L'INVERSION DE PHASE DE L'ÉLECTRON

L'inversion de phase d'une demi-période devient très visible au moment de la quadrature.

La formule indiquée ci-dessus est une trouvaille de M. Jocelyn Marcotte.

La distance x doit être exprimée en radians : x = 2 * pi * distance / lambda

         Page d'accueil :  La matière est faite d'ondes.

   

Le noyau demi-onde.

Le noyau onde entière conduit à une mécanique ondulatoire bien différente. Par exemple, si deux électrons dont le noyau ne ferait qu'une demi-onde de diamètre étaient à proximité, leurs ondes s'ajouteraient partout ou se détruiraient partout sur l'axe qui les unit. C'est l'un ou l'autre, selon qu'une demi-onde ou une onde entière en plus ou en moins les sépare :

   

La distance est de 12 longueurs d'onde. Les ondes s'ajoutent partout sur l'axe.

Ce diagramme est incorrect parce que le noyau central de l'électron fait une onde entière et non pas une demi-onde.

   

La distance est de 10,5 longueurs d'onde. Les ondes se détruisent partout sur l'axe.

Ce diagramme est lui aussi incorrect.

   

Le noyau onde entière.

J'ai pris connaissance du site Internet de M. Milo Wolff vers juillet 2003. J'ai immédiatement remarqué que l'électron représenté possédait un noyau central dont le diamètre faisait une onde entière.

C'est pourquoi j'ai entrepris aussitôt de vérifier tout ceci moi-même. Mes programmes étaient devenus très efficaces et j'ai vite constaté que les diagrammes de M. Wolff étaient tout à fait corrects.

Ainsi donc, l'électron statique de M. Wolff (cet électron ne peut se déplacer) possède un noyau dont le diamètre fait une onde entière, et alors les ondelettes de Huygens ne se composent plus de la même manière :

Les ondelettes de Huygens ne sont plus en phase après avoir traversé le noyau.

   

L'électron est amplifié: il est stable même s'il rayonne des ondes.

L'image ci-dessus montre que les ondelettes de Huygens ne sont plus en phase avec les ondes opposées après avoir traversé le noyau central. Au mieux, elles présentent un quart d'onde de décalage de part et d'autre, ce qui est néanmoins suffisant pour qu'elles s'additionnent. En effet, elles ne sont pas en opposition de phase de manière à produire des interférences destructives. Dans ce cas, on sait que la période est simplement est déportée dans un sens ou dans l'autre sans modification de l'amplitude, ce qui a finalement pour effet de produire un noyau central mesurant une onde entière.

Le calcul de ces ondelettes est relativement complexe. On sait qu'à la suite de Fresnel et de Denis Poisson, de nombreux mathématiciens avaient mis au point des intégrales que sir Airy avait utilisées dans le but de calculer le diamètre de la tache de diffraction connue aujourd'hui sous le nom de tache (ou disque) d'Airy. Je montre ailleurs dans ces pages que l'électron n'est rien d'autre qu'une tache d'Airy à pleine ouverture, soit sur 360°.

On trouvera à la page sur la mécanique ondulatoire une démonstration de l'effet de lentille. Il en résulte un effet d'amplification qui permet à l'électron de récupérer l'énergie qu'il perd à rayonner continuellement des ondes. On en déduit quatre points importants :

1 - L'électron est un émetteur d'ondes sphériques. Il rayonne continuellement de l'énergie empruntée aux ondes de l'éther.

2 - Les ondes que l'électron a émises s'étendent à l'infini, mais l'électron lui-même occupe un espace limité. Ses ondes stationnaires n'excèdent probablement pas une sphère d'un mètre de rayon, et l'essentiel de son énergie est peut-être même limité à une sphère de la grandeur d'un atome. On pourra le déterminer un jour en analysant les champs gluoniques et électrostatiques. 

3 - Fondamentalement, les ondes stationnaires sphériques ne sont pas faites d'ondes convergentes et divergentes. Ce concept s'avère utile et efficace pour analyser les ondes stationnaires, et je ne me prive pas moi-même de l'utiliser à l'occasion parce que les résultats qu'on obtient de cette manière sont le plus souvent corrects. Mais en réalité, ces ondes stationnaires sont tout simplement faites de zones où la substance de l'éther est alternativement comprimée puis dilatée. Ce phénomène obéit à la loi de Hooke, mais d'une manière très différente de ce qui se passe à l'intérieur des ondes progressives. Encore aujourd'hui, tous sont persuadés que les ondes stationnaires sont nécessairement faites d'ondes circulant en sens opposé. C'est très mal connaître les ondes stationnaires. 

4 - Les électrons étant faits d'ondes stationnaires sphériques stables, il s'y ajoute des ondes progressives convergentes qui sont peu à peu amplifiées ou modifiées à mesure qu'elles approchent du centre. Il faut savoir qu'il existe différents types de médium. Nous avons déjà démontré que le comportement des ondes peut varier sensiblement selon la nature de ce médium. En particulier, dans un médium compressible, la vitesse des ondes varie selon que ce médium est dilaté ou comprimé. En présence d'ondes stationnaires, ces ondes qui s'approchent du centre doivent soit ralentir, soit accélérer, de sorte que leur période finit par coïncider avec celle des ondes stationnaires. Lorsqu'elles sont parvenues au centre, elles se transforment en ondes divergentes et leur amplification se poursuit tant qu'il existe des ondes stationnaires. La seule superposition de ces ondes produit de nouvelles ondes stationnaires, mais l'excédent de l'énergie des ondes divergentes sur les ondes convergentes produit plutôt ce que j'appelle des "ondes partiellement stationnaires".

J'ai fait l'animation suivante dans le but de montrer que si l'intensité des ondes n'est pas la même dans les deux sens, des ondes stationnaires pures peuvent se transformer peu à peu en ondes progressives pures, mais avec un stade dit "partiellement stationnaire" à mi-chemin :

 

Les ondes stationnaires se transforment peu à peu en ondes progressives.

 

Puisque le noyau central (qui est un ventre de pression) mesure une onde entière, les ondes émises par l'électron se composent d'une manière différente de ce qu'on a vu plus haut :

 

Distance : 11 longueurs d'onde.

Les ondes se détruisent entre les électrons, mais elles s'additionnent au-delà.

  

Distance : 10,5 longueurs d'onde.

Les ondes s'additionnent entre les électrons, mais elles se détruisent au-delà.

   

Si les deux électrons sont très rapprochés, ce sont leurs ondes stationnaires qui se composent. Cela produit des champs gluoniques, qui comportent donc théoriquement quatre trains d'ondes progressives cumulés et qui peuvent s'étendent soit entre les électrons, soit delà d'eux. En pratique, ils alternent certainement entre les deux positions autour d'un point d'équilibre intermédiaire, pour finalement se stabiliser. Il pourrait tout aussi bien s'agir d'un couple électron-positron. Cela produit un quark. La puissance de ce phénomène est énorme, bien supérieure à celle des champs électrostatiques, et elle justifie parfaitement la force nucléaire. C'est ce que montrent les diagrammes ci-dessus.

Autrement, les ondes progressives que les électrons émettent à plus grande distance produisent nécessairement des ondes stationnaires uniquement dans l'espace intermédiaire : ce sont des champs électrostatiques. Alors le résultat est très différent :

Le champ électrostatique, dit "biconvexe".

   

Les "couches d'oignon" de Milo Wolff.

M. Milo Wolff présente la structure d'un électron comme s'il s'agissait d'un oignon. C'est en effet une méthode habile qui permet d'évaluer le volume et donc l'amplitude des ondes de chaque couche successive. À l'aide de mon programme, qui fait appel au principe de Huygens, j'ai pu obtenir le diagramme suivant :

 

 

 L'amplitude des lobes successifs de l'électron.

   

L'inversion de phase selon M. Milo Wolff.

Je tiens à rappeler ici que, pour autant que je sache, c'est M. Milo Wolff qui a présenté pour la première fois, vers 1986, ce prototype comme étant non seulement un électron, mais aussi la structure fondamentale de toute matière. Tout comme moi, il affirme que la matière est faite d'ondes exclusivement, mais cette dernière affirmation fut faite pour la première fois, du moins à ma connaissance, par M. Serge Cabala vers 1970.

 De plus, M. Wolff parlait aussi d'une "inversion de phase". Il invoquait cette inversion pour justifier le spin de l'électron, croyant que l'opposition de phase correspondait plutôt à un positron. Je ne suis pas du tout d'accord avec cette interprétation puisque les quatre spins électron-positron peuvent s'expliquer à merveille par une simple différence d'un quart de phase. Ce sont plutôt les électrons de chaque spin qui sont en opposition de phase, comme cette animation le montre très bien :

 

Les électrons de chaque spin sont en opposition de phase.

Ils sont en avance ou en retard d'un quart de période (p / 2) sur les positrons. 

Le positron présente lui aussi deux spins correspondant également à l'opposition de phase.

 

Les nœuds des ondes stationnaires apparaissent deux fois par période et en deux endroits différents. Le noyau central de l'électron peut alors être fait d'éther comprimé ou d'éther dilaté. Il y a donc place pour deux électrons, l'un à 1/2 et l'autre à +1/2 comparativement à 2 * pi.

Puisque les électrons et les positrons ne sont pas en opposition de phase entre eux, il n'était plus nécessaire d'invoquer une inversion de phase. Une telle inversion telle que proposée par M Wolff me paraissait donc parfaitement inutile et même franchement farfelue.

Par acquis de conscience, et parce que mes nouveaux programmes faisant appel au principe de Huygens étaient très performants, j'ai entrepris de vérifier tout de même la succession des phases à l'intérieur de l'anti-nœud central de l'électron. Et alors, contre toute attente, j'y ai trouvé... une inversion de phase !

Elle est d'ailleurs très visible sur cette animation, qui représente un électron :

 

Les ondes (théoriques et non pas réelles) au centre d'un électron.

À droite, elles s'ajoutent pour former l'électron complet.

 

J'ai pu constater que la plupart des gens ne parvenaient pas à y distinguer cette inversion de phase. J'ai donc dû reprendre une partie de cette animation et y ajouter des repères verticaux qui suivent les crêtes d'ondes, dont la vitesse est (ou devrait être) celle de la lumière. Alors cette inversion d'une demi-période lorsque l'onde traverse le centre devient évidente :

 

  L'inversion de phase au centre de l'électron.

Les crêtes sont inversées de part et d'autre du centre comme le montrent les lignes verticales.

 

Plus vite que la vitesse de la lumière.

Cette animation montre très nettement que dès qu'elle pénètre à l'intérieur du noyau, l'onde accélère.

Personnellement, depuis le tout début, j'ai toujours pensé que la vitesse moyenne des ondes qui se propagent dans l'éther devrait être constante. Selon moi la vitesse de la lumière est relative à l'éther, que je présume être parfaitement homogène. La vitesse de la lumière est donc une constante absolue.

Par contre, il est bien connu que la vitesse du son, par exemple, est plus rapide au niveau de la mer que sur le sommet d'une haute montagne. En supposant que la température ne varie pas, ce phénomène s'explique parce que la pression atmosphérique est plus forte au niveau de la mer. J'explique l'amplification de l'électron de cette manière. Il se produit un "effet de lentille". Les ondes de l'éther y sont dispersées et elles lui cèdent une partie de leur énergie.

Pour la même raison, puisque la pression est périodiquement plus forte à l'intérieur de l'anti-nœud central de l'électron, le temps d'une période entière, on comprend que la vitesse de l'onde devrait y être plus rapide à ce moment.

Comme on l'a vu plus haut, l'amplitude des ondes de l'électron peut être évaluée selon la formule suivante, en rappelant que les distances x sont évaluées en demi-longueurs d'onde, soit :  lambda / 2 :

y = 1 / 2 x

Toutefois cette amplitude change brusquement à l'intérieur du noyau central :

y = 1 / (x 2 + 1)

Le point de jonction se situe manifestement lorsque :

1 / 2 x  = 1 / (x 2 + 1)

d'où :  x = 1

Cette égalité indique que le rayon du noyau central mesure une demi-longueur d'onde. Et alors, chaque anti-nœud mesurant une demi-longueur d'onde, il devient possible de mesurer le volume de la première couche de l'oignon : 

 

Le volume de la première couche est exactement sept fois plus grand que celui du noyau central.

 

Lorsqu'elle pénètre à l'intérieur du noyau central, l'onde doit composer avec un volume sept fois moindre, d'où une compression beaucoup plus sévère de l'éther. Cette étude postule que la vitesse des ondes de l'éther est celle de la lumière et qu'elle est constante. Toutefois on admet ici que la pression à l'intérieur d'un volume d'éther plus comprimé que la normale devra accélérer la vitesse des ondes, et c'est ce qui permet d'expliquer l'effet de lentille, qui provoque l'amplification de l'électron.

Mais dans le présent cas, on présume plutôt que l'onde devra se déplacer plus rapidement à l'intérieur du noyau central de l'électron. C'est d'ailleurs aussi très visible sur cette autre animation, qui montre une vue longitudinale de l'électron, et qui a aussi été réalisée en appliquant le principe de Huygens :

 

Ce diagramme montre le total des ondelettes de Huygens provenant de la moitié gauche d'une sphère. 

 

Les ondelettes provenant d'une sphère complète reproduisent l'électron statique de M. Milo Wolff.

 

La pression de radiation.

Ainsi donc, les ondelettes de Huygens montrent que si elles proviennent d'une demi-sphère seulement, l'onde qui en résulte devrait se déplacer plus vite que la vitesse de la lumière en pénétrant à l'intérieur de l'anti-nœud qui forme le noyau central.

Toutefois il faut bien comprendre que cette situation ne se produit pas dans les faits, du moins dans le cas d'un électron au repos. Les ondes stationnaires résultent tout simplement d'un déplacement de la substance du médium dans un sens puis dans l'autre. Il n'y a pas d'ondes progressives d'impliquées. Les deux ondes invoquées, qui n'existent pas et qui circulent en principe en sens contraire, annulent leurs effets de toutes façons. 

Ce processus suggère fortement que si des ondes plus puissantes circulaient dans une direction donnée, elles devraient effectivement provoquer un déplacement de l'onde à une vitesse supérieure à celle de la lumière dans le noyau central de l'électron. L'amplitude des ondes n'étant pas égale dans les deux sens, ce noyau central devrait s'en trouver déplacé. Un effet Doppler devrait s'ensuivre, comprimant les ondes à l'avant et les dilatant à l'arrière.

Finalement, on aboutit à mon prototype de l'électron mobile, qui se déplace par effet Doppler :

 

L'électron se déplace par effet Doppler.

Et pourtant le centre de chaque onde sphérique demeure parfaitement au repos dans l'éther.

   

Il s'agit d'une explication très plausible et très convaincante de la pression de radiation et de l'inertie. À partir du moment où l'électron a acquis une certaine vitesse, il doit la maintenir à cause de l'effet Doppler jusqu'à ce que des ondes dont l'intensité est anormale ne viennent de nouveau modifier sa direction ou sa vitesse. Cela ne peut se faire que par l'intermédiaire de champs de force, qui ont la capacité de focaliser les ondes qu'ils émettent vers les électrons de manière a augmenter considérablement leur puissance.

M. Milo Wolff.

Ainsi donc, que je sache, c'est M. Milo Wolff qui a proposé le premier que cette onde stationnaire sphérique devait être un électron. 

Il a postulé qu'elle devait constituer l'élément fondamental de toute matière.

Il a montré que l'électron et le positron n'étaient que deux états de la même particule.

Il a découvert l'inversion de phase qui fait l'objet de la présente page.

Il a démontré que l'augmentation de masse selon Lorentz était attribuable à l'effet Doppler.

Il a aussi fait valoir que même si un électron est perçu comme un point infiniment petit, il occupe un espace relativement grand. Il est donc en mesure de "communiquer" avec les électrons voisins, d'agir sur eux, de réagir, et de former une structure ondulatoire (Wave Structure of Matter) cohérente.

Sauf en ce qui concerne l'inversion de phase, qui conduit à un noyau central plus grand, j'en étais moi-même venu indépendamment aux mêmes conclusions. Je vous assure que j'ignorais tout de M. Wolff avant 2003 mais qu'à cette date l'essentiel de mes idées était déjà exprimé sur mon site.

Nos divergences disparaîtront peu a peu.

D'un autre côté je ne suis pas toujours d'accord avec M. Wolff. Je dois préciser que Mme Caroline H. Thompson n'était pas toujours d'accord avec lui non plus. J'ai pu relever dans les textes de cette dernière de nombreuses observations qui concordent avec les miennes, par exemple sur la lumière. Toutes ces coïncidences ne peuvent plus être seulement des coïncidences. Nous avons bel et bien trouvé le fil d'Ariane qui conduit à la vérité.

Je suis persuadé depuis longtemps que Lorentz avait raison. La Relativité de Lorentz est parfaitement exacte, et elle est complète. L'espace et le temps ne sont que des concepts. Ils sont distincts et il n'y a donc pas d'espace-temps. En tant que tels, nous devons par convention leur accorder des grandeurs, qui deviennent alors absolues. Ils ne peuvent donc pas se contracter, se dilater ni se courber. Conformément à ce qu'affirmait Lorentz, c'est plutôt la matière qui se contracte, et ce sont les horloges qui ralentissent.

Même si la Relativité restreinte d'Einstein semble exacte, elle n'en est pas moins fausse. La vitesse de la lumière n'est pas et ne peut pas être la même dans tous les référentiels galiléens. Einstein nous a orientés dans un cul-de-sac pendant 100 ans. Il nous a induits en erreur à propos des photons et de la gravité. Ses idées sur la contraction ou la courbure de l'espace-temps sont tout simplement ridicules. Pour enfoncer le clou, je suis très enclin à penser qu'il a franchement plagié puis dénaturé les idées de Lorentz et de Poincaré, qui étaient déjà bien connues du monde scientifique en 1904. 

M. Yuri Ivanov a démontré vers 1990 que si leur fréquence n'était pas modifiée, les ondes stationnaires se contractaient selon une transformation plus sévère que ne l'indiquait Lorentz. Il a donc négligé de prendre en compte le ralentissement de la vitesse d'évolution de la matière, qui conduit à un ralentissement de la fréquence. Mais parce qu'il a compris que les atomes et les molécules s'assemblaient au moyen d'ondes, il en a déduit que la matière elle-même devait se contracter pour cette raison, ce qui constitue à mon sens une découverte majeure.

Je ne voudrais pas terminer cette page sans rendre hommage à ce grand pionnier qu'est  M. Serge Cabala. Il a montré vers 1970 que la Relativité était en faveur de l'éther, en une époque difficile où tous ceux qui osaient seulement prononcer ce mot étaient pointés du doigt et ridiculisés. La machine à piston qu'il montre sur sa page d'accueil est très intéressante parce qu'elle montre à la fois les effets spatio-temporels des transformations de Lorentz.

M. Cabala s'est fait récemment historien des sciences et ses nouvelles pages contiennent des renseignements très intéressants sur l'époque de Lorentz et de Poincaré.

Il devra surtout être reconnu comme étant la première personne sur cette planète à avoir pressenti la nature exclusivement ondulatoire de la matière, quoiqu'il affirme lui-même que cette découverte revient à Lorentz. Et en effet, certains textes de Lorentz montrent qu'il avait une vision très évoluée et prophétique des électrons, qu'on connaissait pourtant très mal à l'époque.

 

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Gabriel LaFrenière,

Bois-des-Filion en Québec.

Sur l'Internet depuis septembre 2002.

Dernière mise à jour le 12 septembre 2009.

Courrier électronique : veuillez consulter cet avis.

La théorie de l'Absolu, © Luc Lafrenière, mai 2000.

La matière est faite d'ondes, © Gabriel Lafrenière, juin 2002.