'onde et la fréquence de l'électron, qui constitue l'étalon par excellence. En vertu de la loi de la Relativité, cet électron choisi dans un référentiel privilégié déterminé par convention serait présumé au repos. Cela devrait clore toutes les discussions qui menaient jusqu'à ce jour à un cul-de-sac. Ce choix est d'autant plus judicieux que la matière elle-même est faite d'électrons et que toutes ses mesures en dépendent strictement. Contrairement à ce qu'Albert Einstein affirmait, l'espace et le temps ne se transforment pas. Il ne s'agit que de concepts, qui n'ont aucune existence matérielle. Parler de la contraction de l'espace et de la dilatation du temps est tout simplement absurde. Affirmer que la gravité courbe l'espace relève du délire, à plus forte raison sans expliquer pourquoi ni comment un tel phénomène pourrait avoir lieu. Il est certain que les scientifiques du futur se dilateront la rate devant la naïveté et la crédulité des scientifiques du 20e siècle.
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Les grandeurs de l'espace et du temps ont un lien avec la longueur d'onde et la fréquence de l'électron et elles sont invariables. |
18 - LE PRINCIPE DE CAUSALITÉ.
La mécanique ondulatoire montre clairement que tout événement est la cause de nouveaux événements, et que ce processus se répète indéfiniment en cascade. Le mouvement d'un corps matériel est un effet qui produit de nouvelles causes. On est en présence d'électrons rayonnant de l'énergie cinétique sous la forme d'ondelettes comprimées par effet Doppler. Là où elles se composent positivement ou négativement, ces ondelettes exercent une pression de radiation anormalement forte ou faible par l'intermédiaire d'un champ de force fait d'ondes stationnaires. Il en résulte une force positive ou négative qui modifie le mouvement d'un autre corps, ce qui constitue un effet. Mais alors le processus redémarre, ce qui est le propre d'une réaction en chaîne.
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Tout effet a une cause, et les effets produisent de nouvelles causes qui agissent par les ondes de l'éther à la vitesse de la lumière. |
19 - LES TRANSFORMATIONS DE LORENTZ.
Lorentz avait raison. La matière se transforme réellement comme il l'a indiqué, et il faut donc en déduire une nouvelle loi qu'il faudra nommer la première loi de Lorentz :
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La matière subit une contraction sur l'axe de son déplacement de la même manière que les ondes dites stationnaires dont elle est faite, à cause de l'effet Doppler et selon sa vitesse absolue à travers l'éther, qui s'accompagne d'un décalage horaire, d'une augmentation de sa masse et d'un ralentissement de sa vitesse d'évolution. |
20 - LES FAITS SONT ABSOLUS.
Henri Poincaré a fait erreur en proposant des équations à effet réciproque. L'espace et le temps n'ont pas d'existence réelle. À partir du moment où l'on convient de leur affecter des valeurs, il faut s'en tenir à ces valeurs, contre vents et marées. Peu importe la vitesse d'un système, ce qui s'y passe doit d'abord être rapporté à un référentiel présumé au repos dans l'éther, même si ce n'est pas le cas. On obtient alors une référence arbitraire mais efficace, car cette référence ne change pas. C'est à partir de cette référence qu'il faut ensuite évaluer ce qu'un observateur mobile observera. Il est vrai que c'est invérifiable. Mais il est clair qu'un observateur au repos observerait les faits tels qu'ils se produisent, alors qu'un observateur en mouvement serait victime d'une illusion à cause de l'effet Doppler. Il n'y a donc pas de véritable réciprocité. Il n'y a pas de véritable Relativité. Le général de Gaulle disait : "Les faits sont tenaces". Plus exactement, ils sont absolus. Cela signifie qu'ils ne sont soumis à aucune condition. Ils sont ce qu'ils sont. Ils ne peuvent pas différer selon le point de vue.
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Les faits sont absolus. |
21 - LA LOI DE LA RELATIVITÉ.
Toutefois il faut convenir que la Relativité prévoit très bien ce que seront nos illusions. Elle est donc utile, et même nécessaire. Parce que c'est Lorentz qui en a donné la version exacte, il faudra désormais parler de la Relativité de Lorentz. À peu ce choses près, cette vision relative des choses correspond à la théorie de la Relativité restreinte d'Albert Einstein. Mais contrairement à celle d'Einstein, elle permet également d'expliquer ce qui se passe vraiment, d'une manière mécanique, ce qui est un avantage considérable. Elle permet entre autres de lever le fameux paradoxe des jumeaux et d'expliquer certains phénomènes comme l'effet Sagnac. Elle n'admet pas de vitesse supérieure à celle de la lumière, ce qui signifie qu'on a certainement fait erreur en interprétant certains phénomènes dits instantanés comme l'effet EPR. Il faut remarquer que contrairement à la Relativité d'Einstein, que personne n'a jamais vraiment comprise, la "Loi de la Relativité des Apparences" de Lorentz peut se résumer à cet énoncé d'une étonnante simplicité :
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De son point de vue, tout corps matériel semble au repos, et tout autre corps ne semble agir, réagir et se conformer à la première loi de Lorentz que selon sa vitesse apparente. |
22 - LA GRAVITÉ.
La gravité n'est pas la force fondamentale de l'univers. C'est une force comme les autres, et comme toutes les forces elle est attribuable à des champs de force faits d'ondes stationnaires. Elle n'a aucun lien avec la Relativité et il n'existe donc pas de "Relativité Générale". La formule de Newton est exacte en première approximation. Toutefois on peut prévoir que la gravité devrait présenter de nombreuses anomalies, dont il faudrait tenir compte pour expliquer certains phénomènes résiduels comme le déplacement du périhélie de Mercure. Il apparaît surtout évident que la constante gravitationnelle G n'est pas vraiment constante : il existe une gravité absolue. La gravité s'explique par le fait que les ondes rayonnées par la matière sont sphériques, ce qui produit des champs de force d'autant plus faibles que leur rayon de courbure est faible.
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La gravité provient du fait que les ondes rayonnées par la matière sont sphériques. |
23 - LA LUMIÈRE.
La lumière est faite des ondelettes sphériques à fréquence unique émises par les électrons, mais sur une fréquence secondaire plus basse, et seulement lorsque les électrons sont déstabilisés. Ils oscillent alors à la manière d'un pendule. S'ils oscillent en ligne droite, la lumière est polarisée. C'est aussi le cas s'ils font le va-et-vient le long d'une antenne filaire parce qu'ils ont alors une influence sur les électrons captifs des atomes. Contrairement à ce que pensait Fresnel, la lumière ne vibre pas transversalement. C'est plutôt son rayonnement qui ondule transversalement parce qu'il présente des zones alternativement en phase, puis en opposition de phase. À la réception, les électrons de chaque spin sont en mesure de reconnaître ces phases et de réagir différemment puisqu'ils vibrent en opposition de phase. Si les électrons oscillent en décrivant des trajectoires circulaires, la polarisation subit une rotation dans un sens ou dans l'autre. Aussi ahurissant que cela puisse paraître, la lumière traverse tous les objets sans rencontrer la moindre résistance. C'est évident puisque les ondes de la matière sont tout à fait incapables de l'arrêter. Par contre, toutes les fois que la lumière atteint des électrons, elle tend à les disposer selon leur spin en fonction de son intensité. L'ensemble des électrons rayonne alors des ondes en opposition de phase. Ces ondes annulent la lumière incidente, et c'est pourquoi il se produit une ombre derrière les objets. Ce phénomène est démontré de manière irréfutable à la page sur la lumière. La réflexion, la dispersion, la réfraction et la transparence peuvent s'expliquer de la même manière. Il faut retenir que tous ces phénomènes impliquent toujours de la nouvelle lumière, ce qui permet de dissiper un grand nombre de malentendus sur la lumière. Il faut en particulier en déduire que l'expérience de Fizeau et bien d'autres de ce genre impliquent des phénomènes tellement complexes qu'elles ne sont absolument pas concluantes. S'il oscille trop fortement sous l'influence de la chaleur, de la lumière ou de tout autre rayonnement, l'électron est expulsé de sa couche atomique normale, qu'il réintégrera aussitôt à moins qu'un autre électron ne l'ait déjà remplacé. C'est ce qui permet de provoquer une réaction chimique ou un courant électrique, et donc de faire en sorte que nos yeux, une pellicule photographique ou un dispositif électronique puissent détecter la lumière. Il est évident que cette détection ne peut avoir lieu que si l'électron est expulsé, et que cette expulsion ne peut avoir lieu qu'au delà d'un certain seuil, toujours le même. Ce seuil, c'est un quantum. L'aspect quantique de la lumière doit donc être attribué à l'électron, ce qui montre bien que les photons n'existent pas.
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La lumière est faite des ondelettes sphériques émises dans toutes les directions par les électrons, et qui s'ajoutent ou se détruisent conformément au principe de Huygens. Qu'il s'agisse des ondes radio, de la lumière visible ou des fréquences plus élevées, ce sont toujours les mêmes ondes composites qui sont pulsées sur une fréquence secondaire plus basse. |
Je suis navré de constater que beaucoup de chercheurs proposent une physique surréaliste et même franchement farfelue, où très souvent la philosophie tient bizarrement une place prépondérante. Puisque mes hypothèses semblent tout aussi farfelues à première vue, je me trouve malgré moi environné de tels gens pour qui la vérité n'est pas la valeur première, de sorte qu'on me confond avec eux. Cela explique pourquoi ce site demeure dans l'ombre depuis plusieurs années malgré le fait qu'il soit très visité. Je le répète constamment, la vérité vient en premier. Comme l'a écrit Henri Poincaré : "La recherche de la vérité doit être le but de notre activité..." Je dirais plutôt que c'est tout simplement la vérité qui doit être notre but puisqu'elle triomphera un jour. Ceux qui disaient vrai triompheront alors avec elle. Puisque je suis moi-même imparfait, il est possible que ce jour-là, certains postulats cités ci-dessus en soient quelque peu bousculés. Mais l'édifice dans son ensemble n'en sera certainement pas ébranlé puisque la matière est faite d'ondes. C'est une chose dont je suis absolument certain, et c'est pourquoi je suis prêt à parier que l'essentiel de cet édifice est éternel... |
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Gabriel LaFrenière, Bois-des-Filion en Québec. Sur l'Internet depuis septembre 2002. Dernière mise à jour le 17 septembre 2009. Courrier électronique : veuillez consulter cet avis. La matière est faite d'ondes, © Gabriel Lafrenière, juin 2002. |