CHRONOLOGIE DES NOUVELLES DÉCOUVERTES

Vous trouverez la suite à la page suivante :

LE BLOG

 

Voici « l'onde de LaFrenière ».

C'est l'une de mes découvertes, et j'affirme qu'il s'agit d'un électron.

Si vous parlez de cette onde, vous êtes priés de respecter son nom.

          Page d'accueil :  La matière est faite d'ondes.

 

Ce site propose une explication révolutionnaire de tous les phénomènes physiques. Il montre que la matière et tous les phénomènes physiques peuvent s'expliquer uniquement à l'aide d'ondes.

Le but de cette page est d'éviter ce qui s'est produit lors de la mise au point de la théorie de la Relativité. De toute évidence, les historiens des sciences n'ont pas fait leur travail, puisqu'il devient de plus en plus évident que la Relativité est une découverte conjointe de Hendrick Lorentz et de Henri Poincaré (1904). La contribution d'Albert Einstein (1905) est pour ainsi dire à peu près nulle. Einstein a été soutenu par toutes sortes d'influences bien orchestrées. Sa théorie de la Relativité restreinte s'avère exacte dans son application, mais elle n'en est pas moins erronée en ce qui concerne les faits. Pire encore, la gravitation n'a rien à voir avec la Relativité. Il devient donc inutile de distinguer la Relativité restreinte de la Relativité générale.

Pour des raisons que je m'explique mal, ni Lorentz ni Poincaré n'ont dénoncé vigoureusement l'attitude d'Einstein. Par mesure de précaution, avant que des influences dévastatrices semblables ne se fassent de nouveau sentir, je préfère aiguiller moi-même le train sur les bons rails.

Je ne suis pas un historien des sciences. Dans cette page, je ne prétends donc pas être exact ni exhaustif. Fort heureusement, l'Internet permet aujourd'hui à chacun de s'exprimer librement. Ceux qui ne seront pas d'accord auront tout le loisir de rectifier les choses à leur manière.

Mis à part les commentaires ci-dessous, je prétends être le seul à l'heure actuelle qui soit capable d'expliquer le fonctionnement mécanique de la matière et de tous les phénomènes physiques d'une manière cohérente et complète. Et j'arrive à le faire uniquement à l'aide de l'électron. Rien d'autre. Cette théorie est donc particulièrement belle parce qu'elle est simple.

La liste de toutes les innovations dont je réclame la paternité figure dans cette page. On constatera que cette liste est très longue. Je précise que j'ai bel et bien fait toutes ces découvertes seul et sans aide, mais que pour quelques-unes, je n'étais pas le premier. J'ai donc pris la peine de faire un préambule sur les précurseurs. Toutefois, j'ai maintenant plusieurs collaborateurs, en particulier MM. Philippe Delmotte, Anselme Dewavrin et Jocelyn Marcotte. Quelques autres préfèrent conserver l'anonymat. Il arrive donc maintenant que je ne sois plus l'auteur de certaines découvertes, et en pareil cas je me fais un point d'honneur de le préciser comme vous le verrez plus loin.

J'insiste tout particulièrement sur le fait que l'électron peut se déplacer par effet Doppler. C'est bien évidement cette mobilité qui est capitale. Toute la mécanique ondulatoire en dépend, d'autant plus que l'énergie est le résultat du mouvement : c'est de l'énergie cinétique. Il faudra donc remplacer le terme de thermodynamique par celui de « cinédynamique » : les ondes stationnaires de la matière, si elles sont comprimées par effet Doppler, peuvent être stockées d'une manière plus ou moins stable dans les champs de force gluoniques et électrostatiques ; à leur tour, ceux-ci peuvent restituer cette énergie en accélérant les particules impliquées.

Je réclame donc d'abord et avant tout la paternité de cet électron mobile, c'est à dire « l'Onde de LaFrenière » dont on aura vu une animation au début de cette page.

 

LES PRÉCURSEURS

 

1895 - HENDRICK ANTOON LORENTZ (1853 – 1928)

Comme FitzGerald, Lorentz a d'abord supposé que l'interféromètre de Michelson devait se contracter. Mais il est allé beaucoup plus loin en appliquant les transformations de Voigt (1887) à la matière elle-même, ce qui donnait à penser qu'en plus de se contracter, l'interféromètre présentait un temps local et que sa vitesse d'évolution devait ralentir.

Henri Poincaré de son côté connaissait bien ce temps local parce qu'il était l'auteur d'une procédure de réglage des horloges par signaux optiques. Tous les deux ont alors travaillé de concert et ils ont analysé les différentes avenues possibles, la transformation de Voigt comportant une constante inconnue. C'est Poincaré qui en est arrivé finalement aux équations définitives en 1904. Il a immédiatement énoncé très clairement un « postulat de Relativité ». Poincaré est donc le découvreur incontestable de la Relativité.

Pourtant, à mon sens, les générations futures reconnaîtront que la Relativité, même si elle est vraie, n'est qu'une curiosité. C'est plutôt la transformation mécanique de la matière selon sa vitesse absolue à travers l'éther qui s'avère d'une importance capitale. De plus, des textes de Lorentz montrent qu'il concevait la matière mobile comme une déformation locale de l'éther, celui-ci restant sur place : il était donc tout près de penser que la matière est faite d'ondes. Et enfin, la Relativité étant devenue évidente, il n'a pas fait l'erreur de mettre en doute le point de vue absolu des choses, comme l'a fait Poincaré, et encore moins de le rejeter, comme l'a fait Einstein.

Il faudra donc retenir d'abord et avant tout le nom de Lorentz. Il fut le plus grand des physiciens.

 

1904 - JULES HENRI POINCARÉ (Nancy, 29 avril 1854 - Paris, 17 juillet 1912)

Non seulement Henri Poincaré est celui qui a établi les équations définitives des transformations de Lorentz, mais c'est aussi le découvreur incontestable de la Relativité.

Tous les scientifiques et tous les historiens des sciences qui attribuent la Relativité à Albert Einstein font preuve d'une mauvaise foi évidente, ou pire encore d'une ignorance inqualifiable. Comme Lorentz lui-même l'a signalé, c'est Poincaré qui a parlé le premier de Relativité. Il fut le premier à employer ce terme.

La Relativité est la conséquence des transformations de Lorentz. Nous n'avons pas besoin d'Albert Einstein pour nous l'expliquer, et d'ailleurs son interprétation est erronée parce qu'il ne fait pas la distinction entre les faits absolus d'une part, et ce que nous observons qui est le résultat d'une distorsion attribuable à l'effet Doppler d'autre part. Il est vrai que sa théorie se vérifie, mais il est infiniment préférable d'en connaître les raisons au lieu de s'en remettre à un ensemble de préceptes dogmatique.

 

1924 - LOUIS DE BROGLIE (1892-1987)

http://www.academie-francaise.fr/immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=580

Il faut impérativement mentionner le nom de Louis de Broglie dans une étude sur la nature ondulatoire de la matière, puisqu'il fut le premier à la signaler. Malheureusement, il a peut-être un peu insisté sur la dualité onde et corpuscule. Alors le monde scientifique s'est mis à voir des particules dans les ondes (les photons, les neutrinos, etc.), alors qu'il aurait dû plutôt voir des ondes dans les particules.

On pourrait citer aussi Erwin Schrödinger et Werner Heisenberg, dans le contexte de la mécanique quantique. Malheureusement, à la lumière des nouvelles découvertes, on constate qu'ils auraient dû attacher une plus grande importance au fait que ces ondes existent vraiment. Ils se sont comportés comme s'il ne s'agissait que d'une analogie, et ils ont traité ces ondes comme si elles n'étaient que des équations.

Il n'existe pas des centaines de sortes d'ondes, et elles sont bien réelles. Il y a les ondes progressives et les ondes stationnaires ; et elles peuvent être planes ou sphériques. De plus on a manifestement abusé des mathématiques, car ces ondes peuvent être représentées en plus d'être calculées. Notre monde ne s'explique pas tout de go avec des équations, il fonctionne selon des mécanismes qu'il faut comprendre et décrire avant de les calculer. On a aussi attaché une importance démesurée aux propriétés quantiques de la matière. Les quanta ne représentent qu'un aspect secondaire de la mécanique de la matière, qu'il faudra désormais appeler non pas la mécanique quantique, mais plutôt la mécanique ondulatoire selon l'expression retenue par de Broglie lui-même.

Monsieur Denys Lépinard (voir plus bas) signale qu'il a relevé les mots suivants dans un texte de de Broglie :

"Tout se passe comme s'il y avait superposition d'une onde convergente et d'une onde divergente se propageant avec la vitesse c. Ce résultat ...permettra peut-être de définir plus exactement la grandeur périodique qui paraît intimement liée à l'existence même de la matière. En tout cas, il paraît certain que l'existence d'une vitesse de phase supérieure à c n'est pas incompatible avec l'équation électromagnétique de propagation des ondes." (C.R. Acad des Sciences Paris, Séance du 16 février 1925).

Il est clair que des ondes convergentes ou divergentes ne peuvent être que sphériques. De plus leur superposition conduit à des ondes stationnaires selon le modèle statique de M. Milo Wolff, et à mon propre modèle de l'électron mobile si le système se déplace. Je dois dire qu'à la lecture de cet extrait, ma surprise fut totale.

On sait que les ondes stationnaires semblent apparaître puis disparaître deux fois par période. Elles produisent alternativement deux sortes de « nœuds » séparant des ventres de courant, puis des ventres de tension. Mais si ce système se déplace, il se produit aussi des « heures locales » selon l'expression de Poincaré : alors cette disparition périodique ne peut plus avoir lieu partout simultanément. La période évolue forcément le long de l'axe du déplacement, ce qui provoque l'apparition d'une « onde de phase », à laquelle M. Lépinard attache justement (avec raison) une grande importance.

La vitesse de cette onde de phase correspond à c 2 / v. Elle vaut : 1 / (v / c) si elle est exprimée en secondes lumière par seconde ou en longueurs d'onde par période. Il est donc exact qu'elle est toujours supérieure à la vitesse c. Toutefois mon scanner du temps montre qu'il ne suffit pas d'appliquer cette formule à l'électron de M. Wolff pour aboutir à mon électron mobile : il faut aussi tenir compte de la contraction des distances. La « vitesse de phase » pressentie par de Broglie en est modifiée selon l'équation du temps de Lorentz. Finalement, il faut appliquer intégralement les deux équations des transformations de Lorentz à mon électron mobile pour aboutir à l'électron stationnaire de M. Wolff. Selon une erreur tenace, les physiciens ont plutôt tendance à penser que les transformations de Lorentz produisent une distorsion. En réalité, elles corrigent la distorsion consécutive à l'effet Doppler, ce qui explique que la valeur des variables x' est plus élevée que celle des variables x.

Je dois le reconnaître, de Broglie était bien plus près de la vérité que je ne le croyais.

 

 

1970 - M. SERGE CABALA

http://members.aol.com/scabala25/index.htm

http://members.aol.com/DominiqueCabala/sommaire.htm

 

Pour autant que je sache, M. Cabala fut le premier à réintroduire l'existence de l'éther comme milieu élastique propre à la propagation des ondes de la lumière, et à en faire la preuve. On sait que c'est René Descartes qui a découvert l'éther. Cette idée avait été reprise par son disciple Christiaan Huygens, mais il s'agissait alors uniquement d'expliquer la lumière.

M. Cabala est allé beaucoup plus loin en proposant d'utiliser l'éther comme support de la matière elle-même, en signalant que Lorentz la voyait comme une déformation locale de l'éther. Il fut donc le premier à pressentir la nature exclusivement ondulatoire de la matière. La « dualité » onde et corpuscule de Louis de Broglie n'a plus sa raison d'être. J'affirme qu'il s'agit là d'une innovation majeure et sans précédent dans l'histoire des sciences, et qu'elle doit être attribuée à M. Cabala.

Il a également démontré hors de tout doute que la Relativité était en faveur de l'éther, en une époque difficile où tous ceux qui osaient seulement prononcer ce mot étaient purement et simplement ostracisés.

J'aurai toujours le plus grand respect et la plus grande admiration pour M. Cabala.

 

 

1986 - M. MILO  WOLFF

http://www.quantummatter.com/

 

On peut trouver de nombreuses observations pertinentes sur le site de M. Wolff, qui a aujourd'hui plus de 80 ans.

En particulier, il montre que l'électron, s'il est fait d'ondes stationnaires sphériques et concentriques, peut expliquer la matière. Le point important, c'est que malgré le fait que le centre de ce système soit localisé en un point précis de l'espace, il peut communiquer et échanger avec tout ce qui se trouve dans son voisinage à l'aide de ses ondes périphériques. Il a aussi affirmé que la matière gagne en masse à mesure qu'elle accélère à cause de l'effet Doppler. Hélas, il a toujours refusé d'admettre que l'effet Doppler appliqué à son électron stationnaire conduisait à mon électron mobile...

M. Wolff a bien vu qu'il se produisait une inversion de phase au centre de ce système, ce qui fait que le diamètre du noyau central mesure une onde entière et non la demi-onde habituelle des ondes stationnaires planes. Ce détail apparemment insignifiant, que j'ai corrigé en 2003, m'avait échappé tout d'abord. Il prend une importance considérable lorsque vient le temps d'étudier le comportement de la matière.

 

1990 - M. YURI  IVANOV

http://www.keelynet.com/spider/b-104e.htm

http://www.keelynet.com/spider/b-107e.htm

 

Je sais : le site keelynet.com fait l'éloge de John Worrell Keely, l'un des plus grands imposteurs de tous les temps. À travers ses divagations manifestes, M. Ivanov fait pourtant deux constats d'importance :

1. - Il fut le premier à montrer que les ondes stationnaires se contractent de la même manière que l'indiquent les calculs d'Albert Michelson, aux fins de réaliser sa célèbre expérience à l'aide d'un interféromètre. Il en déduit la « transformation d'Ivanov », qui à mon sens devrait plutôt être attribuée en toute justice à Michelson, et il fait le rapprochement avec les transformations de Lorentz. Malheureusement, il omet de prendre en compte le ralentissement des horloges et il aboutit à une contraction sur les axes y et z, contrairement à ce que ces transformations prévoient.

2. - Il utilise « sa » transformation pour démontrer que tout objet qui se déplace à grande vitesse devrait se contracter, à la seule condition qu'il utilise des ondes pour structurer ses molécules.

Lorentz lui-même n'était pas parvenu à faire la preuve que la matière se contracte réellement comme il l'affirmait. J'ose affirmer qu'autrement, c'est lui qui aurait occupé la place qu'Albert Einstein occupe depuis un siècle, malgré la contribution de Henri Poincaré. En effet, c'est l'idée même d'une transformation réelle de la matière qui est importante, et non pas la Relativité, qui n'en est que la conséquence.

Selon moi, ces deux découvertes de M. Yuri Ivanov ont donc un importance majeure.

 

Avant 2000 - MME  CAROLINE  THOMPSON (1942 - 2006)

http://freespace.virgin.net/ch.thompson1/

 

Mme Thompson a fait elle aussi de nombreuses observations pertinentes. Il est remarquable que des cheminements ou des raisonnements si différents des miens aient abouti à autant de similitudes.

On peut citer entre autres des déclarations à l'effet que les photons n'existent pas, que l'éther ne transmet que des ondes longitudinales mais qu'il peut quand même véhiculer des vibrations transversales de manière à justifier la polarisation de la lumière. Mme Thompson parlait aussi de « centres oscillants émetteurs » (pulsating wave centres) qui sont capables d'utiliser l'énergie des ondes présentes dans l'éther par effet de lentille et de la « pulser » à travers l'éther.

Dans l'un de ses textes, elle a montré un tétraèdre fait de quatre particules, qui selon elle pourrait bien constituer la matière. Elle était très près de la solution puisque le proton et le neutron sont faits selon moi de six électrons disposés sur les sommets d'un octaèdre. Et enfin elle avait compris comme M. Milo Wolff que ces ondes qu'elle appelle « phi waves » pouvaient avoir une influence mécanique sur les autres « centres oscillants ».

C'est bien assez pour que son nom figure en bonne place dans les futurs manuels d'histoire.

 

Juin 2005 ou avant. - M. PHILIPPE DELMOTTE

Je mentionnais déjà le nom de M. Delmotte depuis février 2004 à la fin de ma page d'accueil. Comme moi, c'était avant l'avènement de FreeBASIC un adepte du langage de programmation archaïque QuickBASIC, mais sa maîtrise était infiniment supérieure à la mienne. Il m'avait transmis des renseignements très utiles sur les commandes qui permettent d'obtenir une échelle de gris sur l'écran de mon ordinateur même en format 640 x 480, ce qui était impossible autrefois en mode MS DOS (certains dinosaures évoluent). Il arrivait aussi à afficher des ondes correctement et même en relief comme s'il s'agissait de vagues sur l'eau. C'est lui qui m'a enseigné cette technique. Même s'il ne s'agit que d'un artifice, d'ailleurs bien connu, les ondes apparaissent alors d'une manière beaucoup plus intuitive, ce qui m'a permis d'en mieux comprendre certains aspects.

L'invention de l'Éther Virtuel.

M. Philippe Delmotte m'a transmis en juin 2005 un programme d'ordinateur utilisant un algorithme génial, qui lui permettait de surclasser mon vénérable principe de Huygens en modélisant le milieu élastique lui-même. Il procède sensiblement comme on le fait actuellement pour prévoir les perturbations atmosphériques, cette méthode exigeant toutefois pour être vraiment efficace le concours des ordinateurs les plus puissants de la planète à l'heure actuelle. Il peut de cette manière illustrer l'évolution du milieu élastique dans le temps, ce qui permet de prévoir le comportement des ondes progressives ou stationnaires, leur composition, la diffraction de Fresnel et même d'autres phénomènes ondulatoires plus complexes et plus difficilement explicables par le principe de Huygens.

Ce qu'il y a de bien avec sa méthode, c'est qu'elle reproduit ce qui se passe réellement. Elle pourra en particulier démontrer que l'électron peut être amplifié par effet de lentille. En fait, puisqu'elle permet de tout vérifier, c'est surtout à l'aide de cette méthode qu'on arrivera à démontrer que la matière est faite d'ondes comme je l'affirme.

Je crois donc pouvoir dire qu'il s'agit d'une invention majeure. Il faut toutefois mettre un bémol sur l'antériorité de M. Delmotte. En effet, M. Dewavrin (voir ci-dessous) a pu retracer des programmes pour jeux vidéos datant d'au moins dix ans, et qui simulaient des vagues sur l'eau. À en juger par les résultats, les algorithmes mis en œuvre sont moins évolués. Mais il faut reconnaître qu'ils présentent des similitudes avec celui de M. Delmotte. Le nom de l'inventeur n'est pas clairement établi. M. Paul Falstad a fait mieux plus récemment :

Ce qui me consterne, c'est que les opticiens et les acousticiens que j'ai pu contacter n'en avaient pas la moindre connaissance, alors que cet outil fantastique révolutionnera certainement leur science. En toute bonne foi, j'ai donc présumé pendant plus d'un an que M. Delmotte en était l'inventeur. Je n'arrive pas à croire que les physiciens se montrent toujours aussi bornés lorsqu'il y a du nouveau.

Désormais, l'étude des ondes ne peut plus faire appel à des équations. Je crois avoir déjà démontré qu'elle doit impérativement faire appel à l'ordinateur, dont la puissance augmente sans cesse et semble sans limites. Il est clair que le principe de Huygens produit plus simplement et plus rapidement des résultats irréprochables. Mais la méthode de M. Delmotte est promise à un avenir grandiose. En effet, puisque tout n'est qu'ondes, c'est toute la physique et en particulier la physique nucléaire et même la chimie qu'on pourra désormais étudier de cette manière.

Avec quelques collaborateurs, je travaille désormais en priorité sur le « projet Éther Virtuel ». Il s'agit d'un véritable laboratoire qui nous permettra non seulement de démontrer que la matière est faite d'ondes, mais d'en découvrir tous les mécanismes. 

On trouvera plus de renseignements sur l'Éther Virtuel à la page sur l'éther.

 

Depuis août 2005. - M. ANSELME DEWAVRIN 

M. Dewavrin est un ingénieur spécialiste des langages de programmation. Il a réussi à établir un lien entre la méthode d'Euler et l'algorithme de Philippe Delmotte, ce qui conduit à un algorithme simplifié capable de produire une sinusoïde, ou encore des oscillations : voir le programme oscillations_Delmotte_Dewavrin.exe et son code source. Avec une parfaite maîtrise, il a aussi retracé un algorithme similaire rejoignant celui de M. Jocelyn Marcotte : examinez le programme oscillations_Marcotte_Dewavrin.exe et son code source. 

Je tiens à souligner la participation de M. Dewavrin à cette grande aventure parce que nous n'en serions pas arrivés là si rapidement sans lui. La liste de tout ce qu'il nous a apporté est très longue. En particulier, c'est lui qui m'a permis de réaliser des programmes beaucoup plus efficaces grâce à FreeBASIC. Mais surtout, ses commentaires ont toujours été remarquablement pertinents, ce qui est inestimable.

 

Depuis janvier 2006. - M. JOCELYN MARCOTTE 

Vous trouverez plus loin plusieurs découvertes attribuables à M. Marcotte, qui vit au Québec tout comme moi. En particulier, il a inventé lui aussi un algorithme tout à fait original capable de produire des ondes. C'est un ingénieur diplômé de l'école Polytechnique de Montréal. Il est particulièrement habile à développer puis à vérifier de nouvelles hypothèses grâce à l'informatique. Je tiens aussi à souligner que c'est lui qui a identifié les formules permettant de reproduire l'électron en évolution :

y = sin(x) / x  (phase)

y = (1 cos(x) ) / x  (quadrature)

Je ne serais pas surpris s'il arrivait un jour à faire des découvertes fantastiques à propos de l'électron et de la matière.

 

LES  AUTRES

D'autres personnes ont fait preuve d'une certaine ouverture d'esprit. Malheureusement je ne suis généralement pas d'accord avec ce qu'elles proposent. En tous cas il arrive qu'elles voient juste sur certains points. Je les cite ici pour souligner leur participation à un effort collectif pour rétablir la vérité.

Tous ceux qui sont en mesure de produire des preuves à l'effet qu'ils ont déjà signalé l'une quelconque des propositions énoncées dans ces pages sont priés de me le faire savoir, en mentionnant la date et les preuves. Je me ferai un plaisir de les ajouter à la liste suivante, et de faire mieux encore si leur découverte me semble importante :

En français :

http://membres.lycos.fr/bvr/relf00.html  Bruno van Rossum, de Belgique. Il fait un effort louable pour montrer que la Relativité ne peut pas se résumer à des principes, comme l'a fait Einstein. Elle peut et elle doit pouvoir s'expliquer intelligemment.

http://perso.wanadoo.fr/lebigbang/relativite.htm  Bernard Chaverondier, de France. Même s'il ne prend pas parti, il a l'intelligence de reconnaître que la Relativité de Lorentz constitue une approche plausible. Voilà au moins un professeur qui manifeste un certain courage face à l'ordre établi, contrairement à la grande majorité des autres qui, à moins d'être des ignorants, sont des lâches.

http://www.ontostat.com/franc/physique_revisitefr.htm  Denys Lépinard, de France. Il y a trop d'éléments discutables susceptibles de faire fuir n'importe quel physicien raisonnable. Son approche manque de rigueur, mais malgré les apparences il arrive qu'il dise vrai. Je tiens en tous cas à le remercier d'avoir reconnu qu'il n'était pas nécessairement l'auteur initial de ces idées puisqu'il a pris la peine de citer les noms de MM. Wolff, Hawkings, Cabala, ainsi que le mien. C'est tout à son honneur.

En anglais :

http://www.rbduncan.com/  Robert Byron Duncan. Plutôt fantasque ; mais il voit juste parfois.

http://ray.tomes.biz/  Ray Tomes. Ce dernier a entrepris récemment de réaliser des animations semblables aux miennes. Il avait lui aussi pensé que la matière pouvait être faite d'ondes stationnaires sphériques, avant même de connaître M. Milo Wolff. Il affirme qu'il a découvert la formule : y=sin(x)/x il y a longtemps, mais elle ne figure pas sur son site et il ne l'a mentionnée nulle part à ma connaissance.

http://www.spaceandmotion.com/chris-hawkings-wave-theory.htm  C. O. Hawkings. Il y a un conflit puisqu'il expose des idées réclamées par M. Milo Wolff en 1986. Il cite M. Wolff à propos d'un livre publié en 1990 alors que son « poster » initial daterait de 1984 : il est donc évident que sa page web n'est pas une fidèle retranscription de ce texte. Elle contient sans doute beaucoup de nouvelles idées beaucoup plus récentes, et qui ne sont pas nécessairement les siennes.

 

Je croyais naïvement que toutes ces personnes finiraient par aboutir à un consensus, mais chacun reste sur ses positions. Il y a même pire : certains ont recours à des arguments surréalistes, et ils ont une nette tendance à faire appel à des principes philosophiques et même au mysticisme. Je vous laisse en juger : vous en trouverez des exemples sur les pages des membres d'un groupe nommé « WSM » (wave structure of matter).

Bref, ils n'ont aucun respect pour la physique. Pour bien comprendre les choses, il est essentiel de garder les deux pieds sur terre. Il faut s'en tenir aux faits, et il faut tout vérifier.

Je tiens donc à m'en dissocier énergiquement.

 

 

MES  DÉCOUVERTES

 

1 - La théorie de l'Absolu (mai 2000 - mai 2001)

  • L'existence de l'éther.
  • La présence constante d'ondes qui circulent dans cet éther.
  • Ces ondes fournissent de l'énergie à la matière.
  • La nature exclusivement ondulatoire de la matière, sous forme d'ondes stationnaires.
  • Des ondes stationnaires dont la fréquence n'est pas la même se déplacent.
  • Les ondes stationnaires se transforment selon Lorentz.
  • Pour ces deux raisons la matière se transforme selon Lorentz et elle peut se déplacer.
  • La véritable Relativité est celle de Lorentz.
  • L'espace et le temps ne se transforment pas. Les distances varient et les horloges ralentissent.
  • Un nouveau principe de Causalité, qui indique que les causes agissent à la vitesse de la lumière.
  • Les bases d'une nouvelle mécanique ondulatoire fondée sur les propriétés des ondes stationnaires.
  • Une preuve que l'énergie de la matière augmente selon l'effet Doppler.
  • La méthode des masses actives et réactives, qui permet d'évaluer l'énergie et les forces impliquées.
  • Ces masses actives et réactives permettent d'énoncer une nouvelle loi de l'action et de la réaction.
  • La lumière est faite d'ondes longitudinales composites pulsées sur une fréquence secondaire.
  • Les photons n'existent pas. Les neutrinos n'existent pas.
  • La lumière traverse les objets, preuve à l'appui.
  • Les ondes qui circulent dans l'éther peuvent amplifier des ondes stationnaires par effet de lentille.
  • Les électrons sont donc des « oscillateurs » autonomes amplifiés par effet de lentille.
  • Les électrons vibrent tous sur la même fréquence ; ils sont synchronisés.
  • Le comportement des électrons dépend de leur période et de leur emplacement.
  • L'unification de toutes les forces, attribuables aux ondes émises par la matière.
  • Des ondes sphériques qui se recoupent reproduisent les lignes de force d'un champ magnétique.

 

 

2 - La matière est faite d'ondes (juin 2002)

 

En plus des points cités ci-dessus, cet ouvrage proposait les nouveautés suivantes :

 

  • L'électron (l'onde de LaFrenière) est fait d'ondes stationnaires sphériques non concentriques.
  • L'électron est mobile. Il peut se déplacer si ses ondes subissent l'effet Doppler.
  • Les électrons et les positrons correspondent à quatre phases de la même particule.
  • Les charges électrostatiques dépendent de la manière dont ces phases se superposent.
  • Les deux « spin » de l'électron correspondent à l'opposition de phase.
  • Les électrons ne tournent pas autour du noyau de l'atome et ils se situent en un point précis.
  • Les électrons peuvent osciller autour de ce point, ce qui produit la lumière.
  • La pression de radiation et l'effet d'ombre justifient les effets d'attraction et de répulsion.
  • La gravité est attribuable au fait que les ondes émises par la matière sont courbées et non planes.
  • La matière en tant qu'ondes n'offre pas de moyens de détecter notre déplacement à travers l'éther.
  • Le courant électrique est attribuable à des ondes véhiculées par un médium fait d'électrons libres.
  • Deux séries d'hyperboles faites d'ondes sphériques qui s'entrecoupent reproduisent les lignes de force d'un champ magnétique.
  • La fréquence constante de l'électron est due à une limite de surpression de l'éther dans l'infiniment petit.
  • L'énergie constante de l'électron est liée à l'énergie moyenne des ondes qui circulent dans l'éther.
  • J'ai réussi vers 1994 à appliquer le principe de Huygens au moyen de l'ordinateur, qui effectue l'équivalent d'un calcul différentiel en additionnant l'amplitude de milliers d'ondelettes. À cette époque, j'arrivais facilement à produire les diagrammes du sténopé et du laser, c'est à dire la diffraction de Fresnel. Je n'ai toutefois rendu cette méthode publique que dans cet ouvrage. À ce jour, personne ne m'a jamais signalé que quelqu'un avait réussi à produire des diagrammes de cette manière, mais cela reste à vérifier. Je suis pour l'instant l'inventeur incontesté de cette méthode, qui s'avère indispensable.

 

3 - La matière est faite d'ondes (le site Internet, depuis sept. 2002).

 

En plus des points cités ci-dessus, le présent site propose les nouveautés suivantes :

  • Les valeurs des transformations de Lorentz peuvent être déduites de la procédure de réglage des horloges par signaux optiques. Elles peuvent aussi être retracées au moyen du « scanner du temps » proposé dans ces pages. Les équations de Maxwell utilisées par Voigt, Lorentz et Poincaré compliquent inutilement le problème.
  • On peut reproduire les effets réversibles des transformations de Lorentz sur n'importe quel objet en effectuant des « scans » successifs de cet objet. Le sens du balayage détermine les transformations ou leur correction. La vitesse du balayage varie selon la vitesse absolue de l'objet. Le film obtenu permet de montrer une image d'un objet mobile comme s'il était au repos, et une image d'un objet au repos comme s'il était mobile. En une seule opération, ce procédé  compense ou provoque la contraction des objets, le décalage horaire et le ralentissement des horloges. En voici la preuve, mais vous pouvez aussi observer les étonnantes animations d'une machine à piston et d'un euro réalisées par M. Serge Cabala, bien évidemment selon un autre procédé.
  • Les équations de Maxwell ne représentent absolument pas la réalité. Elles permettent quand même de prévoir le comportement d'un récepteur même à travers le vide parce que tout se passe comme si les champs électrique et magnétique se déplaçaient de l'émetteur au récepteur à la vitesse de la lumière. Toutefois, seules des ondes longitudinales existent dans le vide et les lois de l'optique suffisent d'ailleurs à les analyser, compte tenu du fait que des ondes longitudinales composites peuvent aussi provoquer une polarisation. En plus clair, les « ondes électromagnétiques » n'existent pas.

 

Mises à jour en 2004 :

  • 16 jan 2004 - Les couches électroniques sont déterminées par les « trous noirs de Balmer » et le spin des deux électrons situés sur un même axe devrait aussi être opposé parce que les deux côtés de l'axe sont en opposition de phase. D'où le principe d'exclusion de Pauli. Puisque deux atomes liés en molécule partagent au moins un même électron, le principe d'exclusion de Pauli s'applique aussi aux molécules.
  • 16 jan 2004 - Les vibrations des électrons à l'intérieur des trous noirs de Balmer, qui n'ont ni les mêmes dimensions ni la même énergie, déterminent la longueur d'onde des raies spectrales.
  • 22 jan 2004 - Toute source d'ondes non ponctuelle, donc tout groupement d'électrons, produit toujours des « trous noirs de Balmer » de part et d'autre, sur l'axe qui les unit, en fonction de la distance qui les sépare. La distance limite correspond à un nombre de Fresnel égal à 1. On en conclut qu'un flot d'électrons libres dans un fil métallique devrait respecter des chaînons réguliers, surtout en l'absence de chaleur. La supraconductivité en particulier s'explique donc de cette manière et elle implique aussi l'alternance des spin selon le principe d'exclusion de Pauli.
  • 22 jan 2004 - Des électrons ainsi confinés à l'intérieur de trous de Balmer dans un fil conducteur se comportent comme un véritable médium, comme le font les molécules de l'air pour transmettre le son. Ils sont donc en mesure de transmettre des ondes électroniques en fonction de leur masse et de l'espace qui leur est alloué à l'intérieur d'un tel trou. Ces ondes se transmettent comme s'il s'agissait d'un ressort qui se contracte ou se détend localement, donc sans impliquer un déplacement significatif des électrons. La lumière qui progresse à l'intérieur d'un matériau transparent se propage exactement de la même manière, mais elle le fait à l'aide des électrons captifs des atomes. À une telle fréquence, les électrons libres annulent plutôt la lumière incidente, et c'est pourquoi la lumière est réfléchie sur une surface métallique.
  • 22 jan 2004 - Tout indique que les lignes de force des champs magnétiques correspondent à des alignements de trous de Balmer dont l'emplacement varie constamment. C'est ce qui explique que les électrons du voisinage tentent de les rejoindre en décrivant des cercles, mais sans jamais y arriver, d'où la force de Lorentz. Les diagrammes montrent que la période des ondes impliquées subit une rotation, ce qui suppose que les électrons négatifs et les positrons ou les protons positifs devraient réagir en sens opposé.
  • 22 jan 2004 - Le décalage horaire n'implique pas le temps lui-même. Il correspond plus exactement à un délai variable entre les causes et leurs effets. Puisque les forces sont des ondes qui produisent des effets, leur vitesse relative varie selon qu'elles se dirigent vers l'arrière ou vers l'avant, conformément à l'effet Doppler. Il est ridicule de faire appel au temps lui-même pour expliquer un simple délai mécanique modifiant les relations de cause à effet.
  • 25 jan 2004 - En plus de la pression de radiation, les électrons sont en mesure d'ajuster leurs oscillations à l'intérieur et même à l'extérieur d'un atome. Ils transmettent ainsi la lumière à l'intérieur d'un matériau transparent, ou encore un courant électrique à haute fréquence. Ce phénomène peut être reproduit à l'aide de pendules identiques auxquels on aurait fixé un haut parleur. Une telle expérience démontre que des unités oscillant sur une même fréquence sont interconnectées. Elles se comportent comme un médium de manière à transmettre des ondes sur une fréquence secondaire.
  • Mars 2004 - Invention officielle du « scanner du temps ». Ce dispositif montre les transformations de Lorentz d'une manière très spectaculaire. De plus, il permet de retrouver les valeurs correctes de ces transformations. J'avais précédemment démontré qu'un scanner reproduisait certains de ces effets, mais je n'arrivais pas à les concilier. Ce n'est que plus tard que j'ai compris que ce scanner ne faisait que reproduire l'effet Doppler et rien d'autre, ce qui conduit aux équations de Woldemar Voigt, puis aux transformations de Lorentz, et donc à la Relativité.
  • 14 juillet 2004 - Je suis enfin en mesure de proposer une description complète de l'atome d'hydrogène, avec son proton et son électron. Ce qui semble trois quarks à l'intérieur du proton est en réalité la réunion de trois paires d'électrons, au centre desquels un positron peut exceptionnellement concilier sa période. C'est ce positron qui assure la charge positive au proton, et le neutron n'en possède pas. Les trois paires d'électrons provoquent la formation de pas moins de dix champs gluoniques sous forme d'ondes stationnaires planes qui annulent leur effet de répulsion et aussi leur charge négative. Comme les électrons, ces champs gluoniques sont amplifiés par effet de lentille et ils contiennent de l'énergie. C'est donc de la matière virtuelle, et c'est pourquoi la masse totale d'un proton vaut 1836 fois celle d'un seul électron. Les six électrons sont disposés sur les six pointes d'un octaèdre régulier, dont les huit faces rayonnent des faisceaux d'ondes susceptibles de recevoir au maximum huit électrons (d'où les huit électrons périphériques) dans un très grand nombre de couches atomiques, selon des distances fixes progressives qui expliquent très bien la série de Balmer.
  • 8 août 2004 - À la suite de cette découverte, mes premiers diagrammes de rayonnement du proton montrent des zones de rayonnement minimum en forme d'entonnoirs ou de tunnels qu'on pourrait appeler des cônes d'ombre, et des "trous noirs de Balmer" périodiques qui expliquent à merveille les liaisons moléculaires, les couches électroniques, la série de Balmer, le courant électrique et les jonctions électroniques à semi-conducteurs. La chimie en sera considérablement simplifiée. Malheureusement j'éprouve des difficultés à mettre au point un programme d'ordinateur qui arrive à traiter des distances valant 100 milliards de fois la longueur d'onde. Mais ça viendra. L'écran affiche pour l'instant trop d'artéfacts. Il se peut aussi que les électrons libres responsables du courant électrique soient parfaitement en mesure de traverser les atomes de part en part à travers ces tunnels sans rencontrer la moindre obstruction. Si c'est exact, la « couche de conduction » prétendument associée au courant électrique n'aura plus sa raison d'être.

 

Mises à jour en 2005 :

  • 30 janvier 2005 - En travaillant sur des animations à l'aide du « scanner du temps »,  je constate un fait nouveau. Les transformations de Lorentz y apparaissent correctes pour un ensemble dont tous les éléments sont au repos ou se déplacent parallèlement et à la même vitesse ; mais les objets dont la vitesse ou la direction ne sont pas les mêmes ne subissent pas les transformations prévues si l'ensemble est accéléré ou ralenti. Pour y arriver correctement de manière à ce que la loi de l'addition des vitesses de Poincaré se vérifie, il faut appliquer deux transformations en cascade. Dans un premier temps, il faut appliquer une transformation individuelle à chacun des objets, puis une seconde transformation à tout l'ensemble. C'est la seule façon de réaliser la transformation correcte d'une scène animée. Je réalise subitement qu'il n'existe pas d'équations qui permettent de transformer selon une vitesse et une direction différentes un objet qui est déjà en mouvement. Mon scanner du temps indique que dans ce cas la réciprocité des équations de Poincaré ne fonctionne plus. Cela ébranle sérieusement son postulat de Relativité, alors que la Relativité de Lorentz fondée sur le fait que ce que nous observons est une illusion demeure intacte.
  • 18 mars 2005 - Je suis enfin parvenu à écrire des équations qui montrent clairement que toute la mécanique de la matière est assujettie à l'effet Doppler. Je doute que mes lecteurs le réalisent, du moins pour l'instant, mais à mon sens il s'agit là d'un événement majeur. C'est une preuve très nette que la matière est faite d'ondes, mais c'est aussi un avancement important dans la mécanique de la matière, c'est à dire la mécanique ondulatoire. J'ai montré en mai 2001qu'on peut séparer la matière en deux parties : la masse active et la masse réactive. Mais désormais, il faudra parler plutôt d'un facteur d'action « a » et d'un facteur de réaction « r » :

    a = (2 / (1 b) 1) 1 / 2  / 2               r = ( 2 / (1 + b) 1) 1 / 2  / 2

Voyez comme ces deux équations sont identiques, sauf en ce qui concerne l'effet Doppler avant, soit 1 b pour le facteur d'action « a » et l'effet Doppler arrière, soit 1 + b pour le facteur de réaction « r ». Très clairement, ce sont les ondes qui se propagent vers l'avant qui produisent toute action selon 1 b, alors que les ondes transmises vers l'arrière sont plutôt responsables de la réaction selon 1 + b. On remarquera ainsi que le rapport a : r est identique au rapport (1 + b) : (1 b). Il faut aussi noter que le fameux facteur gamma de la Relativité est égal à : g = a + r. Pour le reste, la page indiquée ci-dessus montre que l'action et la réaction, les forces, les chocs, l'inertie, l'augmentation de la masse selon la vitesse, la pression de radiation, l'énergie cinétique, l'énergie de la matière et donc l'équation  E = mc^2 ont un lien avec ces formules. Il s'agit donc d'une percée majeure qui permettra de mettre de l'ordre dans la mécanique de Newton et de se débarrasser enfin de cette absurdité qu'est la théorie de la Relativité générale d'Einstein.

Je découvre par la même occasion que l'effet Doppler « relativiste » est parfaitement symétrique et réversible. Je le qualifie de « diabolique » parce qu'il empêche deux observateurs dont la vitesse n'est pas la même d'en déduire leur vitesse absolue à travers l'éther. En effet, le ralentissement des horloges et donc de la fréquence de la lumière fait en sorte que le rapport de la fréquence des ondes émises vers l'avant et vers l'arrière comparativement à la fréquence d'un émetteur au repos est réciproque. J'ajoute donc une section à ce sujet dans ma page sur l'effet Doppler.

  • 27 mars 2005 - Je suis enfin parvenu à expliquer la force de Coulomb. Mon programme ad hoc fait l'analyse des ondes stationnaires planes qui se forment entre deux électrons, c'est à dire le champ de force électrostatique. D'une part, ces ondes stationnaires très particulières ne présentent pas la même phase selon la distance de l'axe. D'autre part, puisque toutes les ondes stationnaires sont amplifiées par les ondes de l'éther, ces ondes rayonnent des ondes comme les électrons. Le point important, c'est que leur diagramme de rayonnement présente sur l'axe des zones d'amplitude minimum et maximum qui agissent comme un filtre. La zone d'amplitude maximum fait en sorte que si les deux électrons y sont présents, ils sont repoussés par ce rayonnement parce que celui-ci est en phase avec leur noyau central. Par contre, si l'on est en présence d'un électron et d'un positron, ce rayonnement est en opposition de phase, d'où un effet d'attraction très semblable à celui qui explique la gravité.
  • 12 juin 2005 - Je savais que certaines forces agissaient par l'intermédiaire de champs de force, mais je découvre maintenant que c'est le cas de toutes les forces. L'unification des forces devient encore plus évidente. J'entreprends d'écrire trois nouvelles pages sur l'énergie cinétique, les champs de force et la « dynamique des champs », dans le cadre de la nouvelle mécanique ondulatoire. L'omniprésence des champs de force me conduit à faire toute une série de découvertes en cascade, comme on le verra ci-dessous.
  • Juin 2005 - Comme je l'affirme depuis 2002, la gravité est effectivement causée par le fait que des ondes sphériques ne peuvent pas exercer une pression de radiation aussi intense que des ondes planes. Je découvre que cela provient du fait que deux trains d'ondes sphériques produisent un champ de force « biconvexe » ellipsoïde , alors que des ondes sphériques qui interfèrent avec des ondes planes produisent un champ « plano-convexe » hyperboloïde dont le volume est plus grand. Puisque ce champ est amplifié par les ondes de l'éther, sa force est donc aussi plus grande. Or il se forme un champ biconvexe sur l'axe entre deux corps, alors qu'on a plutôt un champ plano-convexe au-delà de chacun d'eux. Il y a trois champs au total sur cet axe. Alors la composante de forces tend à pousser ces deux corps l'un vers l'autre, d'où la gravité. 
  • Juin 2005 - À cause de la loi de l'action et de la réaction, qui peut maintenant être justifiée par un champ de force agissant dans les deux sens, il devient clair en particulier que toute énergie est d'abord et avant tout de l'énergie cinétique, qu'elle a une masse, qu'elle peut passer d'un corps à un autre en transitant par le champ de force, mais qu'elle peut tout aussi bien demeurer captive de ce champ indéfiniment. Je maintiens que la matière est faite uniquement d'électrons, mais je dois préciser maintenant que plus de 99% de la masse d'un proton ou d'un neutron provient des champs gluoniques. Ces champs de force résultent de l'addition des ondes stationnaires des six électrons qui composent leurs trois quarks, à la suite de leur amplification par les ondes de l'éther. C'est donc l'énergie des électrons qui est amplifiée, et l'ensemble demeure fondamentalement un groupement d'électrons. 
  • Juin 2005 - J'avais déjà signalé en 2002 que l'ancienne formule newtonienne  :  E = m v 2 / 2  ne tient pas compte de l'augmentation de masse, et qu'il faut également introduire la notion « d'énergie de freinage ». Je découvre maintenant que la division par deux demeure valide à la condition de considérer que le référentiel du champ de force (ou du centre d'inertie commun) soit présumé au repos dans l'éther. Dans ce cas, le champ de force distribue effectivement son énergie en deux parts égales. Il détermine un référentiel privilégié qui permet de contourner la Relativité. À la condition de définir ce référentiel et de tenir compte aussi de l'augmentation de masse, toutes les lois de Newton peuvent être récupérées. Puisque tous connaissent et utilisent ces lois, et malgré le fait qu'il faudra les reformuler, cela simplifiera considérablement les choses.

  • Juin 2005 - Je dois rectifier comment les causes et les effets s'enchaînent en corrigeant de nouveau le principe de Causalité. Puisque le champ de force est considéré au repos et qu'il exerce deux actions en sens opposé dont la force égale, il convient de renommer le Principe de l'action et de la réaction, qui devient le « Principe de double action ». Puisqu'on a : E = g m v 2 / 2 de chaque côté, on a plutôt : E = g m v 2  pour le total. C'est ainsi que l'énergie totale d'un corps vaut :  E = g m c 2 selon Henri Poincaré si sa vitesse frôle celle de la lumière. En effet, c'est plutôt le corps qu'il accélérera lors d'un choc élastique qui doit être considéré au repos selon l'ancien Principe de l'action et de la réaction que respectait Poincaré. 

  • Juin 2005 - J'entreprends de faire l'inventaire et la description de tous les champs de force, ce qui me conduit à découvrir qu'un champ magnétique ordinaire n'est pas un champ de force. Selon qu'on lui ajoute un deuxième champ magnétique ou une particule chargée qui se déplace, on obtient respectivement un champ magnétique polaire, responsable des effets bien connus d'attraction ou de répulsion, ou un champ magnétique de Laplace, responsable de la force de Laplace (de Lorentz).

  • Juin 2005 - Lors de l'émission d'une onde radio par une antenne, on est en présence d'électrons qui se déplacent dans un fil. Il se produit alors un champ électrique suivi d'un champ magnétique, et ce dernier produit un champ de Laplace à cause des électrons mobiles. On pourrait parler d'un champ « électromagnétique » car non seulement il est fait de nombreux champs de Laplace disposés le long du fil, mais il en comporte un nombre incalculable disposés autour de ce fil sur 360°, autant en fait qu'il y a d'électrons. C'est l'ensemble de ces champs qui émet finalement l'onde radio et qui provoque simultanément de la self induction dans le fil selon le principe de double action. Le processus est inversé lors de la réception d'une onde par une antenne filaire identique. Ce sont alors les ondes émises par tous les électrons du fil qui provoquent la formation d'un champ de force en allant à la rencontre des ondes provenant de l'antenne d'émission. Le champ se situe dans un espace considérable. C'est ce qui explique qu'un fil dont la section est inférieure à un millimètre puisse quand même réagir efficacement. Ces effets sont parfaitement symétriques, et il faut donc présumer qu'il existe un champ « électromagnétique » identique mais dont l'intensité n'est pas la même à proximité de chacune des antennes. Je ne me gênais pas pour affirmer que les équations de Maxwell constituaient une vaste supercherie, mais je suis maintenant en mesure d'en faire la preuve. Il n'existe pas « d'ondes électromagnétiques ». Il n'existe dans l'espace vide que des ondes progressives composites, qui se propagent dans l'éther à la vitesse de la lumière.

  • Juin 2005 - Les électrons qui produisent et qui captent la lumière le font de la même manière qu'on l'a vu ci-dessus, c'est à dire par l'entremise d'un « champ de force électromagnétique ». Puisqu'il y a self induction, on comprend mieux que leurs mouvements circulaires (lumière normale) ou de va-et-vient (lumière polarisée) s'estompent progressivement jusqu'à immobilisation complète, leur énergie cinétique initiale déterminée par la force constante (d'où la constante de Planck) qui les rattache à leur atome correspondant à un « photon » d'énergie. À mon grand regret, car cela va me compliquer la tâche, je constate que le processus qui conduit à l'émission de la lumière et des ondes radio est certainement le plus complexe de toute la mécanique ondulatoire.

  • Juin 2005 - M. Philippe Delmotte invente un algorithme à propos d'un médium virtuel informatique capable de produire des ondes, qui se propagent d'elles-mêmes sans la moindre intervention. Il existe toutefois depuis dix ans d'autres algorithmes similaires qui font de même, mais avec plus ou moins de bonheur. Puisque Philippe parle de l'éther, je le nomme « l'Éther Virtuel ». On peut considérer qu'il s'agit d'un véritable laboratoire pour l'étude des ondes, que ce soit celles de la matière, de la lumière, des sons et même celles qui se propagent électroniquement. Désormais, nous serons en mesure d'effectuer toutes sortes d'expériences qui démontreront que ma théorie des ondes est fondée sur des hypothèses valides. 

  • Juillet 2005 - Je dois refaire en entier la page sur la gravité. Elle comporte de nombreuses innovations dont il serait peu utile de faire la liste ici. Par contre, dans son ensemble, je prétend qu'elle constitue une étape majeure comparable à celle que Newton a franchie en présentant sa célèbre formule.

  • 19 Juillet 2005 - Découverte d'une force nucléaire relativement faible qui justifie l'effet d'attraction d'un cône d'ombre par des champs de force semblables à ceux qui justifient la gravité. J'avais déjà identifié cette force en août 2004, mais sans y voir une nouvelle force tout à fait inconnue. C'est cette force qui justifie le fait que les métaux et les métalloïdes présentent une charge résiduelle opposée positive ou négative, ce qui conduit à la « règle de l'octet ». C'est cette même force qui est responsable des forces de Van der Waals.

  • 7 août 2005. La longueur d'onde de l'électron serait de 10 -16 m environ. Si mon modèle de proton est correct, la longueur de ses quarks ferait difficilement plus de 10 longueurs d'ondes car au-delà, les cônes d'ombres qui justifient les huit électrons périphériques des atomes seraient beaucoup moins efficaces. Cette évaluation est provisoire, car il me faudra mettre au point le programme qui le confirmera. J'avais dans l'idée que cette longueur d'onde était beaucoup plus courte.

  • 7 août 2005. La longueur d'onde des rayons gamma ne peut pas être inférieure à 10 -15 m environ. J'avais déjà affirmé qu'elle avait une limite dans l'infiniment petit, mais je puis maintenant en donner la valeur à cause de celle de l'électron. Puisque la lumière est une modulation de la fréquence de l'électron sur une fréquence secondaire, cette longueur d'onde ne peut guère être inférieure à dix fois environ celle de l'électron, ce qui correspond environ au diamètre d'ailleurs peu défini du proton. La limite réelle pourrait être encore plus grande, car les rayons gamma sont sans doute émis par les champs gluoniques, qui maintiennent les quarks ensemble.

  • 16 août 2005. Je découvre un deuxième effet de lentille qui ne s'applique qu'au noyau central de l'électron et à sa première onde. L'électron est donc amplifié de deux manières. Ce phénomène permettra aussi d'expliquer pourquoi sa fréquence est constante.

  • 30 septembre 2005. Je découvre la configuration des ondes stationnaires circulaires grâce au principe de Huygens, à voir à la page sur les ondes stationnaires sphériques. Grâce à nos nouveaux programmes sur l'éther virtuel (C.F. M. Delmotte ci-dessus), j'ai même déjà réussi à confirmer que cette configuration se vérifiait. Si vous avez des raisons de penser que cette étude avait déjà été faite, vous devriez m'en aviser.

  • Décembre 2005. La preuve est faite que l'Onde de LaFrenière (qui représente l'électron) peut vraiment exister. Si vous ne me croyez pas, vous pouvez télécharger le programme Ether18 et son code source, qui font partie d'une série sur l'éther virtuel.  Ce programme montre clairement à l'aide d'un médium virtuel, qui est un véritable laboratoire, que des ondes circulaires convergentes qui subissent l'effet Doppler produisent en leur centre de courbure des ondes circulaires divergentes dont la superposition est très particulière. Comme je l'avais indiqué, la structure de ce système est assujettie aux transformations de Lorentz : elle se contracte et elle présente la fameuse onde de phase prédite par Louis de Broglie. Cette onde de phase dont la vitesse est supérieure à c est en réalité une manifestation du « temps local » découvert par Henri Poincaré.

Le programme Ether09 est la preuve incontestable que je propose des hypothèses raisonnables. Désormais, la communauté scientifique ne peut plus feindre l'ignorance, car ce site est très visité. Pourtant, aucun physicien n'a encore osé admettre que cette onde devrait être étudiée avec la plus grande attention. Après tout, il pourrait bien s'agir de l'électron, et cet électron permettrait à lui seul d'expliquer tout l'univers.

Je me permets de citer une deuxième fois le texte de Louis de Broglie :

"Tout se passe comme s'il y avait superposition d'une onde convergente et d'une onde divergente se propageant avec la vitesse c. Ce résultat ...permettra peut-être de définir plus exactement la grandeur périodique qui paraît intimement liée à l'existence même de la matière. En tout cas, il paraît certain que l'existence d'une vitesse de phase supérieure à c n'est pas incompatible avec l'équation électromagnétique de propagation des ondes." (C.R. Acad. des Sciences Paris, Séance du 16 février 1925).

 

Mises à jour en 2006 :

  • Janvier 2006. Pour ceux qui auront pris la peine d'examiner le programme Ether09 indiqué ci-dessus, j'ai écrit le programme Ether10 qui montre encore une fois cette Onde de LaFrenière sous toutes ses coutures. Il a ceci de particulier qu'il ne fait qu'appliquer les transformations de Lorentz à des ondes stationnaires sphériques et concentriques. Or le résultat est le même. Ces deux programmes font ainsi la preuve que si la matière est bel et bien faite d'ondes comme je l'affirme, la Relativité de Lorentz peut non seulement s'expliquer, mais aussi se démontrer. Vous pouvez les télécharger parmi toute la série des programmes sur l'éther virtuel :

http://www.glafreniere.com/programmes

  • 25 janvier 2006. Un Québécois, M. Jocelyn Marcotte, découvre la version « parfaite » de l'algorithme sur l'éther (voir Ether04_Marcotte). Effectivement, je doute qu'on puisse jamais faire mieux, du moins en une seule dimension. M. Marcotte accepte que je mentionne son nom dans ces pages. Avec MM. Delmotte et Dewavrin, il rejoint donc les rangs des braves. Mes autres collaborateurs dont je tais le nom ne sont pas des lâches pour autant, car s'ils mettaient leur emploi en danger ou échouaient leurs études à cause de leurs idées « répréhensibles », ils n'auraient plus aucune chance de faire avancer la vérité.

  • Le 11 mars 2006. Découverte des champs hyperboliques, qui sont capables de focaliser les ondes planes de l'éther comme le ferait une véritable lentille. Ces champs justifient la pression de radiation et ils participent à l'amplification de l'électron en lui fournissant des ondes convergentes. Ils expliquent aussi le fait que tous les électrons se synchronisent mutuellement. On sait que deux émetteurs synchronisés rayonnent sur leur axe des ondes qui se renforcent sur des hyperboles. Ces hyperboles occupent une position fixe. Mais d'un autre côté, on obtient aussi des ellipses entre eux, et ces ellipses se déplacent du centre vers l'extérieur. Or la structure des ellipses et des hyperboles vues en coupe est très semblable à celle de la lentille diffractive, qui se comporte comme une véritable lentille en ne laissant passer que les ondes en phase. Grâce au programme Ether12 (voir ci-dessus), j'arrivais déjà à démontrer que le champ de force pouvait rayonner des ondes convergentes s'il était stationnaire. Or en observant les hyperboles que montre le programme Ether11, j'ai réalisé que ces ellipses devaient elles aussi en être immobilisées en se composant avec les hyperboles, qui sont fixes. Pour que cette condition se réalise, il faut que des ondes planes ou presque se composent avec les ondes hyperboliques émises par deux électrons voisins. Il faut donc trois trains d'ondes au total, et alors les ondes partiellement stationnaires des ellipses en deviennent totalement stationnaires. Elles se comportent donc comme une lentille diffractive. Étonnamment, ce système possède deux foyers au lieu d'un seul, qui se situent à l'emplacement des deux électrons ! Il est donc possible de construire sur ce modèle une lentille diffractive qui possède deux foyers successifs, ce qui pourrait constituer une autre de mes nombreuses inventions en optique.

  • Le 24 mars 2006. D'autres personnes arrivent maintenant à démontrer la pertinence de mes hypothèses. C'est le cas en particulier de M. Jocelyn Marcotte, qui utilise sa propre variante de l'algorithme sur l'éther virtuel inventé par M. Philippe Delmotte. Il travaille assidûment sur l'électron dans un éther en trois dimensions et ses conclusions rejoignent les miennes. Il faut bien remarquer qu'il s'agit d'expériences cruciales, puisque l'éther virtuel est un véritable laboratoire.

  • Fin avril 2006. J'ai inventé un nouvel algorithme pour ordinateur capable de calculer le disque d'Airy à grande vitesse. Le calcul se résume à faire la sommation d'une centaine d'arcs de cercles tracés sur une source sphérique, et dont tous les points sont équidistants d'un point quelconque à proximité du plan focal. Le programme se nomme Ether16 et il figure dans ma suite sur l'éther citée plus haut. Il montre en particulier que ce qu'on appelle la « tache d'Airy » est en réalité un phénomène ondulatoire en trois dimensions bien plus complexe que le fameux disque entouré d'anneaux. J'avais déjà montré vers 2004 dans ma page sur la tache d'Airy que l'essentiel de l'énergie était concentré à l'intérieur d'un ellipsoïde de révolution allongé. Je l'ai nommé « l'ellipsoïde d'Airy ». Les opticiens me diront peut-être qu'ils savaient ça depuis longtemps, mais comment expliqueront-ils leur silence ? Ce phénomène n'est jamais montré nulle part : partout, on ne parle que de la tache d'Airy...

  • Mai 2006. M. Jocelyn Marcotte a réussi à démontrer qu'une impulsion gaussienne sphérique dans un éther en trois dimensions produit une sinusoïde parfaite, mais une seule, avec deux résidus de la distribution normale à l'avant et à l'arrière (voir la page sur l'électron). Contrairement à ce que je supposais, il ne se produit pas plusieurs rebonds. Étant donné que le fonctionnement de l'électron est fondamental, cette découverte est importante et mérite donc d'être mentionnée ici. Je tiens à souligner que c'est la première fois que quelqu'un d'autre que moi découvre un fait nouveau significatif sur la présente théorie. M. Marcotte m'a aussi fait remarquer que l'équation qui permet de tracer la courbe d'amplitude de l'électron est : y = sin(x) / x. Cette équation est bien connue, mais il était plus que temps que quelqu'un la rapproche de l'électron. Vous en trouverez une application dans le programme Ether07 qui figure dans ma suite sur l'éther citée plus haut.

  • Mai 2006. Grâce au programme Ether17, j'ai réussi à démontrer que Lorentz aurait pu écrire ses transformations de manière à mieux respecter sa pensée. Selon Lorentz, la matière doit se contracter si elle se déplace à grande vitesse. Or quand vient le temps de montrer la valeur de la contraction sur l'écran d'un ordinateur, les formules de Lorentz ne livrent pas les résultats attendus. Pour arriver à la valeur correcte de la contraction, et cela est d'ailleurs aussi vrai dans le cadre de la Relativité d'Albert Einstein, il faut permuter les variables x et x'. Cela produit les équations très simples suivantes, l'angle thêta valant : arc sin (v / c) :

    x ' =  x  cos q  +  t  sin q

    t '  =  t  cos q    x  sin q

    Les transformations de Lorentz revisitées.

    Je suis formel : peu importe que vous soyez partisan de la Relativité d'Einstein ou de celle de Lorentz, vous devez vous référer à ces formules pour évaluer non seulement la contraction que subira une horloge qui se déplace comparativement à vous, mais aussi la position qu'elle occupera selon vos mesures après un temps t donné, et même l'heure t' qu'elle indiquera à ce moment. Vous n'avez donc pas d'autre choix que de retranscrire ces formules dans vos notes personnelles. Je vais être plus clair :  elles sont obligatoires.

  •  14 juin 2006. M. Jocelyn Marcotte me transmet quelques observations sur les quarks et mentionne qu'ils ne peuvent être faits d'un couple électron-positron à cause de l'absence d'un champ gluonique. Leurs ondes stationnaires à la quadrature ne peuvent s'additionner. Je me rends compte alors qu'il faut nécessairement deux couples électron-positron pour former le quark et l'anti-quark dont on parle dans les compte-rendus. Dans un premier temps, un électron et un positron s'attirent et forment du « positronium » instable mais électriquement neutre. Éventuellement, le couple peut donc venir en contact avec un autre couple semblable. C'est seulement à ce moment que les deux électrons peuvent former un champ gluonique entre eux et s'unir en un quark. De leur côté, les deux positrons forment un anti-quark.

  • 10 juillet 2006. M. Jocelyn Marcotte a réussi à mettre en place mon électron mobile en trois dimensions dans sa propre version de l'Éther Virtuel. Mieux encore, il a utilisé les transformations de Lorentz pour créer l'effet Doppler, ce qui montre que ces transformations n'ont pas la vertu de transformer l'espace et le temps comme on le prétend actuellement. Ce sont plutôt la longueur d'onde et la période qui en sont affectées. Son programme Ether09_3D montre distinctement l'électron qui se déplace tel que prévu, mais hélas dans un espace limité. On pourra bientôt augmenter les dimensions du « cube » d'éther virtuel selon la mémoire vive et la vitesse des futurs ordinateurs, ce qui produira des images de plus en plus spectaculaires. 

  • 27 juillet 2006. M. Jocelyn Marcotte a réussi à établir les formules complètes qui permettent de reproduire les ondes stationnaires sphériques, et donc l'électron. Jusqu'à maintenant, je devais recourir au principe de Huygens, ce qui requiert des calculs longs et complexes. En particulier, la mise en place d'un électron dans un médium informatique à trois dimensions sera beaucoup plus simple et rapide. Il s'agit d'une découverte de la plus haute importance. Ci-dessous, la distance x doit être exprimée en radians selon  x = 2 * pi * distance / lambda :

y = sin(x) / x  (phase)

y = (1 cos(x) ) / x  (quadrature)

y = [ Cos(t) * Sin(x)    Sin(t) * (1 Cos(x) ) ] / x  (rotation)

  • 25 septembre 2006. M. Philippe Delmotte a réussi à simplifier la formule de rotation montrée ci-dessus de la manière suivante :

y = [sin(t + x) sin(t)] / x

Vous pouvez le vérifier grâce au programme Ether06_Marcotte_Delmotte.exe (code source : Ether06_Marcotte_Delmotte.bas). Cette formule devient incontournable car elle permet de montrer l'évolution de l'électron dans toutes ses parties, et pas seulement sur l'axe. C'est en quelque sorte un condensé des formules de M. Jocelyn Marcotte. Il suffit d'inverser le temps t pour faire évoluer les ondes dans l'autre sens. Et enfin, il faut tenir compte de la contraction x' (composante en abscisses seulement) et du temps t' des transformations de Lorentz (voir un peu plus haut) s'il faut ajouter l'effet Doppler. Cela produit mon électron mobile :

x' = x cos q + t sin q        t' = t cos q x sin q        avec : q = arc sin (v / c)

  • 12 octobre 2006. Je réalise que l'algorithme que j'ai créé le 23 novembre 2005 pour montrer le fonctionnement d'un pendule permet aussi de produire une courbe sinusoïdale. Il s'agit de traiter répétitivement les variables suivantes dans une boucle :

    inertie = inertie énergie

    énergie = énergie + inertie / pas

    Le pas dépend de la longueur d'onde (en nombre de passages dans la boucle, donc généralement en pixels dans un programme), et du chiffre pi :

    pas = (lambda / (2 * pi)) ^ 2

    La sinusoïde se précise selon la valeur du pas. Pour que le calcul soit précis, la longueur d'onde donc être la plus élevée possible. Si le pas est absent, on obtient des ondes trapézoïdales. Vous pouvez le vérifier grâce au programme Ether01_sinusoide.exe (code source : Ether01_sinusoide.bas). Cet algorithme s'inspire de celui qui a été inventé par M. Delmotte. Puisque tout n'est qu'ondes, son importance apparaît subitement capitale. 

  • 19 octobre 2006. M. Anselme Dewavrin me signale qu'il existe un équivalent de l'algorithme montré ci-dessus dans la littérature mathématique : la  « méthode d'Euler ». Les équations d'Euler étant plus complexes, il a réussi à les simplifier de manière à produire un algorithme similaire au mien :

    sinus = sinus + cosinus / pas

    cosinus = cosinus sinus / pas

    Le signe et la position sont interchangeables. On remarque que le pas intervient sur les deux équations de l'algorithme de M. Dewavrin : il est donc différent, mais plus simple à évaluer car il correspond à la racine carrée du pas indiqué plus haut :

    pas = lambda / (2 * pi)

    L'énergie et l'inertie sont remplacées par le sinus et le cosinus. Si le cosinus est initialisé à 1, on obtient effectivement toute la gamme des sinus et cosinus. La précision est proportionnelle à la longueur d'onde. Il est donc clair que l'algorithme de M. Dewavrin permet de calculer les fonctions sinusoïdales, tout comme la méthode d'Euler d'ailleurs. C'est d'ailleurs ce que montre le programme  oscillations_Delmotte_Dewavrin.exe (code source FreeBASIC : oscillations_Delmotte_Dewavrin.bas).

    La similitude entre ces deux algorithmes est évidente. Le mien est basé sur les lois de Newton (il s'inspire du calcul élaboré par Philippe Delmotte) et celui de M. Dewavrin, sur la trigonométrie pure. Cela suggère fortement que les lois de Newton ont un lien avec le comportement des ondes. Voilà une preuve de plus que la mécanique de la matière correspond à la mécanique des ondes.

  • Le 25 octobre 2006. Après avoir longuement étudié le programme  Ether01_Dewavrin.exe (code source : Ether01_Dewavrin.bas), je réalise finalement que toutes les ondes véritables qui font intervenir un médium discontinu ont une nature quantique. On sait qu'en mathématiques, le terme « discret » indique qu'on a affaire à des grandeurs qui évoluent par paliers successifs. Cela les oppose aux grandeurs continues, par exemple les mesures de distance.

    Si donc nous présumons que l'éther est fait de granules, il est évident que la longueur d'onde de l'électron (mesurée en termes d'espace moyen entre eux) se heurte à un plancher infranchissable. De plus, le transfert présumé de l'énergie d'un granule à l'autre se fait forcément par « pas » successifs, comme le montre l'algorithme de M. Delmotte.

    Or ces pas correspondent à une constante qui rappelle la constante de Planck : la quantité d'énergie transmise correspond infailliblement à lambda / (2 * pi) ou à son carré, selon le mécanisme. Mais ce qu'il faut retenir par dessus tout, c'est que la longueur d'onde réelle qui en résultera sera toujours légèrement différente du lambda théorique, surtout si elle est faible comparativement à l'espace moyen entre granules. C'est ce que montre le programme cité ci-dessus. La valeur de l'anomalie correspond à la marge d'erreur de la méthode d'Euler.

    D'un point de vue pratique, je serai désormais en mesure d'expliquer pourquoi la fréquence de l'électron tend à augmenter pour se stabiliser finalement à la limite de ce que les granules sont capables de transmettre, en fonction de cette constante. Je pourrai surtout démontrer que les ondes qui circulent en permanence dans l'éther permettent d'amplifier l'électron par effet de lentille. C'est qu'elles doivent traverser les ventres de ses ondes stationnaires, ces zones où les granules d'éther sont alternativement concentrés puis une raréfiés ; alors leur vitesse ou leur longueur d'onde doit varier localement pour respecter les formules d'Euler. En plus clair, les ondes stationnaires affectent forcément les ondes progressives, mais à la condition que leur médium soit discontinu.

    Ma théorie des ondes est complète.

    Cette journée du 25 octobre 2006 marque une étape décisive : désormais, ma théorie des ondes est complète en ce qui concerne ses principes fondamentaux. Il ne restait à expliquer clairement que l'effet de lentille. Désormais, je suis en mesure de répondre sans hésitation à toutes les questions que voudront bien me soumettre les physiciens. J'ajouterai que je serai toujours en mesure de le faire en n'invoquant que les principes élémentaires qu'ils connaissent bien, en respectant la géométrie d'Euclide et le système de Descartes.

    Cette théorie est belle parce qu'elle est simple.

    Imaginez : on peut expliquer l'Univers uniquement par des granules qui vibrent !

     

  • Le 14 décembre 2006. Comme il l'avait fait le 19 octobre dernier dans le cas de M. Delmotte, M. Anselme Dewavrin a trouvé l'algorithme correspondant à la méthode de M. Jocelyn Marcotte (voir au 25 janvier dernier). Il s'agissait de produire une sinusoïde. Cette fois-ci, il s'est inspiré d'un filtre numérique de type « IIR ». Je l'ai moi-même simplifié pour qu'il ressemble le plus possible à celui de M. Marcotte. Vous pouvez en juger en téléchargeant le programme  oscillations_Marcotte_Dewavrin.exe (code source FreeBASIC: oscillations_Marcotte_Dewavrin.bas).

  • Le 14 décembre 2006. J'ai réussi à écrire un programme qui montre le Scanner du Temps à l'œuvre dans un environnement d'ondes ou de systèmes ondulatoires basé sur les transformations de Lorentz. Il ne s'agit pas d'une découverte en soi, mais il s'agit d'une preuve de plus que Lorentz disait vrai et que la Relativité de Lorentz tient bien la route. Les résultats que livre ce véritable laboratoire qu'est l'Éther Virtuel peuvent difficilement être contestés : or cette expérience est à certains égards plus importante encore que ne le fut celle de Michelson. Il en ressort qu'on a affaire à une contraction de la longueur des ondes de la matière sur l'axe du déplacement et d'un ralentissement de leur fréquence. Il ne s'agit absolument pas d'une « transformation de l'espace-temps ». Vous pouvez le vérifier vous-même grâce au programme Ether18.exe (code source FreeBASIC : Ether18.bas). Le 27 décembre 2006, grâce au programme Ether19, je réussis également à montrer que l'angle de la lame séparatrice de l'interféromètre de Michelson doit varier selon la vitesse d'entraînement pour que le faisceau lumineux soit constamment réfléchi selon un angle de 90°. Pour que ce soit possible, il faut que l'interféromètre se contracte comme l'affirmait Lorentz. Voici les résultats, qui sont tout aussi incontestables :

Ces deux systèmes se déplacent vers la droite à la moitié de la vitesse de la lumière.

À gauche, l'interféromètre et sa lame sont contractés ; le faisceau est réfléchi correctement.

À droite, le faisceau n'est pas réfléchi à 90° bien que l'angle de la lame soit maintenu à 45°.

 

  • Le 1er janvier 2007. Cette page étant devenue très longue, j'en ai créé une nouvelle qui se présente sous la forme d'un blog (web log, c'est à dire une chronique de l'Internet). Vous êtes donc invités à parcourir cette nouvelle page, à laquelle j'ai donné un nom vraiment original :

    LE BLOG

 

 

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Gabriel LaFrenière,

Bois-des-Filion en Québec.

Sur l'Internet depuis septembre 2002.

Dernière mise à jour le 7 septembre 2009.

Courrier électronique : veuillez consulter cet avis.

La théorie de l'Absolu, © Luc Lafrenière, mai 2000.

La matière est faite d'ondes, © Gabriel Lafrenière, juin 2002.