LE  BLOG 2007

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par Gabriel LaFrenière.  Courrier électronique : veuillez consulter cet avis.

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Le 21 Novembre 2007.

J'ai écrit un nouveau programme qui montre la grandeur des variables x' et t' des transformations de Lorentz, compte tenu d'une vitesse donnée. Il comporte des curseurs permettant de modifier facilement les variables bêta, x et t. Ce programme affiche aussi le dessin d'un corps matériel subissant la transformation correspondante. Tout se passe comme Lorentz l'avait prévu.

Lorentz-Poincare-Doppler.bas      Lorentz-Poincare-Doppler.exe

Je tiens à souligner que Lorentz était convaincu que l'interféromètre de Michelson devait se contracter selon sa vitesse. Pourtant, ce n'est pas ce que ses équations indiquent, puisqu'elles avaient pour but de rendre les équations de Maxwell invariantes. Elles produisent plutôt une dilatation des grandeurs x' et t'. Toutefois, il suffit de les inverser pour qu'elles indiquent plutôt la contraction.

On sait que Henri Poincaré avait découvert qu'il suffisait d'inverser le signe des équations originales de Lorentz pour retrouver les variables originales x et t. Les formules permettant d'obtenir les grandeurs x' et t' correctes sont différentes, et j'avais constaté il y longtemps que ces mêmes formules permettaient de produire un effet Doppler. Voici un programme qui en fait la démonstration: 

Doppler_Voigt_transformations.bas      Doppler_Voigt_transformations.exe

Ce programme montre que les équations de Lorentz ne sont qu'un cas particulier des équations de Woldemar Voigt sur l'effet Doppler (1887).

Que ce soit bien clair : les transformations de Lorentz ne sont rien d'autre qu'un effet Doppler. Puisque l'électron est une onde, il doit subir cet effet Doppler s'il se déplace. Et puisque c'est lui qui est responsable des liaisons entre molécules, la matière elle-même doit subir également ces transformations. Bref, elle doit se contracter comme le pensait Lorentz.

La Relativité est donc plus simple qu'on ne le croyait. Et surtout, on peut désormais expliquer pourquoi elle se vérifie. 

Le 31 octobre 2007.

J'ai réalisé plusieurs séquences (codec DivX-MPEG-4) sur l'effet Doppler selon Lorentz, qui comporte un ralentissement de la fréquence.

L’une des séquences montre la diffraction de Fresnel sur l’axe du déplacement, d’abord avec la source au repos, puis en mouvement. On peut donc vérifier que le réseau d’interférences se contracte précisément comme l’avait prédit Lorentz, de manière uniforme à l’avant et à l’arrière malgré la différence de longueur d’onde. 

Il s’agit là d’une preuve de plus (et elle est spectaculaire !) qu’il n’est jamais possible de détecter notre mouvement à travers l’éther, sans pour autant invoquer une transformation de l’espace-temps comme l’a prétendu Einstein. Lorentz avait entièrement raison, mais personne ne l’a cru…

Michelson_axial_forward_51_angle.avi

Michelson_axial_forward_45_angle.avi

Michelson_axial_backward_51_angle.avi

Michelson_axial_backward_45_angle.avi

Michelson_orthogonal_forward_51_angle.avi

Michelson_orthogonal_forward_45_angle.avi

Michelson_orthogonal_backward_51_angle.avi

Michelson_orthogonal_backward_45_angle.avi

Michelson_orthogonal_unmoving_45_angle.avi

 

Voici d'autres séquences qui montrent comment l'effet Doppler selon Lorentz transforme différents phénomènes ondulatoires. Je répète (voir plus bas au 15 octobre) que le ralentissement de la fréquence fait en sorte que la longueur d'onde demeure constante sur un axe transversal, ce qui caractérise les transformations de Lorentz.

Doppler_Lorentz_two_sources.avi

Doppler_Lorentz_2D_Airy_disk.avi

Doppler_Lorentz_2D_standing_waves.avi

Doppler_Lorentz_2D_axial_Fresnel_diffraction.avi

Doppler_Lorentz_2D_transverse_Fresnel_diffraction.avi

Le 19 octobre 2007

J'ai réussi à montrer le comportement des ondes sphériques en présence de l'effet Doppler, en particulier celles de l'électron, à l'aide du générateur d'ondes Marcotte d'une part, et des transformations de Lorentz d'autre part :

Lorentz_Marcotte_wave_generator.bas      Lorentz_Marcotte_wave_generator.exe

Avouez que cette méthode est remarquablement simple.

Je tiens à ajouter que cette méthode s'applique aussi au principe de Huygens. Cela nous permettra de montrer le comportement de n'importe quel phénomène ondulatoire dans un repère mobile, y compris la diffraction de Fresnel. Pour autant que je sache, aucun opticien n'y était encore arrivé.

Le 15 octobre 2007

J'ai réussi à inverser les transformations de Woldemar Voigt (1887) dont s'est inspiré Lorentz pour établir ses propres transformations. Il en ressort que les transformations de Lorentz ne sont qu'un cas particulier des transformations de Voigt, celles-ci pouvant reproduire toute la gamme des transformations possibles qui donneraient un résultat nul au moyen de l'interféromètre de Michelson. Celle qui a été retenue par Lorentz et Poincaré comporte une constante k égale à 1, qu'on peut donc éliminer.

Ce qui est intéressant, c'est que les transformations de Voigt permettent aussi de reproduire l'effet Doppler tout à fait normal. La constante de Voigt vaut alors  sqr(1 bêta ^ 2) et elle est donc égale au facteur de contraction g de Lorentz. Il faut se rappeler que Voigt avait créé ces équations dans le but d'annuler l'effet Doppler sur les équations de Maxwell, mais qu'il n'était jamais parvenu à donner une valeur précise à sa constante k. Il faut donc réaliser qu'il est question ici de l'effet Doppler, et uniquement de l'effet Doppler. Celui-ci implique bien sûr une modification des coordonnées où se situent les ondes, de même qu'une modification de leur période, mais il n'est absolument pas question d'une transformation de l'espace ou du temps.

Voici donc les transformations de Voigt inversées :

x' =  x * g * k + t * bêta

t' = t * g / k x * bêta

y' = y * k

z' = z * k

Pour revenir aux équations originales de Voigt, il suffit de permuter x et x', et ainsi de suite, en rappelant que Voigt lui-même utilisait une notation archaïque nettement plus complexe.  Répétons que le facteur de contraction  g  de Lorentz vaut la réciproque du facteur gamma :

g = sqr(1 bêta ^ 2)

 En ce qui concerne l'effet Doppler normal, la constante est égale à ce facteur  g, ce qui produit des formules un peu plus simples également exemptes de cette constante ennuyeuse. Il faut remarquer en particulier que le « temps »  t  n'est pas modifié ci-dessous (il s'agit en réalité de la période de l'onde), ce qui fait que la fréquence de l'émetteur, par exemple un haut-parleur mobile, ne l'est pas non plus : 

x' =  x * g ^ 2 + t * beta

t' = t x * beta

y' = y * g

z' = z * g

Il semble que je sois le premier à réaliser que Woldemar Voigt était tout simplement génial. Ses équations permettent même de montrer le déplacement de l'émetteur. Croyez-moi, elles fonctionnent magistralement, comme le prouve ce programme.

Doppler_Voigt_transformations.bas      Doppler_Voigt_transformations.exe

Nous pouvons en conclure que les physicien du début du XXe siècle ont sérieusement dérapé en invoquant une transformation de l'espace et du temps. Les transformations de Lorentz ne font qu'exprimer et quantifier l'effet Doppler que subit l'électron en se déplaçant à travers l'éther, et cet effet Doppler peut tout aussi bien se calculer à l'aide des équations de Christian Doppler lui-même, à la seule condition de tenir compte d'un ralentissement de la fréquence de l'électron selon le facteur de contraction g de Lorentz. Alors ses ondes stationnaires se contractent ipso-facto comme l'ont indiqué Lorentz et Poincaré. Puisque c'est l'électron qui assemble les atomes et les molécules, cela entraîne une contraction de la matière elle-même, mais seulement sur l'axe du déplacement.

Bref, les transformations de Lorentz, tout en demeurant pertinentes, ne sont plus utiles pour expliquer la Relativité. Il suffit de retenir que les grandeurs transversales demeurent constantes selon y' = y et z' =y. Pour ce faire, la fréquence de l'électron doit ralentir selon le facteur g :

f ' =  g f

Voici la formule du siècle.

D'une part, elle permet d'expliquer la Relativité.

Mais surtout, elle explique la « mécanique nouvelle » pressentie par Henri Poincaré.

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k29067t

Si vous vous donnez la peine de lire ces textes, vous verrez que Lorentz et Poincaré (il faut se rappeler qu'ils ont travaillé en étroite collaboration) ont dû se plier à des contraintes énormes liées à la difficulté de concilier les équations de Maxwell avec le comportement de l'électron et celui de la matière. Mon analyse démontre qu'un effet Doppler élémentaire suffit à tout expliquer. Le fait qu'ils soient parvenus malgré tout à des résultats parfaitement corrects est admirable. Leur succès a quelque chose de surhumain.

Je dois cependant préciser que Lorentz a toujours invoqué une contraction réelle de la matière et le ralentissement réel de ses mécanismes. Poincaré au contraire n'a jamais pu s'expliquer cette contraction, qu'il a d'abord tenté d'attribuer comme Lorentz à une pression de l'éther. Il a donc tout simplement invoqué son postulat de Relativité en faisant valoir que les mesures étaient relatives et que ses équations étaient le miroir l'une de l'autre. Cela l'a même conduit à mettre l'existence de l'éther en doute et à s'intéresser à la géométrie non euclidienne. Mais c'était une erreur puisque selon le sens commun, qui manifestement n'est pas le fait du commun des mortels, les faits sont absolus. Réfléchissez ! Comment pourraient-ils être relatifs ?

Le 3 octobre 2007.

J'ai fait un .gif animé pour le générateur d'ondes sphériques Marcotte (voir plus bas au 27 sept.) :

 

 

On conviendra que la courbe évolue d'une manière étonnamment fluide. De plus elle respecte parfaitement la période des ondes que l'électron émet, ce qui permettra d'afficher correctement les interférences entre deux électrons. Puisqu'il s'agit des champs de force, en particulier les champs électrostatiques responsables de la force de Coulomb, il s'agit là d'une réalisation de la plus haute importance.

Mais cette méthode sera aussi très utile pour des tas d'autres applications. Par exemple, les créateurs de jeux vidéos pourront désormais afficher des « vagues » très réalistes, même au point d'origine. Si j'en juge par certaines réalisations, ils n'avait pas encore trouvé de solution simple à ce problème.

Les ondes en 2-D.

On peut appliquer le même raisonnement en ce qui concerne un générateur d'ondes circulaires. À l'aide du principe de Huygens, mais aussi grâce à notre nouvel Éther Virtuel informatique, M. Marcotte et moi avons déjà démontré que le noyau d'un tel système mesure trois-quarts d'onde de diamètre. De plus, son centre présente un retard de phase de pi / 4 seulement au lieu de pi / 2 en 3-D. 

Un médium en 2-D, ce pourrait être une grande feuille de métal très mince parcourue par une onde électrique dont la longueur est beaucoup plus grande que l'épaisseur du métal. Les « ronds dans l'eau » sur la surface d'un étang font intervenir des ondes transversales dont la mécanique est très particulière. Je crois pouvoir dire que l'espace d'air entre deux plans parallèles circulaires de grand diamètre, si son épaisseur est d'un dixième d'onde ou moins, devrait aussi respecter les formules ci-dessous. On pourrait d'ailleurs en tirer un jeu d'orgue au son très particulier (et très puissant), toutes les harmoniques étant décalées d'un huitième d'onde.

Voici l'aspect général des ondes stationnaires circulaires, selon le principe de Huygens.

La courbe en pointillés représente la distribution (normale ?) selon :  y = pi ^ (x ^ 2)

 

Ainsi, les formules ne sont plus celles des ondes sphériques. D'abord, le seuil de correction se trouve à pi / 2 et non pas pi. En langage Basic ou FreeBasic, il faut donc utiliser l'instruction suivante :

If x < pi / 2 Then x = x + (pi / 4) * (1 (2 * x / pi)) ^ 2

Chaque front d'onde est ainsi repoussé d'une distance additionnelle d'un huitième d'onde. Et enfin, l'amplitude d'une onde circulaire faiblit selon la racine carrée de la distance. C'est pourquoi il faut modifier la formule de M. Marcotte de la manière suivante :

y = sin(x + pi / 4 t) / sqr(x)

On a vu plus bas que l'amplitude du noyau des ondes stationnaires sphériques était plus grande que s'il ne s'agissait que d'un émetteur d'ondes progressives. C'est également le cas ici. Le programme ci-dessous, que j'ai écrit hier, produit lui aussi des ondes étonnamment fluides :

Circular_Wave_Generator.bas        Circular_Wave_Generator.exe

 

Le 27 septembre 2007.

J'ai mis au point moi-même une correction permettant de réaliser un générateur d'ondes sphériques semblables à celles que l'électron émet, uniquement à partir de la formule de M. Jocelyn Marcotte, soit :

y = sin(x) / x.

Le problème consistait à intégrer un retard de phase de pi / 2 au centre de manière à reproduire celui qui se produit dans le noyau central de l'électron, qui mesure une longueur d'onde de diamètre. Pour la rotation, il suffit d’utiliser la formule ultra-simple :

y = sin(x t) / x

Avec :

x = 2 * pi * distance / lambda

t = 2 * pi * image / nombre d'images

Mais c’est à la condition de corriger si x < pi :

x = x + (pi / 2) * (1 x / pi) ^ 2

J'ai donné le nom de M. Marcotte à cette méthode puisqu'elle fait appel à sa formule sur la totalité de la courbe, du centre à l'infini. Il s'agit donc du générateur d'ondes Marcotte. Il est remarquable que la même variable x permette d'obtenir à la fois la période et l'amplitude. Voici les programmes qui en rendent compte :

generateur_d_ondes_Marcotte.bas        generateur_d_ondes_Marcotte.exe

Marcotte_Wave_Generator_3D.bas        Marcotte_Wave_Generator_3D.exe

Nous avons fait un pas de plus, car cette méthode permettra désormais d'afficher facilement les interférences entre deux ou plusieurs électrons ou positrons, en tenant compte des quatre spins possibles et de ce fameux noyau qui fait une onde entière avec un retard de phase de pi / 2 au centre.

Son importance est capitale, car ces interférences constituent des champs de force, dont l'amplification a pour effet remarquable de retourner des ondes convergentes extrêmement puissantes vers les électrons ou positrons qui leur ont donné naissance. Il faut prendre soin de bien établir la période exacte de ces champs pour expliquer correctement de quelle manière la pression de radiation fonctionne.

 

Le 23 août 2007.

Les transformations de Lorentz sont plus simples qu'on ne le croyait.

En essayant d'écrire un programme permettant de reproduire un effet Doppler grâce aux transformations de Lorentz, je me suis rendu compte qu'il était possible d'obtenir les mêmes résultats en me basant beaucoup plus simplement sur le fait que les distances transversales sont invariables selon les équations de Lorentz :

y' = y

z' = z

Il ne s'agit pas d'un postulat, que d'aucuns pourraient rejeter, mais bien d'une conclusion indiscutable basée sur le fait que la Relativité a été vérifiée de nombreuses manières. Il ne fait plus aucun doute que la Relativité est vraie, et l'on sait qu'elle est basée sur les transformations de Lorentz. Pour qu'elle se vérifie, il faut obligatoirement que les distances transversales demeurent invariables. Pour ne citer qu'un exemple, l'interféromètre de Michelson aurait révélé le vent d'éther s'il s'était transformé sur les axes y et z.

On sait que Woldemar Voigt, qui étudiait l'effet Doppler sur les ondes radio, avait établi en 1887 des transformations dont s'est inspiré Lorentz. Mais ses équations comportaient en plus une constante k qui affectait les trois axes cartésiens, et dont la valeur était inconnue. Or Lorentz et Poincaré ont découvert que cette constante pouvait être éliminée et que dans ce cas il ne devait pas se produire de contraction transversale. 

Cela conduit à une loi de la nature qu'on peut formuler ainsi :

  La longueur des ondes responsables de toutes les forces de la nature varie selon l'effet Doppler que subit l'électron qui les a émises, de telle manière que sur un axe transversal, elle demeure constante.

La loi des constantes transversales.

Toutes les forces transversales agissent d'une manière constante.

Toute distance mesurée sur un plan orthogonal à l'axe du déplacement est constante et absolue.

La tache d'Airy et la diffraction de Fresnel demeurent invariables sur un plan transversal.

Pour que cela se produise, il faut que la fréquence de l'électron ralentisse selon sa vitesse.

 

Bien sûr les équations montrées plus haut faisaient partie du groupe établi par Lorentz et Poincaré, mais personne ne se doutait de leur importance. En réalité, elles sont fondamentales, à un point tel que le seul fait d'en tenir compte pour évaluer l'effet Doppler d'un phénomène ondulatoire conduit aux mêmes résultats que la série complète des équations de Lorenz.

En plus clair, les autres équations de Lorentz ne sont plus nécessaires pour expliquer la Relativité.

L'effet Doppler étant sinusoïdal, il importe de reformuler les équations originales (et toujours pertinentes) de Lorentz en fonction d'un angle thêta q. Cela permet d'éviter tout malentendu  à propos d'une prétendue transformation de l'espace et du temps. Alors le facteur de contraction g de Lorentz peut tout aussi bien s'établir ainsi :

q = arc sin (v / c)

g = cos q

En pratique, il suffit de tenir compte d'un ralentissement de la fréquence de l'électron selon ce facteur g. Rien de plus. On conviendra que le calcul de l'effet Doppler qui en résulte est simple et tout à fait libre de notions hallucinantes telles que la «contraction de l'espace» ou la «dilatation du temps». Mais pour que cela soit logique, il est essentiel de considérer les points suivants :

1. La matière est faite d'ondes stationnaires.

2. Toutes les forces et interactions sont le fait des ondes émises par la matière.

3. Toutes ces ondes y compris celles de la lumière ont besoin d'un médium : l'éther.

4. La vitesse constante de ces ondes à travers l'éther est la même que celle de la lumière.

5. L'espace est euclidien et cartésien. Il ne se transforme pas.

 

L'effet Doppler explique la Relativité à lui seul.

On sait que l'effet Doppler normal, qui s'applique à toute source mobile dont la fréquence demeure constante, fait en sorte que les ondes qui se propagent dans les directions transversales subissent une contraction selon le facteur g de Lorentz. C'est aussi vrai dans le cas des ondes stationnaires transversales. Pour que ces ondes ne subissent aucune contraction, il est nécessaire que la fréquence de l'émetteur ralentisse selon ce même facteur g.

Il suffit de calculer l'effet Doppler qui en résulte pour obtenir tous les autres effets des transformations de Lorentz. Rappelons qu'on observe alors une contraction (précisément celle qui a été prévue par Lorentz) des ventres et des nœuds des ondes stationnaires sur l'axe du déplacement, ce qui entraîne une contraction de la matière elle-même. Conformément à l'équation du temps de Lorentz, on observe aussi un décalage de phase conduisant à une onde de phase et à un décalage horaire. Puisque la fréquence de l'électron ralentit, la vitesse d'évolution de toute matière ralentit aussi. Cela va de la durée de vie moyenne des particules instables jusqu'au tempo des horloges. Et il se produit enfin une augmentation de la masse de la matière en considérant l'énergie des ondes comprimées par effet Doppler.

Ainsi, les transformations de Lorentz peuvent désormais être expliquées et justifiées uniquement par un effet Doppler particulier impliquant un ralentissement de la fréquence de l'électron selon le facteur g.

À l'avenir, il nous suffira de tenir compte du fait que la fréquence de l'électron diminue selon sa vitesse de manière à ce que l'effet Doppler transversal de ses ondes demeure nul.

Alors tout le reste s'ensuit comme par magie : l'électron se transforme comme Lorentz l'a montré, la matière faite d'électrons se transforme de la même manière, les ondes que la matière émet provoquent des forces d'action et de réaction modulées en fonction de cet effet Doppler particulier, et alors nos sens et nos appareils de mesure en sont mystifiés.

La Relativité est vraie : du point de vue de n'importe quel observateur et de n'importe quel instrument de mesure ou d'observation, tout semble se passer comme s'il était toujours au repos, peu importe sa vitesse réelle à travers l'éther.

La Relativité est simple : tout se passe ainsi uniquement à cause de l'effet Doppler particulier que subit l'électron, sa fréquence ralentissant selon sa vitesse. Chacun pourra donc le vérifier facilement, mais ce sera à la condition de bien connaître les ondes et l'effet Doppler. Malheureusement, pour l'instant, la science des ondes est méconnue et très peu de gens s'y connaissent assez pour en saisir toutes les subtilités.

Nous connaissons maintenant à la fois la cause et les effets réels.

La Relativité d'Albert Einstein est dépassée. Elle montrait uniquement les effets apparents et elle était affreusement complexe. Désormais, nous en connaissons non seulement les effets réels, mais aussi la cause. C'est d'ailleurs ce qu'il importe de savoir en physique.

Par exemple, d'un point de vue pratique, on peut affirmer que ni la longueur du bras transversal de l'interféromètre de Michelson, ni la longueur d'onde de la lumière qui le parcourt ne sont modifiées quelle que soit la vitesse de cet appareil à travers l'éther. C'est une application de la nouvelle loi des constantes transversales. La longueur d'onde invariable de la lumière sur cet axe ne peut donc servir que de référence. C'est pourquoi on peut réduire à volonté la longueur de  ce bras, à la limite jusqu'à la lame séparatrice, sans qu'il n'en résulte de différence dans les lectures. Cela invalide formellement l'expérience Kennedy-Thorndyke, ces derniers n'ayant pas tenu compte des équations de Lorentz : y'=y; z'=z.

À l'avenir, au lieu de recourir aux formules de Lorentz, on pourra facilement évaluer la valeur de la contraction de la longueur d'onde de la lumière sur l'axe du déplacement uniquement d'après l'effet Doppler propre à l'électron. Nous comprendrons alors que les ondes qui constituent la matière de l'interféromètre de Michelson se contractent de la même manière, mais seulement sur cet axe, d'où un résultat nul.

Ainsi donc, pour expliquer la Relativité, il n'est même plus nécessaire d'invoquer les transformations de Lorentz. Non seulement celles-ci prêtaient à confusion en impliquant l'espace et le temps d'une manière téméraire et même insensée, mais elles étaient trop complexes pour qu'on puisse en suivre la logique.

On a enfin repéré la vraie cause : l'effet Doppler de l'électron. Une cause logique qu'on peut facilement comprendre. Une cause mécanique. Un fait réel. 

Maintenant, la Relativité est simple et facile à comprendre. Si vous ne me croyez pas, il vous suffira de le vérifier, bien sûr à la condition de bien connaître les ondes et l'effet Doppler. Vous auriez donc intérêt à bien examiner le programme (lui aussi très simple) dont je parlais plus haut :

Doppler_Lorentz.bas        Doppler_Lorentz.exe

Je vous préviens que le processus pour bien comprendre la Relativité est relativement long parce que celle-ci se manifeste de nombreuses manières. C'est l'interféromètre de Michelson qui a ouvert le bal, mais vous trouverez toute une liste d'autres phénomènes étonnants à la deuxième page sur la Relativité.

Le 17 août 2007.

Un lecteur de Chigago, aux États-Unis, a pris la peine d'imprimer la totalité de la version anglaise de mon site Internet et d'y relever des milliers de fautes d'orthographe que j'ai faites lors de la traduction, sans toutefois corriger les très nombreuses tournures de phrase plus ou moins boiteuses.

La version anglaise est malheureusement beaucoup moins à jour que la version française. Mais grâce à cette aide inespérée, son texte est maintenant beaucoup plus lisible. Il y a tout lieu de croire que cela entraînera une augmentation sensible du nombre quotidien de visiteurs, qui frôlait déjà le cap des 1000 le printemps dernier.

Cela m'a incité à accorder désormais une plus grande importance à la version anglaise de mon site. Le problème, c'est que je perdrais beaucoup de temps à tout faire dans les deux langues à la fois. Prenez-en bonne note, cela signifie qu'à l'avenir, je vais devoir négliger plutôt la version française. Je vais écrire mes programmes en anglais. Je vais réaliser des images et créer de nouvelles animations qui afficheront le texte en anglais.

Cette décision est parfaitement justifiée. D'une part, beaucoup de Canadiens-français ont voté à deux reprises contre l'indépendance du Québec. Ils l'ont voulu. Ils ont accepté l'autorité d'un gouvernement majoritairement anglophone, ce qui signifie que la langue française disparaîtra d'Amérique lentement mais sûrement. Je fais partie de ceux qui se sont battus très fort pour avoir un pays français, mais en vain. J'ai été trahi par les miens. Moi, je ne suis pas un traître, je suis un vaincu. Et c'est pourquoi je vis dans une province, ce mot désignant un territoire conquis par les vainqueurs.

D'autre part, la version française de mon site aura cinq ans le mois prochain et vous qui êtes francophones avez eu tout le loisir de l'examiner. Avouez que votre réaction n'a pas été terrible. Toute ma vie, j'ai pourtant parcouru des centaines de manuels de physique, dans lesquels on parlait de Français (par exemple Descartes, Lavoisier, Fresnel, Foucault, Poincaré) qui n'avaient pas peur de l'inconnu et qui ont fait avancer la physique comme aucun autre peuple sans doute. Mes idées auraient sûrement intéressé ces pionniers, car ils avaient l'esprit ouvert.

Or la seule et unique critique officielle que mon hypothèse a essuyée se résume à ce misérable commentaire écrit sur un torchon noir :

« (La matière est faite d'ondes) ...ce qui est une des conséquences, parfaitement exactes, de la mécanique quantique. Jusque là, tout va bien. Mais la conclusion c'est quand même que : "L'univers matériel est composé uniquement d'éther". Ah ben zut, la relativité est fausse, alors (entres autres). On trouve aussi : "La lumière traverse les objets, comme le prouve l'ombre d'un fil de fer". Moi, je me demande surtout ce qui lui a traversé l'esprit...»

http://www.e-scio.net/noire/liste.html

Son auteur se nomme Antoine Moreau. Vous vous rendez-compte, il critique un texte qu'il n'a même pas lu : bien évidement, la Relativité est vraie. C'est décidément l'anti-Foucault typique, qui se caractérise par un dogmatisme fortement réfractaire à toute idée neuve. Il a utilisé le mot latin "scio", qui signifie "je sais". Or s'il y a une chose que moi je sais, c'est bien le latin. Je me permets donc de répliquer sur le même terrain :

ANTONIVS·MORO·BRVTVS·EST  EGO·GABRIEL·SCIO

Brutus (lourd, bête, abruti, stupide) était le surnom de l'un des initiateurs de la conjuration contre Jules César. Contrairement à ce dernier, je ne me laisserai pas abattre. Si quelqu'un veut faire une critique de mon site, qu'il le fasse intelligemment. Autrement, c'est lui qui en sortira diminué. C'est donc le cas d'Antoine Moreau, dont la critique sur cette "liste noire" est particulièrement insignifiante. Les autres physiciens sont plus prudents ; ils ne veulent pas prendre le risque de me défier parce qu'ils ne connaissent rien aux ondes. Ils sont très conscients qu'ils risquent de perdre la face.

Puisqu'il y a des exceptions qui confirment la règle, je tiens à nommer quelques francophones qui m'ont aidé à mieux connaître les ondes. Il s'agit de MM. Serge Cabala, Philippe Delmotte, Anselme Dewavrin et Jocelyn Marcotte. Il y en a d'autres, certains ne m'ayant pas autorisé à les nommer (la physique d'aujourd'hui est non seulement dogmatique, mais tyrannique). Ce n'est pas évident pour vous, mais moi je sais bien qu'un jour la science des ondes aura pignon sur rue. La physique nucléaire deviendra la mécanique ondulatoire. Et alors ces personnes, dont la contribution a été significative, en seront immortalisées.

À l'aube de mes 65 ans, à l'image de Caton, je compte désormais consacrer tous mes efforts à ciseler, polir et fourbir mon anglais. Je croyais naïvement que la langue française, que j'aime infiniment, avait encore un certain rayonnement. Mais je dois capituler et prendre acte que c'est l'anglais qui me permettra de rejoindre non seulement les anglophones, mais aussi tous les physiciens de la planète aussi loin qu'en Chine.

Le 25 juin 2007.

Le codec MPEG-4 m'impressionne au plus haut point. Grâce à VirtualDub, j'ai réussi à compresser à 5 MB seulement une animation de 45 secondes faisant 800 par 600 pixels. Ce qui est remarquable, c'est que la qualité des images demeure excellente.

Elle a été réalisée à l'aide du programme Ether19 cité plus bas en date du 6 janvier 2007 :

Michelson_transversal.avi

Je rappelle que cette expérience est au moins aussi importante que celle de Michelson, car elle démontre que Lorentz avait raison de présumer que l'interféromètre devait se contracter. En effet, si l'interféromètre ne se contracte pas, l'angle de sa lame séparatrice demeure à 45°. Or les résultats montrent qu'il faut effectivement que l'angle de la lame soit modifié conformément à la contraction indiquée par Lorentz pour que le faisceau lumineux continue d'être réfléchi exactement à 90°.

Le 23 juin 2007.

Je vous présente fièrement une autre de mes nombreuses inventions, dont je parlais quelque part sur ce site, mais que je n'avais jamais vraiment étudiée. Il s'agit d'une lentille diffractive (ou réseau de Soret, à ne pas confondre avec la lentille de Fresnel) vraiment très particulière, car elle possède deux foyers au lieu d'un seul.

L'image ci-dessous montre le cheminement qu'il faut suivre pour en arriver au modèle final. Il s'agit de superposer deux lentilles diffractives de focales différentes, ici 2 et 4 mètres. Les zones en grisé étant incompatibles, elles sont obstruées, et ce qui reste en blanc est alors parfaitement en phase avec chacun des deux foyers selon le principe de Huygens.

En haut à gauche, une lentille diffractive normale, dont la focale est de 2 mètres.  

En haut à droite, une lentille semblable dont la focale est plutôt de 4 mètres.  

En bas à gauche, les deux lentilles superposées. Les zones incompatibles sont en gris.  

En bas à droite, les zones compatibles demeurent en blanc.

Voici les programmes FreeBASIC :

lentille_diffractive.bas        lentille_diffractive.exe

lentille_diffractive_a_deux_foyers.bas        lentille_diffractive_a_deux_foyers.exe

Une lentille semblable pourrait remplacer le miroir semi-transparent d'un laser, les zones noires étant totalement réfléchissantes et les zones blanches totalement transparentes, ce qui revient au même en ce qui concerne la réflexion partielle nécessaire pour créer des ondes stationnaires à l'intérieur du laser. Le faisceau lumineux aurait ainsi deux foyers successifs, ce qui pourrait être très utile pour certaines applications.

Je songe en particulier à un disque compact du futur à deux couches superposées, mais ce n'est qu'une hypothèse parce que les qualités optiques d'une telle lentille sont vraiment très mauvaises. Je signale aussi, au cas où personne ne l'aurait encore suggéré, qu'il est possible de construire une lentille de Fresnel dont les couronnes de rang pair et impair produisent là aussi deux foyers distincts.

On peut aussi faire coïncider les deux foyers, mais pas tout à fait, de manière à n'en obtenir en pratique qu'un seul qui serait plus étendu. On obtiendrait une plus grande profondeur de champ, ou encore des propriétés achromatiques intéressantes.

Le paradoxe des photons !

Cette lentille démontre hors de tout doute que les photons n'existent pas. Les opticiens qui prendront la peine d'évaluer la trajectoire que devraient suivre ces prétendus photons constateront qu'elle ne peut pas être expliquée à moins d'attribuer à ces photons des propriétés tout à fait hallucinantes.

Le plus raisonnablement du monde, il faut admettre qu'une particule possède une position, et qu'elle doit suivre une trajectoire. Elle ne peut pas traverser l'un des anneaux périphériques, puis prendre la « décision » de privilégier l'un des foyers plutôt que l'autre, et surtout pas les deux à la fois. Cela l'obligerait à voyager à une vitesse différente de celle de la lumière en plus de dévier de sa course d'une manière absolument inexplicable.

Je le répète, les photons n'existent pas. Les propriétés quantiques de la lumière doivent être attribuées aux électrons, qui sont présents à la fois lors de son émission et de sa réception.

La lumière ne se comporte pas comme le feraient des particules. Elle se comporte comme le font les ondes. Que ce soit bien clair, la lumière est faite d'ondes, et ces ondes exigent la présence d'un médium, qui ne peut être que l'éther.

Le 1er juin 2007.

J'ai réussi à mettre au point une formule simple sur la correction de phase requise au voisinage d'un émetteur d'ondes sphériques :

correction = (pi / 2) * (1 - x / pi) ^ 2

On peut désormais montrer la progression correcte des ondes près du centre :

Voici le programme qui a produit ces images :

generateur_d_ondes_spheriques.bas        generateur_d_ondes_spheriques.exe  

Il ne montre qu'une courbe approchée (c'est la courbe noire selon y = 1 / v, v étant ici le volume d'une « couche d'oignon » arbitraire, qui reste à préciser). La spirale montre exactement la même amplitude que la courbe animée, mais vue selon un axe orthogonal. On peut imaginer une sorte de moyeu de roue dont le rayon croît progressivement. Cette façon de faire permet de repérer les anomalies s'il y en a. Vous trouverez plus de détails à la page sur les ondes stationnaires sphériques.

Le 18 avril 2007.

Le programme Ether21 sur le Scanner du Temps est maintenant disponible :

Ether21.bas        Ether21.exe

 Vous verrez que la Relativité est beaucoup plus simple qu'on ne l'avait d'abord cru, puisqu'elle se résume au fait qu'il n'est jamais possible pour un observateur de vérifier au moyen de la lumière ou des ondes radio s'il se déplace ou non comparativement à l'éther. C'est que l'effet Doppler ne peut jamais être mis en évidence à cause des transformations de Lorentz.

Plus simplement, ce programme vous permettra d'abord et avant tout de comprendre quelque chose aux transformations de Lorentz. En effet, il peut afficher la valeur des variables x' et t' des équations de Lorentz en fonction des grandeurs x et t que vous aurez vous-mêmes choisies. Mais le point important, c'est qu'il montre la situation à cet instant précis, en établissant un lien très net entre l'effet Doppler d'une part, et la contraction, le décalage horaire et le ralentissement des horloges d'autre part.

Si vous le désirez, vous pouvez aussi télécharger la série complète de ces programmes :

Ether.zip

Ces programmes vous permettront de comprendre des tas de choses fascinantes qui ne vous ont jamais été expliquées. Ils sont écrits en  FreeBASIC et ils sont fournis avec leur code source. Si vous savez programmer, vous pouvez ainsi les examiner, les modifier et les compiler vous-même pour qu'ils conviennent à votre style. Si vous avez des doutes, vous pouvez facilement le vérifier !

Le 23 février 2007.

Tel que promis le 5 janvier, voici le programme de M. Philippe Delmotte, qui permet d'observer le comportement des ondes dans un milieu à deux dimensions :

WS2Dv23.rar

Le programme sera installé dans le répertoire Program Files, et vous n'aurez ensuite qu'à cliquer sur le raccourci créé automatiquement sur le bureau pour le faire démarrer. Cliquez sur l'image pour commencer, puis sur « nouveau projet » (en haut à gauche) pour mettre en place un nouveau système de votre choix. Je vous suggère de commencer par la source ponctuelle pour vous familiariser avec les autres commandes telles que : dimensions du réseau, emplacement, longueur d'onde, couleurs, luminosité, effet Doppler, observateur, etc. La « vue temporelle » devra être améliorée pour obtenir mon Scanner du Temps ; pour l'instant, vous devez régler sa vitesse à 0,7 avec ou sans effet Doppler (aussi à 0,7) étant donné que la vitesse d'impression (1 / bêta) n'est pas modifiable : elle est d'un pixel par cycle comparativement à 0,5 pixel pour la vitesse des ondes.

Retenez-bien ceci : un jour, des programmes issus ou inspirés de celui-ci seront utilisés partout sur la planète par les physiciens nucléaires, les opticiens, les acousticiens, les électroniciens, les étudiants, et par tous ceux qui voudront mieux connaître les ondes en général.

M. Delmotte a inventé « l'Éther Virtuel » en juin 2005. Il s'est inspiré des lois de Newton sur l'inertie et de l'algorithme de Verlet pour mettre au point un algorithme tout à fait original capable de produire des ondes synthétiques d'une grande perfection. Pour autant que je sache, seul M. Paul Falstad a réussi à produire des ondes aussi parfaites, mais il ne réclame pas la paternité de son algorithme. Il ne mentionne aucune date non plus, et son site ne comportait pas de telles ondes lorsque je l'ai visité il y a plusieurs années. Il n'est donc pas exclu qu'il se soit inspiré de l'algorithme initial de M. Delmotte, qui est disponible sur mon site depuis longtemps. Par ailleurs M. Jocelyn Marcotte a mis au point en janvier 2006 un algorithme différent, mais dont la perfection et la simplicité sont vraiment étonnantes.Voir le programme : Ether04_Marcotte.exe et son code source FreeBASIC : Ether04_Marcotte.bas.

 

Le 21 février 2007.  Invention du moteur à piston acoustique.

Ce moteur n'est peut-être pas véritablement une invention, car je suppose que quelqu'un, quelque part, a déjà songé à un tel dispositif. En fait, mon but est de montrer une fois de plus que les ondes stationnaires sphériques présentent des propriétés étonnantes. En particulier, la pression du gaz à l'emplacement des nœuds de pression ne varie jamais ; c'est pourquoi la présence de soupapes y devient inutile pourvu que les ondes soient suffisamment stationnaires. De plus, puisque la pression à l'échappement est constante, le moteur est remarquablement silencieux malgré l'absence de pot d'échappement. 

 

Le vert représente une pression inférieure à la pression atmosphérique.

Le rouge et en particulier le rouge clair indique que la pression sur le piston est plus forte.

 

Ce moteur doit tourner en régime constant, ce qui est un inconvénient majeur. Il serait néanmoins possible de l'utiliser dans une centrale électrique au gaz naturel, par exemple. Un moteur dont le régime serait de 60 Hz n'aurait pas besoin de roue à erre car une simple bobine d'induction faisant l'aller et retour dans un champ magnétique suffirait pour produire un courant à 60 Hz. Cette fréquence suppose une longueur d'onde de 5,6 m à la pression atmosphérique, d'où une chambre à combustion conique relativement grande faisant aussi 5,6 mètres. La pression au troisième ventre de pression situé sur la surface sphérique est de 2 * pi = 6 fois plus faible que celle qui s'exerce sur le piston.

La forme conique a un effet multiplicateur important, comme c'est le cas pour la centrale nucléaire montrée ci-dessous. Il est possible de varier l'angle du cône de manière à ajuster la compression sans avoir recours aux mélanges anti-détonants des moteurs à haute compression : ainsi la pression réelle sur le piston est ajustable et différente de celle où a lieu l'explosion. Même si la cylindrée se limite en principe au volume du ventre situé côté piston, d'autres ventres peuvent participer à la combustion tout en achevant celle du cycle précédent. Des bougies d'allumage peuvent être installées à chacun des ventres de pression, mais elles ne sont pas nécessaires dans la mesure où l'explosion peut s'effectuer spontanément par compression et par chaleur comme dans un diesel. Ce système offre donc plus de latitude pour réduire les émissions nuisibles, ce qui signifie qu'il n'aurait pas besoin non plus de convertisseur catalytique.

Puisque le piston bouge, la réflexion dure est remplacée par une réflexion molle. Il peut exister un espace étanche (facultatif) à l'arrière du piston, mais dont les dimensions devraient être très faibles. Ceux qui connaissent le fonctionnement des haut-parleurs de type « bass reflex » comprendront que le poids du piston et de son entraînement doit s'ajouter au poids de l'air dans l'espace vide de manière à obtenir une résonance maximum à 60 Hz dans le cas présent, compte tenu des pulsations qui s'exercent de l'autre côté.

De nombreux brevets d'invention.

Si j'en parle, c'est que ce moteur ne me semble pas très prometteur. Les ingénieurs qui l'examineront comprendront qu'il présente des défauts importants. Voici une fusée à propulsion acoustique :

Veuillez noter que la pression moyenne est affichée en noir ; le vert représente le vide.

Les ondes stationnaires à l'intérieur du cône produisent de fortes pulsations à la sortie.

 

J'ai aussi songé à une turbine acoustique, les pulsations renforcées montrées ci-dessus agissant comme des engrenages sur ses ailettes. Ces dispositifs sont intéressants du point de vue de la physique, mais peut-être aussi peu avantageux que le moteur d'un point de vue pratique. Ça reste à vérifier.

Je crois fermement que les ondes stationnaires sphériques permettront un jour de réaliser des dispositifs fabuleux.

J'y travaille !

 

Le 15 février 2007.

Invention de la centrale nucléaire à « fusion acoustique ».

J'annonce qu'il est désormais possible de construire des centrales électriques à fusion nucléaire en tirant parti des propriétés étonnantes des ondes stationnaires sphériques.

En ces temps difficiles, la pollution, la radioactivité et les gaz à effet de serre menacent notre planète. Il serait extrêmement avantageux de pouvoir compter sur de l'énergie électrique propre, sans les problèmes graves qui sont inévitables avec la fission nucléaire des centrales atomiques actuelles. Cela mettrait fin du même coup à la fabrication du plutonium, qui peut servir à construire des bombes dévastatrices. Aucun pays ne pourrait plus utiliser le prétexte des centrales nucléaires pour amasser de l'uranium et du plutonium. Et bien sûr on consommerait moins de pétrole et de charbon.

Pour autant que je sache, deux obstacles majeurs s'opposaient à la réalisation de centrales thermiques à fusion nucléaire. Le premier était la difficulté de confiner des gaz à des températures extrêmement élevées à l'intérieur d'un petit espace absolument libre de matériaux solides, ces derniers ne supportant pas une telle chaleur.  Le deuxième obstacle était la difficulté de réaliser les pressions énormes requises.

 En fait, il faut à la fois une pression et une température considérables pour que la fusion de l'hydrogène en hélium s'opère spontanément. C'est ainsi que la Russie a réussi à expérimenter en 1961 une bombe de 57 mégatonnes (57 millions de tonnes de TNT !) en ayant recours à une bombe au plutonium en guise de détonateur. Le projet international ITER, basé à Cadarache, y arrivera sans doute par des moyens magnétiques. Mais c'est au prix d'un matériel extrêmement complexe et coûteux. De plus, on sait que la fusion nucléaire s'opère spontanément à l'intérieur du Soleil, et qu'on y a détecté depuis longtemps des champs magnétiques formidables. Il se peut donc que les champs magnétiques aient pour effet de faciliter la fusion en plus de la contenir dans un espace restreint.

Toutefois, l'un n'empêche pas l'autre. J'ai de bonnes raisons de penser que le fait de produire des ondes stationnaires concentriques à l'intérieur du dispositif mis au point à Cadarache ne pourrait qu'améliorer son rendement...

 De plus, si vous vous donnez la peine de vérifier ce qui se fait aux États-Unis, en particulier en Californie, vous apprendrez qu'ils travaillent sur les plus puissants lasers qu'il soit possible de fabriquer. Or ils ont l'intention d'en fabriquer un grand nombre de manière à les diriger tous vers la même cible, de manière à atteindre finalement cette température capable de réaliser la fusion nucléaire. On raconte que les ingénieurs du projet n'ont pas apprécié que le gouverneur Arnold Schwarzenegger se montre trop volubile là-dessus et ils lui ont dit en plaisantant qu'ils seraient obligés de le "terminer" (c. f. The Terminator) s'ils récidivait !

Ce qui est clair, c'est que ce dispositif laser peut être couplé à l'onde stationnaire acoustique que je propose et à des centaines de magnétrons capables de focaliser des ondes radio à très haute fréquence sur la même cible, de manière à produire des champs magnétiques très intenses (ils seraient alternatifs). L'addition de ces trois procédés simultanément devrait finalement produire de bien meilleurs résultats qu'un seul à la fois. Bien évidemment, l'hélium-3 conviendrait aussi bien que le deutérium et le tritium.

La formule magique.

Ceux qui prendront la peine d'étudier un peu plus attentivement la formule de l'électron que M. Jocelyn Marcotte a donnée comprendront vite que la pression d'un gaz enfermé dans une sphère gigantesque peut atteindre des valeurs énormes si la longueur d'onde est relativement courte. Cette formule se lit comme suit :

y = sin(x) / x

avec  x = 2 * pi * distance / lambda

Le noyau des ondes stationnaires sphériques peut produire un pression considérable.

 La cinquième calotte sphérique (en vert) se situe à cinq longueur d'ondes du centre.

La pression au centre est : 5 * 2 * pi = 31 fois plus forte que dans cette calotte.

Mais elle serait 62 fois plus forte pour une même distance si on doublait la fréquence.

  

La variable « x » valant : 2 * pi * distance / lambda, on voit bien que la longueur d'onde est déterminante. Au centre, malgré la division de zéro par zéro, ce qu'on appelle en mathématiques une "singularité", on a en réalité la pression de référence : y = 1. À partir de la pression requise pour que la fusion nucléaire s'opère, on peut facilement calculer la pression des ondelettes de Huygens sonores qu'il faut générer à la périphérie d'une sphère.

Description sommaire du procédé.

Plus la sphère est grande, plus on peut générer d'ondelettes et plus la pression au centre est élevée. Elle est donc pratiquement illimitée, sous réserve que la loi du carré de la distance s'applique en termes d'énergie (la pression est inversement proportionnelle à la distance). On sait que selon le principe de Huygens, le fait de générer des centaines et même des milliers d'ondelettes réparties uniformément sur une surface sphérique produit une concentration de leur énergie au centre de courbure, dans un volume d'autant plus petit que la longueur d'onde est courte. La pression peut donc y être considérable.

C'est ainsi qu'on peut produire une « tache d'Airy acoustique » à partir d'une calotte sphérique, et donc un « électron synthétique », c'est à dire des ondes stationnaires sphériques sonores, à partir d'une sphère complète. Je suppose que les acousticiens savent ça depuis longtemps, mais personne n'en parle : ils ne sont pas très bavards là-dessus...

Pour éviter d'avoir à construire une sphère démesurément grande, il faut pressuriser l'intérieur à la valeur la plus élevée possible. Les recherches que je fais présentement avec M. Marcotte indiquent qu'il existe une pression minimum en dessous de laquelle les ondes ne pourraient pas réagir correctement. C'est dû au fait que la pression dans le noyau alterne entre un minimum et un maximum. Dans un solide, le minimum est réel ; mais dans un gaz, il existe une limite, un plancher qui équivaut à zéro, c'est à dire au vide. En clair, dans un gaz, le maximum et le minimum oscillent autour d'une valeur moyenne toujours positive, et le maximum qu'il est possible d'atteindre est donc proportionnel à la pression moyenne. D'un autre côté, la vitesse des molécules dépasse largement celle du son si le gaz est chauffé, ce qui donne à penser qu'il peut alors exister malgré tout une pression négative non négligeable. C'est facilement vérifiable en laboratoire.

L'amplification.

J'ai expliqué sur mon site que l'électron était amplifié grâce aux ondes qui circulent sans cesse dans l'éther grâce à l'effet de lentille. Mais dans le cas de l'électron synthétique acoustique, on peut avoir recours plus simplement à un très grand nombre de petites explosions distribuées uniformément sur la surface interne de la sphère. Il faut procéder à l'amplification des ondes stationnaires jusqu'au point où la fusion peut s'opérer. Je propose d'utiliser du gaz naturel et des bougies d'allumage sur la périphérie, qui ne serviront qu'au démarrage dans le but de stabiliser les ondes stationnaires à la fréquence requise. Par la suite, puisque la pression est plus grande à l'intérieur des ventres de pression situés près du centre, la combustion du gaz naturel s'y fera spontanément, comme dans un moteur diesel. Une fois bien établie, la fréquence des ondes stationnaires devrait demeurer stable. Si nécessaire, il est possible d'installer des résonateurs pour faciliter les choses.

Après un certain temps, sans doute avec l'ajout d'oxygène, la combustion aura élevé la température centrale et la pression au point où la fusion nucléaire deviendra possible. Il serait avantageux de polir la surface interne de la sphère (si sa chaleur le permet) pour en faire un miroir concave de manière à retourner le rayonnement lumineux (qui est considérable) vers le centre. Cette sphère devrait comporter une admission à sa base et une cheminée dans sa partie supérieure pour recueillir les gaz chauds. Théoriquement, il suffira alors d'injecter un mélange d'hydrogène normal et d'hydrogène lourd pour que le processus de réaction en chaîne démarre spontanément. Cela produira du même coup une nouvelle amplification des ondes stationnaires puis leur maintien à un niveau stable sans autre apport d'énergie.

La chaleur dégagée permettra de produire la vapeur nécessaire pour alimenter des turbines classiques. Une telle centrale émettra malheureusement un son sinusoïdal constant d'une amplitude intolérable, qu'il faudra donc éliminer en l'enfouissant profondément ou en l'insonorisant, et même les deux à la fois.

Je ne suis pas un magicien.

Mon seul avantage est de bien connaître les ondes stationnaires sphériques, que personne ne semble avoir étudiées sérieusement avant moi. Ne m'en demandez pas plus : je vous assure que je n'en sais pas plus. D'ailleurs, je n'ai pas la moindre idée de la température ni de la pression requises. Ce n'est pas moi qui ai découvert le phénomène de la fusion nucléaire, qui est déjà très bien documenté, et qui produit de l'hélium à partir de l'hydrogène avec un dégagement d'énergie bien supérieur à celui de la fission nucléaire. Toutefois, parce que je suis un excellent bricoleur, je prévois que ce n'est pas encore gagné : les ingénieurs mettront beaucoup de temps à surmonter tous les problèmes, en supposant même qu'ils y arrivent un jour.

Ce procédé me paraît suffisamment prometteur pour que les grandes entreprises d'électricité gouvernementales l'étudient attentivement. C'est que même s'il ne suffisait pas seul, il serait certainement utile en complément au procédé magnétique et optique.  Je sais qu'il aurait pu faire l'objet d'un brevet d'invention, mais étant moi-même un inventeur prolifique j'ai déjà pu constater que ces brevets n'étaient qu'une taxe sur l'imagination ; ils sont beaucoup trop coûteux et ils ne profitent que rarement à leurs auteurs, tout particulièrement si ceux-ci ont beaucoup d'idées. Un jour peut-être, ceux qui font des découvertes en seront récompensés...

 

Le 12 février 2007.

M. Jocelyn Marcotte me transmet un programme qui montre comment une seule impulsion gaussienne convergente sphérique (donc en 3-D) se comporte au moment où elle atteint le centre. Ce programme fait bien sûr appel à son propre algorithme reproduisant des ondes synthétiques. On observe qu'il se produit une réflexion « dure », puisque la période s'en trouve inversée. C'est donc confirmé : l'onde ne traverse pas le centre. Elle est bel et bien réfléchie, et sa période en est inversée.

Cela confirme que les ondes de l'électron subissent une  inversion de phase en son centre. Je tiens à préciser que cela avait été d'abord signalé par M. Milo Wolff, qui fut le premier à ma connaissance à affirmer que l'électron était fait d'ondes stationnaires sphériques. Mais l'interprétation qu'il en fait me semble suspecte. En fait je ne suis pas d'accord avec l'essentiel de sa théorie (WSM pour Wave Structure of Matter), mais pour une fois nous sommes sur la même longueur d'onde, si j'ose dire.

Je tiens toutefois à souligner que le principe de Huygens indique plutôt que les ondes convergentes traversent le noyau de l'électron, mais qu'ils y accélèrent de manière à atteindre l'opposition de phase requise pour devenir divergentes. Mais il s'agit d'un point de vue très théorique, car j'ai toujours soutenu que l'énergie des ondes stationnaires ne peut tout simplement pas passer d'un ventre à l'autre. Si l'on présume que l'amplitude est la même dans les deux sens, ce nœud est parfaitement étanche à toute transmission d'énergie.

Le 11 février 2007.

En poursuivant les travaux amorcés par M. Jocelyn Marcotte, j'ai finalement trouvé la formule de l'ondelette de Ricker :

y = x * pi ^ (x ^ 2)

...d'après la distribution normale simplifiée : y = pi ^ (x ^ 2)

M. Marcotte m'avait fait parvenir coup sur coup deux formules provisoires qui donnaient les mêmes résultats, plus complexes que celle-ci, mais plus simples que celles données par les spécialistes des tremblements de terre. Sa contribution est significative et je l'en remercie.

J'ai pu vérifier que cette formule permet de tracer une sinusoïde presque parfaite en faisant la somme de trois ondelettes de Ricker espacées d'une distance valant 2 x. On peut en augmenter la précision en ajoutant deux autres ondelettes de part et d'autre, ou même plus si nécessaire. Voici le programme :

Ricker_sinusoide.bas     Ricker_sinusoide.exe

Et en troisième lieu, à cause de la sinusoïde, j'ai découvert que cette même formule permet de créer une fonction qui détermine la valeur du sinus et du cosinus. Il s'agit d'une méthode différente de celle d'Euler, et qui semble inconnue.

Je rappelle que N. Ricker a publié en 1953 une étude sur la forme des ondes sismiques. Or grâce à sa propre version de l'Éther Virtuel, M. Jocelyn Marcotte a déjà démontré expérimentalement en mai 2006 que cette ondelette était correcte. Le programme qui en rend compte est le suivant :

Ricker_Marcotte.bas     Ricker_Marcotte.exe

Cet autre programme trace les courbes seulement :

Ricker.bas     Ricker.exe

Lorsque nous avons entrepris cette expérience, je m'attendais à obtenir plusieurs rebonds après une impulsion dite gaussienne, c'est à dire selon la loi normale. Or il ne s'en produit qu'un seul, et l'ondelette de Ricker qui en résulte laisse ensuite la partie centrale du médium parfaitement libre de toute perturbation.

La distribution normale simplifiée.

Ces résultats suggèrent fortement que  la formule simplifiée  y = pi ^ (x ^ 2) est tout à fait justifiée, du moins lorsqu'il est question d'ondes évoluant dans un médium à trois dimensions. Je suppose que celle-ci existait déjà dans la littérature scientifique, mais parce qu'elle n'est semble-t-il jamais citée, j'ai dû la réinventer moi-même à partir de la formule standard. C'était à l'époque où je travaillais sur la tache d'Airy dans le but d'obtenir une apodisation. J'avais pu vérifier que la formule simplifiée fonctionne à merveille là aussi. En tous cas, on peut se passer d'une moyenne et d'un écart type. On sait que la formule de la distribution normale standard dite de Gauss-Laplace (d'où l'expression : impulsion gaussienne) est bien plus complexe et difficile à interpréter, à cause de la présence parfois inutile de ces deux variables.

Je tiens à répéter que l'éther virtuel est un véritable laboratoire. Grâce à lui, nous sommes en mesure de vérifier les résultats et d'en établir les formules d'une manière incontestable. Voici une image produite par le programme Ricker_Marcotte :

 

Le programme Ricker_Marcotte reproduit des ondes dans un médium à trois dimensions.

Grâce à lui, il devient possible d'établir ou de confirmer les formules des ondes sphériques.

C'est d'ailleurs M. Marcotte lui-même qui a établi les formules de l'électron.

Ces formules sont fondamentales puisque la matière est faite d'ondes...

 

Le 23 janvier 2007.

Je viens de terminer mon nouveau programme Ether20.

Son titre est on ne peut plus clair : « La lumière traverse les objets ». Si vous en doutez (et je comprendrai !) étudiez attentivement le programme suivant, qui produit des images étonnantes :

Ether20.exe    Ether20.bas

Ce programme démontre qu'un écran produit à la fois une ombre et une réflexion qui peuvent être expliquées de deux manières différentes. À priori, elles sont tout aussi acceptables l'une que l'autre puisque les résultats sont identiques.

Mais si la matière est faite d'ondes, il devient nécessaire de considérer qu'elle est incapable d'arrêter d'autre ondes, c'est à dire celles de la lumière. En pareil cas, c'est l'explication la plus étonnante qu'il faut retenir : la lumière traverse librement tout objet, mais les électrons présents dans ses atomes réagissent à cette lumière en émettant d'autre lumière en opposition de phase.

Il se produit une ombre à l'arrière à cause des interférences destructives. En vertu de la loi de la conservation de l'énergie, cela suppose que l'énergie doit se manifester ailleurs. C'est pourquoi il se produit aussi une réflexion apparente, qui est en réalité de la nouvelle lumière émise par les électrons grâce à cette énergie. Et enfin, on peut considérer que la lumière invisible est toujours présente à l'arrière, particulièrement à plus grande distance, puisque c'est ce que la sommation des ondelettes de Huygens indique !

D'ailleurs, il existait deux indices qui donnaient à penser que c'est bien ce qui se passe. Le premier, c'est que les ondes radio, les rayons X et les rayons gamma traversent effectivement la matière. Ce n'est pas banal : la quasi-totalité du spectre invisible traverse bel et bien la matière, parfois sur une épaisseur considérable.

Le deuxième indice est encore plus troublant, puisqu'il est bien connu des radioélectriciens. Ceux-ci savent que les ondes radio qui rencontrent un fil métallique provoquent l'apparition de courants à l'intérieur du métal. Ce sont les électrons libres présents dans ce métal qui en sont déplacés et qui à leur tour provoquent l'apparition de champs électriques et magnétiques. L'onde qui en résulte est bel et bien en opposition de phase, et cela est aussi vrai dans le cas d'un dipôle dit parasite que d'un dipôle alimenté, tous deux étant accordés à la résonance.

Pour suivre la même logique, cela s'applique aussi à un écran plat fait d'un grand nombre d'antennes parasites. Il devient impossible de capter le signal à l'arrière : on est dans l'ombre de l'écran, exactement comme le montre mon programme. Ce qu'il faut retenir, ce n'est pas que les ondes planes ont été interceptées, c'est que les parasites ont émis de nouvelles ondes en opposition de phase.

Voici des images obtenues grâce à ce programme Ether20 :

Les ondes planes proviennent de la gauche.

En haut, ces ondes rencontrent une obstruction mesurant 10 longueurs d'onde : il en résulte une ombre. 

 En bas, l'obstruction est remplacée par une source qui émet des ondes en opposition de phase.

Le graphique de droite montre que l'ombre ainsi produite est identique.

Cette ombre est le résultat des interférences additives et soustractives causées par deux sources.

 

Le 14 janvier 2007.

Vous pouvez maintenant télécharger deux vidéos qui montrent que la lame séparatrice de l'interféromètre de Michelson doit s'incliner selon la contraction indiquée par Lorentz, tel qu'expliqué ci-dessous en date du 6 janvier. Les quatre directions possibles sont représentées.

ether19_axial_petit.wmv      ether19_transversal_petit.wmv

Ces vidéos au format mpeg-4 wmv de Microsoft ont été réalisées à l'aide de VirtualDub et de Windows Movie Maker, tous deux gratuits. Vous comprendrez que je dois me montrer parcimonieux en ce qui concerne le volume de ces vidéos, et c'est pourquoi j'ai réduit le format à 320x240. La première montre un faisceau de départ orienté sur l'axe alors que la deuxième montre un faisceau orienté transversalement. Dans ce cas, le plan des ondes est incliné selon l'angle thêta = arc sin (v/c). Veuillez noter toutefois que vous obtiendrez de bien meilleures images avec le programme Ether19 ci-dessous.

 

Le 6 janvier 2007.

Mon nouveau programme montrant le miroir de l'interféromètre de Michelson est maintenant disponible sur l'Internet :

Ether19.exe    Ether19.bas

Pas de doute, il s'agit d'une étape cruciale. Ce programme montre que Lorentz avait tout à fait raison de présumer que l'interféromètre de Michelson devait se contracter en fonction de sa vitesse à travers l'éther. Dans ce cas, l'angle de sa lame séparatrice ne pourrait plus demeurer à 45°. Or les résultats montrent qu'il faut effectivement que l'angle de la lame soit modifié conformément à la contraction indiquée par Lorentz pour que le faisceau lumineux continue d'être réfléchi exactement à 90°.

Voici deux diagrammes produits par le programme Ether19 :

Ces deux systèmes se déplacent vers la droite à la moitié de la vitesse de la lumière.

À gauche, le faisceau convergent est dévié par une lame séparatrice inclinée selon Lorentz.

À droite, l'angle de la lame a été maintenu à 45° exactement : le résultat est incorrect.

Voici l'animation AVI correspondante produite par le programme Ether19 :

http://glafreniere.com/avi/Michelson_transversal.avi

 

De plus en plus, les preuves s'accumulent en faveur de Lorentz. Tous ceux qui seront en mesure de le vérifier ne pourront que se rendre à l'évidence : il n'existe jusqu'à maintenant aucune indication qui donne à penser que l'hypothèse d'une contraction réelle de l'interféromètre et donc de la matière doit être rejetée. En fait, puisque c'est la seule hypothèse acceptable, elle doit plutôt être retenue.

Je rappelle que mon programme précédent Ether18 montrait différents phénomènes ondulatoires comme la tache d'Airy et la diffraction de Fresnel, tels qu'ils se présentent si le système se déplace. Là encore, la structure de la figure de diffraction demeure inchangée, de telle sorte qu'il est impossible pour un observateur qui se déplace avec ce système de remarquer la moindre anomalie.

Ci-dessous, les ondes convergentes transversales produisent une tache d'Airy (en deux dimensions) dont la structure générale demeure invariante, du moins aux yeux de l'observateur. Il ne pourra constater ni la contraction, ni l'inclinaison des ondes selon l'angle thêta = arc sin(v/c).

À gauche, la tache d'Airy produite par une source en arc de cercle au repos dans l'Éther Virtuel.

Au centre, la même image traitée par le Scanner du Temps selon v = 0,5 c.

À droite, la même situation (v = 0,5 c) dans l'Éther Virtuel.

 

Le 5 janvier 2007.

M. Philippe Delmotte est sur le point de livrer au grand public une première version de son programme. Dans sa forme actuelle, ce programme est déjà capable de montrer de nombreux phénomènes ondulatoires. Ce sera désormais un outil incontournable pour tous ceux qui travaillent dans le domaine des ondes, et donc en optique, en acoustique, en électronique, etc., et bien évidemment en mécanique ondulatoire, qui sera la physique nucléaire de demain...

Depuis plusieurs mois, j'ai eu la chance d'examiner ses programmes successifs.

M. Delmotte m'a également fait parvenir des documents sur différentes méthodes permettant d'obtenir des ondes et des oscillations. L'un de ces documents montrait une courbe qui m'était familière, mais dont j'ignorais le nom : il s'agit de « l'ondelette de Ricker » (à ne pas confondre avec Charles Richter, le créateur de l'échelle bien connue qui sert à mesurer les tremblements de terre).

En effet, N. Ricker a publié en 1953 une étude sur la forme des ondes sismiques. Or grâce à sa propre version de l'Éther Virtuel, M. Jocelyn Marcotte a démontré expérimentalement que cette ondelette était correcte. Il a montré comment une impulsion selon la distribution normale (gaussienne) évolue dans un milieu à trois dimensions ; or après une demi-période, on obtient précisément cette courbe, puis une courbe voisine qui se propage. Vous pouvez consulter la note à ce propos, faite en mai 2006, à la page sur les nouvelles découvertes. Voici comment évolue cette impulsion gaussienne :

L'ondelette de Ricker selon Jocelyn Marcotte.

Le 1er janvier 2007.

J'ai archivé la page où je me suis employé à consigner par écrit toutes les découvertes à propos de la nature ondulatoire de la matière. Si vous avez des raisons de penser qu'elle comporte des erreurs, veuillez m'en aviser et je ferai la correction s'il y a lieu.

Dans la présente page, les événements les plus récents figureront en premier, comme c'est la règle pour tout blog qui se respecte. J'ai l'intention d'y rapporter non seulement les nouvelles découvertes importantes, mais aussi les événements les plus significatifs. J'y insérerai aussi vos commentaires si vous m'y autorisez, à la condition bien sûr qu'ils soient pertinents.