LES CHAMPS DE FORCE

Ce diagramme représente une boule de billard qui en heurte une autre.

Remarquer la présence d'un champ de force situé entre les deux boules, au plus fort du choc.

Dans le cas présent, la force et donc l'énergie s'expliquent par la présence de champs électrostatiques.

Les champs de force permettent d'unifier toutes les forces de la nature.

Ce sont des ondes stationnaires qui expliquent toutes les forces, et non des « particules messagères de force ».

Il s'agit d'une découverte majeure, car ces champs expliquent à la fois la structure de la matière et sa mécanique.

 

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La matière reçoit et émet des ondes en permanence. Puisque ces ondes circulent souvent en sens opposé, il en résulte des ondes totalement ou partiellement stationnaires, dont la structure est généralement ellipsoïde et hyperboloïde.

Ces ondes stationnaires sont des champs de force.

Un exemple : le champ électrostatique.

L'exemple le plus simple et le plus évident d'un champ de force est le champ électrostatique, qui est responsable de la force de Coulomb. Lorsque deux électrons ou positrons sont en présence, ils rayonnent l'un vers l'autre des ondes sphériques. On montre ci-dessous que, lorsqu'elles circulent pratiquement en sens contraire, ces ondes forment des ondes stationnaires, surtout sur l'axe qui unit les deux particules.

Je tiens à remercier ici M. Philippe Delmotte, l'inventeur génial de l'Éther Virtuel, qui m'a permis d'améliorer nettement la qualité de mes animations depuis janvier 2004. Plus récemment, il m'a fait constater que si les diagrammes montraient les ondes en couleurs et pas seulement en échelle de gris, leur interprétation devenait beaucoup plus facile.

C'est ainsi que ci-dessous, les couleurs rouge et vert permettent de montrer les endroits où la période est en phase ou en opposition de phase. Simultanément, les teintes sombres ou claires indiquent les endroits où l'amplitude est très faible ou très intense. On obtient de cette manière un diagramme « composite » extrêmement révélateur :

 

Les ondes rayonnées par deux électrons ou positrons se composent sur des ellipses et des hyperboles.

Elles forment des ondes partiellement stationnaires, surtout sur l'axe qui joint les deux particules.

Il s'agit d'un champ de force « biconvexe ».

 

Voici le champ électrostatique, qui représente uniquement la partie stationnaire des ondes en présence.

Ce champ est amplifié par les ondes de l'éther, et il rayonne donc de l'énergie nouvelle vers les deux particules.

Ce sont surtout les ondes stationnaires planes ou presque, sur l'axe, qui agissent sur eux par leur rayonnement.

Mesurée en longueurs d'ondes, la longueur de l'ellipsoïde central vaut le carré de son diamètre maximum :

L = D 2

 

L'image montrée ci-dessus a été obtenue à l'aide d'un calcul qui tient compte de deux facteurs.

D'une part, la partie stationnaire n'est jamais plus puissante que la plus faible des deux ondes qui en sont responsables. C'est ce qui explique que c'est la partie du champ située à mi-chemin qui est la plus puissante.

D'autre part, sauf en ce qui concerne l'axe central, ces ondes ne sont que partiellement stationnaires. Chaque front d'onde croise l'autre suivant un certain angle, ce qui produit un effet de ciseau bien connu. C'est pourquoi la période évolue de l'axe vers l'extérieur, ce qui détermine une onde de phase dont la vitesse est toujours supérieure à celle de la lumière. Sachant que cette vitesse de phase correspond à 1 / bêta selon Lorentz, Poincaré et de Broglie (la vitesse « relativiste » serait plutôt de g / bêta), on peut en déduire une vitesse bêta purement fictive dont les variations correspondent à la puissance effective des ondes stationnaires.

Ainsi, la puissance de la partie stationnaire est proportionnelle à l'angle que font les électrons ou les positrons qui la produisent. Elle atteint un maximum si les deux particules sont situées à l'opposé, mais elle faiblit jusqu'à devenir nulle si ces deux particules sont situées du même côté.

L'énergie provient des ondes de l'éther.

Les ondes individuelles émises par chaque électron sont très faibles toutes proportions gardées. Mais celles qui sont émises par les champs de force convergent vers les deux sources et sont très puissantes. Ce sont ces ondes qui expliquent qu'il se produit une pression de radiation.

À cause d'un phénomène d'amplification, tous les champs de force rayonnent de l'énergie vers les deux sources qui leur ont donné naissance. Si ce rayonnement parvient en opposition de phase, cette pression est inférieure à la normale. Dans ce cas, ce sont plutôt les champs de force situés du côté opposé qui exercent une pression supérieure, et il en résulte un effet d'attraction.

Cette amplification s'explique par un effet de lentille. L'énergie puisée à même celle des ondes qui circulent dans l'éther est sans cesse transférée dans les champs de force. Comme les électrons, les champs de force contiennent et rayonnent constamment de l'énergie, sous la forme de faisceaux d'ondes convergents suffisamment puissants pour agir sur la matière.

Les champs gluoniques.

Comme les électrons, les champs de forces contiennent donc de l'énergie, et c'est de la matière à toutes fins pratiques. C'est ainsi que les champs gluoniques, qui sont aussi des champs de force, sont au moins cent fois plus puissants que les électrons et positrons qui leur donnent naissance. Ces champs diffèrent des champs électrostatiques montrés plus haut parce qu'ils sont formés par les ondes stationnaires des électrons, et non par les ondes progressives que ceux-ci émettent. C'est pourquoi il y a toujours quatre trains d'onde d'impliqués, qui se composent intégralement partout autour d'eux.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, un neutron ne contient rien d'autre que six électrons et positrons groupés par paires, ce qui produit trois quarks et trois champs gluoniques primaires. L'ensemble provoque ensuite la formation de 12 autres champs gluoniques secondaires, pour un total de 15.

Ces champs gluoniques exercent un effet d'attraction transversalement, mais ils rayonnent de l'énergie en quantités colossales le long de leur axe. C'est pourquoi il existe précisément huit (8) axes privilégiés (correspondant aux huit sommets d'un cube) où le rayonnement est suffisamment faible pour que des électrons puissent s'y engouffrer et former un atome. Ces électrons y sont attirés car le proton contient un positron additionnel en son centre, comme ceci :

Le proton.

Il contient pas moins de 15 champs gluoniques extrêmement puissants.

Les pointillés indiquent la position des trois champs gluoniques primaires.

 

La diffraction de Fresnel.

On montre en optique que toute source non ponctuelle rayonne des ondes dans des directions privilégiées, à cause des interférence additives ou destructives. Une source équiphasée qui s'active sur une calotte sphérique produit un faisceau convergent dans un sens et un faisceau divergent dans l'autre. Mais si elle s'active sur un cercle plat et si elle est suffisamment cohérente, elle rayonne deux faisceaux d'ondes identiques sur un même axe, un de chaque côté. C'est la même chose si la source est faite de disques empilés le long d'un axe, ce qui est le cas du champ de force.

De plus, les deux faisceaux qui en résultent présentent systématiquement la célèbre « diffraction de Fresnel » :

 

 La diffraction de Fresnel.

Sur l'axe central, il y a alternance de « points noirs » et de « points blancs ».

Leur distance  L  est donnée par le nombre de Fresnel  :  L = R 2 / n * l

R  est le rayon de l'ouverture circulaire,  n  est un entier pair ou impair, et  l  est la longueur d'onde.

On peut les observer en projetant le faisceau d'un pointeur laser éloigné à travers un trou de 5 mm environ.

Attention ! Il vaut éviter de regarder directement la lumière d'un laser !

 

 Le champ électrostatique rayonne lui aussi un faisceau d'ondes semblable dans les deux sens, et ce faisceau présente donc lui aussi la diffraction de Fresnel :

 

 Le rayonnement du champ de force biconvexe, calculé selon le principe de Huygens.

Ici, le programme n'a calculé que le rayonnement du plan central, qui est semblable à celui du laser.

 

Les traits noirs mobiles et les deux cercles blancs indiquent la position des électrons. La partie de droite montre l'aspect qu'ont les ondes stationnaires centrales du champ de force. Les opticiens noteront qu'elles ressemblent en tous points à la lentille diffractive. Mais il y a une différence : la position des anneaux concentriques évolue du centre vers l'extérieur.

Le diagramme ci-dessus ne montre que le rayonnement de la lentille centrale, mais tout indique que le résultat sera le même en tenant compte de l'ensemble du champ de force. Comme c'est aussi le cas pour une lentille ou un télescope, qui produisent un disque d'Airy, ce rayonnement présente la diffraction de Fresnel typique, et donc les zones de rayonnement minimum et maximum le long de l'axe montrées ci-dessus.

Il faut savoir que le disque d'Airy présente sur l'axe, de part et d'autre du plan focal, une zone de rayonnement nul, et donc un point noir. Il n'a donc pas seulement un diamètre, donné par le chiffre d'Airy (1,22 lambda), mais aussi une longueur, qui vaut le carré de ce diamètre mesuré en longueurs d'onde. Ce n'est donc pas un disque, mais bien un ellipsoïde allongé. Si je prends la peine de le rappeler, c'est que le champ de force biconvexe présente aussi sur son axe un ellipsoïde allongé qui obéit aux mêmes proportions.

 

LE CHAMP DE FORCE BICONVEXE

Contrairement au champ plano-convexe, le champ de force biconvexe est parfaitement symétrique. Il est souvent créé par deux électrons ou positrons qui rayonnent des ondes l'un vers l'autre. C'est le cas par exemple du champ électrostatique, qui justifie la force de Coulomb.

Le terme biconvexe est bien connu en optique. Il fait allusion à la forme de certaines lentilles, dont la surface peut être convexe des deux côtés. Mais ici, il indique que les deux ondes qui forment les ondes stationnaires axiales du champ de force sont convexes. Dans le cas du champ plano-convexe, la moitié est composée d'ondes planes.

Le principe de double action.

On aura vu à la page sur les ondes stationnaires que dans un système qui se déplace, ces ondes subissent l'effet Doppler et continuent de présenter des ventres et des nœuds qui se déplacent avec le système. De plus, l'ensemble subit les transformations de Lorentz : il se contracte, il présente une onde de phase correspondant au temps local de Poincaré, et sa fréquence ralentit. Ces transformations font en sorte qu'il n'est jamais possible pour un observateur posté dans ce système de déterminer sa vitesse absolue, d'où la Relativité de Lorentz. Tout se passe comme s'il était toujours au repos.

On en conclut que s'il est présumé au repos absolu, ce que la Relativité de Lorentz permet, le champ de force biconvexe rayonne exactement la même quantité d'énergie de part et d'autre de l'axe central, ce qui justifie la loi de l'action et de la réaction. Il devient inutile de tenir compte de l'effet Doppler. On verra à la page suivante que ce champ de force permet de concilier la Relativité et les lois de Newton, car de son point de vue il agit toujours avec une force absolument identique dans les deux sens. Il n'est donc plus possible de distinguer l'action de la réaction.

À l'avenir, il faudra donc parler plutôt du principe de double action. Cela permet de réhabiliter la mécanique de Newton d'une manière spectaculaire, et donc de mettre à la poubelle toutes les énormités auxquelles la Relativité d'Einstein nous avait habitués...

Qu'on se le dise, la mécanique de Newton est là pour rester, et c'est tant mieux car elle est simple. Mais à cause des transformations de Lorentz, il faudra tenir compte désormais de l'augmentation de la masse de la matière selon sa vitesse mesurée comparativement au champ de force. C'est en effet cette augmentation de masse qui est responsable de son énergie cinétique, ce qui oblige à situer le champ de force au centre de gravité commun de deux objets en interaction. Il faut donc le situer plus près du corps le plus massif.

Aux yeux des physiciens, il apparaissait tout à fait normal qu'une action soit toujours accompagnée d'une réaction de force égale. C'est ce que leur avait appris Isaac Newton, et cela semblait les satisfaire. Pourtant, ils devraient systématiquement se demander pourquoi il en est ainsi. Il aurait fallu en déduire que c'était certainement parce que quelque chose situé entre les deux corps en interaction devait exercer une force d'attraction ou de répulsion égale dans les deux sens, un peu à la manière d'un ressort.

L'effet de lentille.

C'est à cause de l'effet de lentille que le champ de force peut rayonner de l'énergie. On sait que deux trains d'onde progressives peuvent s'interpénétrer sans se nuire. Mais il en va tout autrement lorsque des ondes progressives traversent les nœuds des ondes stationnaires. À cet endroit, le médium est alternativement comprimé puis dilaté. Parce que les ondes modifient leur vitesse selon la densité du médium, elles ne peuvent pas poursuivre leur route sans en être affectées.

Ce phénomène d'amplification peut être évalué en invoquant le principe de Huygens, mais selon certaines conditions. Il faut d'abord réaliser qu'à grande distance, si elles ne sont pas amplifiées, les ondes stationnaires du champ de force ne font que rayonner des ondes identiques à celles qui ont été émises par les électrons. On sait depuis longtemps que ces ondes progressives peuvent s'interpénétrer sans interférer, même si elles produisent provisoirement des ondes stationnaires.

Mais à cause du phénomène d'amplification, le champ de force rayonne de l'énergie additionnelle, et le principe de Huygens indique que son diagramme de rayonnement est nettement différent. Il faut en premier lieu considérer que ce rayonnement n'a lieu que dans la mesure où les ondes sont véritablement stationnaires. Mais surtout, les ondelettes de Huygens ne prennent naissance que deux fois par période, c'est à dire au moment où les ventres et les nœuds apparaissent. 

Ce phénomène pourra être vérifié en projetant des ultrasons à travers des ondes stationnaires provoquées dans l'air à l'aide de deux haut-parleurs dirigés l'un vers l'autre. On obtient des zones où l'air est alternativement comprimé puis dilaté. Ce dispositif reproduit ce qui se passe à l'intérieur du champ de force biconvexe. L'air étant un médium hautement compressible, il est clair que la vitesse des ondes ultrasoniques devra varier selon qu'il est comprimé ou dilaté. Alors les ultrasons subiront forcément une déviation puis une dispersion, d'où l'effet de lentille.

L'éther virtuel et les champs de force.

Vous trouverez à la page sur l'éther plus de renseignements sur ce médium virtuel informatique qui permettra éventuellement de mettre en scène et de démontrer ce phénomène d'amplification.

Nous travaillons sur des programmes qui donneront peu à peu des résultats probants. Certains seront basés sur le principe de Huygens, mais contrairement à ceux qui ont donné les diagrammes montrés plus haut, ils tiendront compte de la partie essentielle du champ de force, et non pas seulement de la « lentille » centrale.

C'est à partir de ces calculs que nous pourrons ensuite transposer ce système dans l'éther virtuel. Nul doute que ce dernier confirmera ce que prédit le principe de Huygens, et alors les deux résultats cumulés seront difficilement contestables. Et bien sûr ils pourront être contre-vérifiés dans l'air, un liquide ou un solide homogènes à l'aide d'ultrasons.

Vous pouvez observer les champs de force grâce au programme Ether11.

Si ce n'est déjà fait, vous pouvez télécharger ici ces programmes sur l'éther virtuel.

Le programme Ether11 vous permet d'observer les champs de force sous toutes leurs coutures, et c'est d'ailleurs à l'aide de ce programme que j'ai réalisé les animations montrées plus haut.

L'effet Doppler et l'Éther Virtuel de M. Philippe Delmotte.

Grâce à l'Éther Virtuel, dont il est l'inventeur, M. Delmotte est en mesure de montrer à quoi ressemblent les interférences entre les ondes émises par deux électrons qui se déplacent tous deux à travers l'éther.

L'image spectaculaire ci-dessous a été réalisée à l'aide d'un programme écrit par lui. Si la vitesse des électrons atteint la moitié de la vitesse de la lumière, le champ de force biconvexe est affecté d'un effet Doppler très particulier :

  

Le champ de force biconvexe à la vitesse : bêta = 0,5 c.

Les deux électrons se déplacent à la même vitesse vers la droite.

Ils continuent de réagir à ce champ de la même manière que s'ils étaient au repos.

La mécanique globale d'un amas de matière n'est donc pas affectée par sa vitesse.

On obtient le même diagramme en soumettant le champ de force normal aux transformations de Lorentz.

Noter en particulier que les ondes transversales demeurent inclinées selon l'angle thêta, ici : arc sin(bêta) = 30°.

 

LE CHAMP DE FORCE PLANO-CONVEXE

Les ondes rayonnées par les électrons et les champs de force rencontrent fatalement les ondes planes qui circulent dans l'éther, ce qui provoque la formation de millions de champs de forces dont la structure est très particulière. Ces champs jouent un rôle essentiel pour justifier la gravité et l'inertie. Mais il faut les invoquer tout particulièrement pour justifier tout effet d'attraction, qui est en réalité une pression de radiation exercée par ces champs plano-convexes en sens contraire.

Voici l'aspect du champ plano-convexe :

  

Le champ de force plano-convexe.

Si les ondes sont parfaitement planes, l'ellipsoïde central devient un paraboloïde.

Son angle d'ouverture atteint un maximum, d'où un maximum d'efficacité.

 

Le champ de force plano-convexe se forme à partir des ondes planes qui circulent en permanence dans l'éther d'une part, et des ondes émises par un électron d'autre part. Contrairement au champ biconvexe, il n'est donc pas symétrique, et il n'agit en pratique que sur l'électron qui lui a donné naissance. 

Les ondes planes provenant de l'infini ou presque, il est clair que ce champ est très étendu dans l'espace. Comparativement à des ondes sphériques de puissance égale, il rayonne donc plus d'énergie en direction de l'électron, du positron ou du champ de force qui lui donnent naissance.

À courte distance, son efficacité dépend uniquement de la puissance des ondes planes, celle des ondes provenant de l'électron étant bien plus grande. Mais il existe certainement une distance-seuil au-delà de laquelle l'énergie de ce champ dépend plutôt de l'électron et commence à décliner. Il faut aussi comprendre que pour des distances plus grandes, la position de l'électron aura changé entre l'aller et le retour ; alors la focalisation ne se fera plus avec autant de précision.

Le champ de force plano-convexe composite.

Il arrive fréquemment que le rayonnement de deux particules s'additionne le long de l'axe. C'est le cas par exemple entre un électron et un positron (et donc un proton), comme le montre le diagramme suivant :

  

Le rayonnement unidirectionnel (sur l'axe) d'un couple électron-positron.

Ce rayonnement composite forme lui aussi un champ de force plano-convexe.

 

Ce diagramme est bien connu des radio-électriciens. Deux antennes d'émission omnidirectionnelles alimentées à la quadrature produisent un tel diagramme pour un multiple donné de la longueur d'onde. Si l'espacement varie, le sens du rayonnement alterne à chaque demi-onde.

Il est clair que ce rayonnement provoquera la formation d'un champ plano-convexe plus complexe en se composant avec les ondes planes qui circulent dans l'éther.

Si donc un électron et un positron s'attirent, ce n'est pas seulement parce que la période des ondes rayonnées par le champ électrostatique vers ces deux particules est en opposition de phase. C'est aussi parce que ce champ composite exerce une pression de radiation en sens contraire. 

Les ondes convergentes de l'électron sont entretenues par les champs de force.

Tous les électrons et tous les positrons produisent autant de champs plano-convexe autour d'eux qu'il y a d'ondes planes qui les traversent. Il y en a donc des millions autour de chaque électron et positron. C'est ainsi qu'on peut expliquer la gravité. Mais surtout, il est évident que même si l'électron est amplifié par les ondes de l'éther, ce qui suffit en principe à assurer sa survie, il reçoit également des ondes convergentes de tous ces champs de force, sur 360°.

On pourrait objecter qu'une fois sur deux, ces ondes sont en opposition de phase avec son noyau central ; mais puisque l'électron subit alors un effet d'attraction, il ira se positionner là où ces ondes contribueront à entretenir ses ondes stationnaires.

J'ai toujours affirmé que l'électron n'avait pas besoin d'ondes sphériques convergentes pour subsister, puisqu'il est amplifié. Mais il est clair qu'il en reçoit de toutes façons et qu'il en fait bon usage. Nous avons en effet constaté qu'un médium compressible devrait permettre aux ondes de progresser plus lentement ou plus lentement à travers les ondes stationnaires, selon que la période coïncide ou non. Si elles ne sont pas en phase avec celles de l'électron, elles sont accélérées ou retardées jusqu'à ce qu'elles le deviennent, et leur période demeure inchangée si elles sont en phase. De cette manière, l'électron tire profit de toutes les ondes qui se dirigent vers lui. Ce phénomène s'ajoute à l'effet de lentille, qui fonctionne plutôt quand les ondes incidentes arrivent par le travers comparativement aux fronts d'onde de l'électron.

D'ailleurs, ces ondes convergentes expliquent admirablement pourquoi chaque électron se synchronise parfaitement avec tous les électrons présents dans le voisinage. Il profite du fait qu'il existe un champ électrostatique entre lui et tous les autres électrons. Même les positrons devraient donc se transformer progressivement en électrons, ce qui explique qu'il n'en existe pas à l'état libre. C'est tout simplement parce qu'ils doivent composer avec la fréquence des électrons voisins pour se positionner là où ils peuvent atteindre un point d'équilibre. L'atome est ainsi construit que tous les positrons stables sont réunis dans son noyau, et qu'ils y sont bien isolés dans un environnement à la quadrature attribuable aux quarks. Au contraire, les électrons sont tous dispersés loin du noyau et donc plus près les uns des autres. 

Lorsqu'il se déplace, l'électron subit les transformations de Lorentz et sa période d'onde ralentit. C'est pour cette raison qu'il décrira des cercles autour des lignes de force d'un champ magnétique au lieu d'être constamment attiré ou repoussé. Ce champ magnétique présente en effet une rotation de phase. En quelque sorte, il se transforme périodiquement en positron une fois sur deux, et il adopte donc successivement les quatre spins possibles. Le positron fera de même, mais à cause du quart de période de décalage de son spin, il continuera de réagir à l'inverse pendant un certain temps. Toutefois, s'il évolue dans un milieu rempli d'électrons, il aura tôt fait de se transformer lui-même en électron.

Les champs magnétiques.

Les noyaux des atomes étant faits à plus de 99% de champs gluoniques confinés autour des quarks qui composent les protons et les neutrons, ils rayonnent des ondes sphériques qui présentent la diffraction de Fresnel, et qui forment donc des champs de force secondaires plus complexes.

C'est le cas des champs magnétiques, qui présentent une rotation de phase très semblable à celle du courant électrique triphasé. On pourrait parler plutôt d'une rotation quadriphasée, que vous pouvez observer grâce au programme Ether08 en appuyant sur la touche « P ». Tout se passe ainsi parce que les électrons et les positrons qui composent la matière présentent chacun deux spins, et donc quatre phases relatives distinctes.

Puisque cette rotation de phase a été mise en œuvre dans l'éther virtuel, qui est un véritable laboratoire, elle est donc démontrée expérimentalement. Les ondes composites présentant une rotation de phase sont possibles : c'est incontestable.

L'éther virtuel permettra de montrer que le champ de force plano-convexe devrait lui aussi rayonner des ondes focalisées vers la particule qui lui a donné naissance. Mais pour obtenir un effet de lentille, il faudra analyser un espace en trois dimensions capable de contenir un électron dans son ensemble, qui comprend des millions de longueurs d'onde.

Un ordinateur normal y mettrait des mois et même des années. Il faudra donc éventuellement utiliser un super-ordinateur capable de paralléliser les calculs, c'est à dire de séparer l'espace en nombreux modules et de les traiter simultanément à l'aide d'autant de processeurs individuels. Mais il existe une alternative : on peut regrouper de nombreux ordinateurs personnels sur l'Internet et les mettre simultanément à contribution. Tout indique que cette procédure prendra de l'ampleur dans le futur.

Les ondes radio et les équations de Maxwell.

Qu'on se le dise, les équations de Maxwell représentent l'une des plus grandes méprises de toute l'histoire de la physique. Maxwell a prédit que les ondes radio devaient être de même nature que celles de la lumière. Il avait tout à fait raison là-dessus. Mais d'un autre côté il n'a jamais fait la preuve que ces ondes radio étaient vraiment faites de champs électromagnétiques qui se déplacent dans le vide. Il n'a fait que l'affirmer, et tous les scientifiques ont accepté cette explication sans sourciller, au mépris du doute le plus élémentaire.

En réalité, l'émetteur de votre poste de télévision régional n'émet à travers l'éther, par ses champs de force électromagnétiques, que des ondes progressives composites. Ces champs se forment à partir des ondes émises par tous les électrons de l'antenne, même ceux qui ne sont pas dans la couche de conduction, à cause du déplacement de ses électrons libres sous l'effet d'un courant électrique.

Si votre antenne de télévision peut capter le signal de l'émetteur, c'est d'abord parce que ses électrons émettent des ondes comme ils le font toujours. Ces ondes vont à la rencontre des ondes provenant de l'émetteur et elles produisent des ondes stationnaires. Cela forme à nouveau des champs de force électromagnétiques, dont les phases ondulent latéralement si la polarisation est horizontale. Ce sont finalement ces champs de force qui retournent un rayonnement très puissant sur les électrons de l'antenne ; et parce qu'il ondule latéralement, ce rayonnement a pour effet de les déplacer le long de la tige métallique qui fait office d'antenne.

En somme, ce qui se produit à la réception est le miroir fidèle de ce qui se passe lors de l'émission des ondes, mais en sens inverse. Si donc les équations de Maxwell fonctionnent, c'est parce que les champs électromagnétiques présents autour des antennes émettrices et réceptrices sont absolument identiques, compte tenu du délai et de l'affaiblissement. Pour cette raison, on peut tout aussi bien considérer que des champs électromagnétiques s'échappent de l'antenne d'émission, sont transmis à travers l'espace et parviennent à l'antenne de réception. C'est même ce que le sens commun nous suggère fortement.

Mais que ce soit bien clair, cela n'a jamais été démontré. La raison est simple : c'est qu'il faut absolument utiliser un dispositif matériel pour détecter la présence d'un champ électromagnétique. Le problème, c'est que c'est précisément ce dispositif matériel qui produit ce champ. Il est donc impossible de vérifier qu'un tel champ existe dans un grand espace vide libre de tout dispositif matériel...

Il existe au moins sept sortes de champs de force.

Cette page montrera éventuellement qu'on peut identifier au moins sept champs de force, qui se forment et qui agissent d'une manière différente :

1. - Le champ électrostatique, responsable de la force de Coulomb.

2. - Le champ gluonique, de masse importante, et qui est responsable des forces nucléaires.

3. - Le champ de gravité, les champs biconvexes étant plus faibles que les champs plano-convexes.

4. - Le champ électrique, l'équivalent du rayonnement synchrotron, qui agit sur les électrons fixes.

5. - Le champ électromagnétique, soit la superposition ondulante d'un champ électrique et magnétique.

6. - Le champ magnétique polaire, qui résulte du rayonnement axial unidirectionnel d'un couple proton-électron.

7. - Le champ magnétique de Laplace, qui se forme hors-axe à cause d'une rotation de phase.

 

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Gabriel LaFrenière,

Bois-des-Filion en Québec.

Sur l'Internet depuis septembre 2002.

Dernière mise à jour le 12 septembre 2009.

Courrier électronique : veuillez consulter cet avis.

La théorie de l'Absolu, © Luc Lafrenière, mai 2000.

La matière est faite d'ondes, © Gabriel Lafrenière, juin 2002.