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Avant 2007 : Les nouvelles découvertes

par Gabriel LaFrenière.  Courrier électronique : veuillez consulter cet avis.

           Page d'accueil :  La matière est faite d'ondes.

Un seul coup d'œil à ce diagramme devrait vous convaincre que tout n'est pas dit sur les couches atomiques et sur le fameux quantum de lumière proposé par Max Planck.

On sait que le "nombre de Fresnel" est lui aussi un entier et qu'il détermine la distance des zones alternativement claires et sombres au centre d'un faisceau lumineux.

En réalité, la fréquence et l'énergie de la lumière dépendent tout simplement de la position que les électrons occupent sur l'une ou l'autre des couches atomiques.

Planck avait proposé son quantum pour expliquer le rayonnement du "corps noir", dont la lumière vire au bleu mais s'arrête au violet s'il est chauffé.

Dans les faits, c'est parce que les vibrations plus fortes des molécules obligent les électrons à se situer plus souvent dans les zones du secteur bleu ou violet.

   

Le 31 décembre 2010.

N'allez pas croire que j'ai ralenti mes recherches. Si je n'ai pas donné de mes nouvelles dernièrement, c'est plutôt parce que je suis en train de faire des pas de géant.

D'une part, après QuickBasic et VisualBasic, et plus récemment FreeBasic, je me suis tourné résolument vers le langage de programmation C. À 68 ans! Non seulement j'obtiens déjà des graphiques magnifiques, mais le temps d'exécution aussi bien pour les calculs que pour les graphiques est grandement accéléré. Ce serait même beaucoup plus en ayant recours à la carte graphique. De plus, c'est le langage de prédilection des programmeurs, surtout ici en Amérique. 

D'autre part, je crois bien avoir réussi à identifier correctement la structure générale des particules et des atomes qui composent la matière, de sorte que les pages de ce site qui traitent de la chimie, de l'atome et de ses constituants devront être revues et corrigées.

La physique nucléaire actuelle est presque exclusivement centrée sur le fameux "modèle standard". Ce qui me choque, c'est que personne ne semble réaliser que beaucoup de mailles de ce modèle, dont certaines ont été tissées il y a plus d'un siècle, comportent une forte part d'incertitude. On n'a qu'à penser à l'expérience de la feuille d'or d'Ernest Rutherford, qui ne révélait en pratique que les déviations des électrons au voisinage du noyau des atomes. Rien, mais vraiment rien dans cette expérience ne lui indiquait que les électrons tournent autour du noyau des atomes, ce qui fut pourtant sa "conclusion".

On aurait dû considérer qu'il ne s'agissait que d'une hypothèse. Étant donné que la charge du noyau s'avérait positive alors que celle de l'électron était négative, il semblait improbable que l'électron puisse demeurer immobile et stable à une certaine distance du noyau. Et pourtant, tout indique que c'est bien le cas. Or on a accumulé depuis ce temps de telles hypothèses en grand nombre d'année en année. Les choses devenant de plus en plus complexes, le risque d'erreur augmentait et l'on aurait dû en douter encore davantage.

Le rasoir d'Occam.

Le modèle standard est horriblement complexe. On y recense un grand nombre de particules, certaines possédant des propriétés carrément ésotériques. Personne n'a jamais réussi à expliquer de quoi elles sont faites, ni à en préciser le mécanisme. En plus clair, malgré tout le tapage médiatique entretenu en particulier par le CERN pour justifier des investissements faramineux en main d'œuvre, en temps et en argent, on n'a rien expliqué du tout.

En ce sens, le modèle standard ne résiste absolument pas au test du "rasoir d'Occam", qui privilégie la simplicité. De plus, il est fortement appuyé par des calculs mathématiques, qui n'ont le plus souvent rien à voir avec la mécanique fondamentale concrète de la matière. Il faut ajouter à cela les travers de la nature humaine, qui font en sorte que les chercheurs tentent par tous les moyens de se rendre intéressants aux yeux de la communauté scientifique.

L'avantage d'un modèle simple, c'est qu'il réduit considérablement le risque d'erreur. Or le modèle proposé dans ces pages pourrait difficilement être plus simple:

1 – Notre univers matériel est fait uniquement d'éther, dont la seule propriété est de pouvoir transmettre des ondes.

2 – Le seul système ondulatoire viable dans un tel médium est l'électron, qui est fait d'ondes stationnaires sphériques.  

3 – La matière est donc faite exclusivement d'électrons, qui s'assemblent selon une structure ondulatoire.

Il faut donc envisager l'hypothèse qu'il n'existait à l'origine qu'un éther rempli d'ondes. Par la suite, des électrons se sont formés et assemblés spontanément. Le fait que l'univers soit manifestement en expansion suggère fortement qu'il s'est produit un Big Bang à l'origine. Dans ces conditions, une application élémentaire de la Relativité de Lorentz, qui est fondée sur l'existence de l'éther, indique que l'expansion de l'univers est relativiste, en ce sens qu'il existe réellement un centre où cela s'est produit, mais que l'emplacement de ce centre ne peut pas être déterminé.

En s'assemblant au hasard de différentes manières, les électrons (et les positrons, qui sont identiques mais vibrent à la quadrature) ont produit diverses particules plus ou moins stables, certaines ayant formé éventuellement des protons plus stables en respectant une structure ondulatoire bien définie.

Le proton.

Je suis maintenant persuadé que le proton ne contient pas de positron comme je l'avais d'abord pensé pour expliquer sa charge positive. Ce sont plutôt ses champs gluoniques qui vibrent à la quadrature et qui font en sorte que deux électrons peuvent s'assembler par paires (un de chaque spin, comme les paires de Cooper). Il en résulte un effet d'attraction aboutissant à des points d'équilibre stables périodiques puisque tout éloignement augmente la force d'attraction alors que tout rapprochement l'affaiblit. Si les électrons sont du même spin, le point d'équilibre stable se situe à tout multiple entier de la longueur d'onde plus trois-quarts d'onde. Sinon, le point d'équilibre stable se situe plutôt à un multiple de la longueur d'onde plus un quart d'onde.

Je suis maintenant persuadé que le neutron n'est rien d'autre qu'un proton auquel est étroitement associé un électron, à très courte distance. C'est en quelque sorte un atome complet d'hydrogène dont l'unique électron s'est égaré trop près du noyau.

Voici les diagrammes qui me permettent de penser que si quatre électrons dont deux sont en opposition de phase sont placés aux quatre coins d'un carré, il doivent se stabiliser dans cette position.

   

1 – Voici les quatre situations possibles sur le côté du carré.

Les électrons A et B sont situés sur le même côté d'un carré et ils sont en opposition de phase (paire de Cooper à spin opposé).

Le point d'équilibre stable est atteint si l'espacement vaut un multiple entier de la longueur d'onde plus un quart d'onde.

Dans ce cas, la diagonale fait pratiquement un multiple entier de la longueur d'onde plus trois quarts d'onde.

Les électrons situés sur une diagonale sont du même spin et ils sont donc eux aussi en équilibre stable. 

   

2 – Et voici les quatre situations possibles sur les diagonales du carré.

Les électrons A et C sont sur des sommets opposés d'un carré et ils sont en phase (leur spin est le même).

Le point d'équilibre stable est atteint si l'espacement vaut un multiple entier de la longueur d'onde plus trois quarts d'onde.

Dans ce cas, les côtés du carré font pratiquement un multiple entier de la longueur d'onde plus un quart d'onde.

Les électrons situés sur un même côté du carré vibrant en opposition de phase, ils sont donc eux aussi en équilibre stable. 

   

Le point d'équilibre stable se situe plus précisément à un multiple entier de la longueur d'onde plus 0,3 fois cette longueur.

Si le spin est le même, il faut plutôt ajouter 0,8 fois la longueur d'onde.

   

Si donc quatre électrons sont situés sur les sommets d'un carré en alternant leur spin, on peut repérer des espacements qui sont plus ou moins compatibles avec les points d'équilibre repérés ci-dessus. On trouve alors qu'il n'existe que très peu de configurations où cette compatibilité est possible. Par exemple, si le côté du carré fait 13,3 longueurs d'ondes, la diagonale fait 13,3 fois la racine carrée de 2, soit 18,8 fois la longueur d'onde, ce qui est précisément la distance idéale pour que le point d'équilibre soit atteint aussi bien sur le côté du carré que sur la diagonale. Les configurations suivantes seraient 25,3 et 35,8; 42,3 et 59,8; 71,3 et 100,8, etc.

Cela indique que s'il s'agit bien d'un proton comme je le pense, le proton est compressible. Peu importe sa taille, il conserve à peu près la même masse (mais pas tout à fait, ce qui expliquerait le défaut de masse) et la même charge, mais il demeure un proton. On fait en effet souvent remarquer que le noyau de l'atome d'hélium ne semble guère plus grand que celui de l'atome d'hydrogène.

Puisque toute anomalie de spin provoquerait des champs magnétiques perturbateurs, on peut raisonnablement penser qu'une telle structure en carré avec deux électrons de chaque spin serait remarquablement stable et qu'elle pourrait expliquer toutes les propriétés du proton ou du neutron.   

J'ai toutes les raisons de penser que quatre électrons disposés sur les sommets d'un carré et dont le spin alterne peuvent fort bien former à eux seuls un proton avec sa charge positive malgré la faible masse apparente de l'ensemble. En tous cas, une telle structure en aurait toutes les propriétés. C'est que cette disposition provoque la formation de six champs gluoniques dont la masse totale pourrait très bien atteindre celle d'un proton, qui on le sait vaut (en principe) 1836 fois celle d'un électron.

Il y a quatre (4) électrons contre six (6) champs gluoniques, mais il se trouve que ceux qui sont orientés sur les diagonales sont plus faibles, en toute relativité, soit selon la racine carrée de 2. Sachant que l'énergie est égale au carré de l'amplitude, qui vaut l'inverse de la racine carrée de 2 (0,7071) sur les diagonales, l'énergie de ces champs correspond à la moitié exactement (0,7071^2 = 0,5) de celle des champs latéraux. On a donc quatre champs gluoniques qui équilibrent exactement la charge des quatre électrons d'une part. Mais d'autre part, les deux autres champs gluoniques plus faibles qui se forment sur les diagonales n'équilibrent à grande distance que la charge d'un seul électron.

Ce sont donc les deux champs gluoniques orientés sur les diagonales du carré qui sont responsables de la charge positive du proton. On a vu ailleurs que le noyau central de l'électron mesure exactement une longueur d'onde de diamètre, et que cela s'explique par la "réflexion dure" (donc avec inversion de phase) que les ondes subissent en l'atteignant. Au contraire, les ondes stationnaires du champ gluonique ne présentent que la réflexion dite "douce" ou "molle" qui se produit entre chaque nœud des ondes stationnaires normales. Entre le centre et la surface du noyau central de l'électron, les réflexions se font donc avec un quart d'onde d'avance sur celles du champ gluonique. Bref, la pression de radiation agit à l'inverse, d'où une charge positive et non pas négative.

Une charge positive moyenne, mais des variations allant du positif au négatif selon les axes.

Voilà donc pourquoi la charge du proton est positive et égale à celle de l'électron. Mais il en ressort clairement qu'il s'agit d'une charge moyenne. Il existe autour du proton certains axes où un électron peut se situer plus favorablement, et qui expliquent les liaisons chimiques et les forces de van der Waals. Ces axes expliquent aussi la propriété du proton de s'associer étroitement à un électron, à très courte distance, de manière à former un neutron. De plus, le noyau des atomes lourds présenterait une structure plus ou moins cubique basée sur des carrés, mais parfois aplatie ou allongée. Cela permet d'expliquer la constance très bien documentée des huit (8) électrons périphériques responsables des liaisons chimiques, et qui sont certainement orientés sur les huit (8) sommets d'un noyau cubique comme je le supposais depuis longtemps. J'invoquais la présence de huit zones coniques de moindre rayonnement, mais on peut tout aussi bien considérer que les électrons de valence sont coincés dans des zones où rayonnement est fortement positif.

Vis-à-vis les six (6) faces du cube, même un noyau très lourd comme celui de l'or ou du plomb devrait rayonner l'équivalent de la diffraction de Fresnel sur les trois axes de Descartes, donc dans six (6) directions, ce qui lui permettra de s'entourer d'électrons sur des couches atomiques de plus en plus distantes justifiant la série de Balmer et les autres séries similaires. Il y a donc au total quatorze (14) axes privilégiés où les électrons peuvent s'accumuler, mais le diagramme de rayonnement du proton montre clairement qu'il existe aussi d'autres axes secondaires où le rayonnement est périodiquement nul. Certains noyaux lourds acceptent en effet jusqu'à 32 électrons sur la même couche atomique, mais il faut désormais tempérer beaucoup cette rigueur mathématique puisqu'on a découvert plus récemment que les atomes présentent en réalité des sous-couches dont la structure reste floue. 

Au moment où ils sont capturés dans l'une de ces zones, les électrons effectuent des mouvements de va-et-vient et ils émettent de la lumière avant de se stabiliser, selon une constante qui dépend du "nombre de Fresnel". On sait en effet qu'il s'agit d'un entier qui détermine la distance des zones alternativement claires et sombres qu'on retrouve dans la figure de diffraction produite par une ouverture circulaire équiphasée, par exemple celle d'un laser ou d'un sténopé face à une étoile artificielle. C'est ce qui justifie la notion de quantum de lumière selon la constante de Planck. On y distingue des "points noirs" qui sont bien visibles dans le diagramme ci-dessous:

La diffraction de Fresnel.

La distance du premier "point noir" est donnée par : L = r2 / (n * lambda) avec n = 2. Au centre, on a : n = 1.  

Le noyau atomique présente ce rayonnement et il peut capturer plusieurs électrons d'une manière très stable selon la série de Balmer.

Si l'électron oscille à l'intérieur du point noir, il émet de la lumière en faisant onduler les interférences.

Le premier "point noir" de la série (au centre) est le plus intense. Il correspond à une zone où le rayonnement est nul.

ATTENTION: On peut intervertir les zones sombres et les zones claires selon la structure et de la période des émetteurs.

   

Image plus grande en couleurs (1,7 MB)

Quatre électrons aux sommets d'un carré justifient toutes les propriétés du proton.

On distingue très bien l'emplacement des six champs gluoniques responsables du rayonnement positif.

L'ensemble rayonne la diffraction de Fresnel de part et d'autre sur deux axes orthogonaux.

Dans le coin supérieur droit, le premier "point noir" a capturé un électron additionnel.

Cet électron ne produit pas de champs gluoniques puisque le rayonnement qu'il reçoit du proton est nul.

Mais sa charge négative annule la charge positive du proton et l'ensemble devient un neutron.

Cet électron est beaucoup plus stable s'il est coincé entre deux protons : on obtient un noyau de deutérium.

   

Voici le diagramme de rayonnement d'un carré d'électrons sur un plan décalé d'environ 10 fois son côté.

On y retrouve un quadrillage qui permet à un proton de capturer un autre proton, cette fois-ci sans l'aide d'un électron.

Le proton capturé produit le même diagramme en sens inverse, de sorte que la liaison est finalement deux fois plus solide.

   

Trois types de liaison.

Les deux diagrammes de rayonnement montrés ci-dessus indiquent que deux protons peuvent s'assembler sur les axes orthogonaux x et y en capturant un électron intermédiaire au besoin, mais qu'ils peuvent aussi s'assembler sur l'axe transversal z sans l'aide d'un électron. Je travaille à des diagrammes qui montrent qu'on obtient aussi des zones similaires vis-à-vis les quatre diagonales, et encore d'autres s'il y a deux protons ou plus.

En pratique, il faut donc admettre que le noyau de l'atome d'hélium ne contient que quatre protons, vraisemblablement regroupés selon un rectangle, et qu'il comporte aussi deux électrons internes dont la fonction est de stabiliser les protons sur la liaison la plus faible. Puisqu'on sait qu'il existe plusieurs isotopes de l'hélium, il est facile de considérer un assemblage de cinq protons et de trois électrons, etc. Il suffit en pratique de respecter la charge positive de deux qui conduit à deux électrons périphériques.

On comprend alors qu'un assemblage complexe de protons et d'électrons devient possible, ces derniers étant relativement plus nombreux dans un noyau lourd comme celui du plomb.

Le neutron.

Je suis donc persuadé que le neutron n'est rien d'autre qu'un proton auquel est étroitement associé un électron. Cet électron n'est vraiment stable dans cette situation que s'il est coincé entre deux protons. Il n'existe donc que des protons et des électrons à l'intérieur du noyau d'un atome, peu importe sa masse. Par exemple, le noyau du deutérium serait fait de deux protons joints par un seul électron, ce qui indique clairement que deux de ces noyaux joints ensemble à leur tour sur un autre plan sous l'effet cumulé de la chaleur, de la pression et d'un fort champ magnétique peuvent former un noyau d'hélium. Tout indique que cela se traduit par une compression des protons. L'ensemble libère alors un peu d'énergie. C'est ce qui explique le fameux "défaut de masse" conduisant dans ce cas au principe de la fusion nucléaire.

Mais au-delà du chrome ou du fer, cet effet s'inverse et la masse des champs gluoniques s'accroît de nouveau. Il est très probable que les noyaux lourds soient composés de noyaux plus légers qui se sont soudés plus ou moins solidement. On sait en effet qu'il existe au niveau de l'uranium un "îlot de stabilité" avec des isotopes moins stables de part et d'autre. Sa charge étant neutre s'il est associé à un électron, le proton devenu un neutron peut s'approcher suffisamment du noyau d'un atome lourd instable comme celui du plutonium pour le déstabiliser en perdant son électron, surtout s'il se déplace lentement. Étant fait de deux noyaux accolés, le noyau lourd se brise alors. Et puisqu'il contient proportionnellement plus d'électrons et de protons, cela produit des neutrons qui peuvent ainsi déclencher une réaction en chaîne en présence d'une certaine masse critique, comme Enrico Fermi l'a montré. C'est la fission nucléaire.

Fermi a fait erreur en invoquant la présence d'un "neutrino" pour expliquer un résidu d'énergie lors de la désintégration du neutron en un proton et un électron. Cette différence provient d'une très faible restructuration des champs gluoniques et l'énergie correspondante est tout simplement rayonnée sous la forme de rayons gamma ultra-pénétrants capables de produire néanmoins un effet Compton. Les physiciens de cette époque avaient la mauvaise habitude d'inventer à tout propos de nouvelles particules (neutrinos, photons, gluons, etc.) au gré de leur imagination.

Il semble bien que les quarks non plus n'existent pas, sauf peut-être dans le cas de deux électrons ou positrons très rapprochés en état d'équilibre précaire. M. Gell-Mann a cru les voir en effectuant ses expériences, mais tout indique qu'il a plutôt mis en évidence les effets des champs gluoniques, qui varient selon que le proton est seul ou associé à un électron. La structure en carré provoque un décalage de phase selon l'angle du rayonnement, de sorte qu'on peut fort bien y voir un spin au tiers ou aux deux tiers. L'histoire de la physique nucléaire est en effet gorgée de "conclusions" similaires qui ne font qu'obscurcir davantage la vérité.

Ce qu'on a appelé une "étoile à neutrons" serait en fait un ensemble très compact de protons et d'électrons en nombre égal qui ressemblerait fort à un seul immense noyau d'atome, mais avec autant d'électrons que de protons. L'ensemble finirait par atteindre une masse critique, toujours la même, sous l'effet de la gravité. C'est pour cette raison que l'explosion d'une supernova du type Ia permet de produire d'autres éléments du tableau périodique de Mendeleïev au-delà du chrome ou du fer en fusionnant des noyaux plus petits. C'est aussi à cause de cette masse critique que la luminosité du phénomène est constante...

 

La tache d'Airy.

Dans le but de montrer où en sont mes hypothèses (devant l'inconnu, avant toute certitude, il faut d'abord formuler des hypothèses...), j'ai pris la peine de remanier en profondeur un ancien programme (Ether16) sur cette fameuse tache d'Airy.

Airy_Disk.bas    Airy_Disk.exe

La tache d'Airy.

À gauche, la figure de diffraction est représentée en trois dimensions pour mieux montrer l'amplitude relative des anneaux.

   

Veuillez noter que  ce programme exige une résolution d'écran de 1024 sur 1280 pixels au minimum. Le format vidéo de 720P avec 1280 pixels horizontalement est en effet en plein essor sur l'Internet. C'est dans ce format (Mpeg-4 Matroska DivX H-264) que j'ai réalisé quatre vidéos qui montrent mieux comment évolue ce phénomène selon un angle d'ouverture couvrant un calotte sphérique qui peut s'agrandir jusqu'à la sphère complète. Dans ce dernier cas, on obtient tout simplement une structure identique à celle de l'électron au repos. Par contre, la demi-sphère est aussi très instructive pour observer de quelle manière le noyau central de l'électron atteint un diamètre d'un longueur d'onde exactement. Il suffit d'observer comment l'addition de la deuxième moitié modifiera le résultat, compte tenu de l'évolution surprenante des phases.

Airy_Disk_01_Gray.mkv

Airy_Disk_02_Color.mkv

Airy_Disk_03_Energy_Curve.mkv

Airy_Disk_04_Electron.mkv

La tache d'Airy selon différents angles d'ouverture.

Lorsque la source est une sphère complète, on obtient la structure fondamentale de l'électron.

   

Vers 1995, je travaillais sur un ordinateur primitif de 640 K sans disque dur fonctionnant sous l'antique DOS de Microsoft, et dont la vitesse n'excédait sans doute pas 1 MHz. J'arrivais pourtant à effectuer la sommation d'un nombre raisonnable d'ondelettes de Huygens réparties sur la surface d'un cercle ou d'une calotte sphérique de manière à reproduire assez bien la diffraction de Fresnel ou la tache d'Airy. Certains diront qu'il ne s'agit pas d'un calcul intégral tel qu'on l'exécutait autrefois, mais ils devront pourtant admettre que le résultat est le même.

Le problème, c'est que cette méthode calcule chaque ondelette individuellement, ce qui à l'époque exigeait de l'ordinateur des heures de calculs interminables. Vers 2005, j'ai mis au point une méthode plus sophistiquée qui consiste à diviser plutôt la calotte sphérique en arcs de cercles équidistants (voir le programme Ether16). On peut considérer que chaque arc de cercle remplace un grand nombre de points générateurs d'ondelettes de Huygens. De plus, la sphère considérée possède un rayon infini, de manière à éliminer les anomalies obtenues avec une sphère de faibles dimensions. On est alors en présence d'ondelettes planes dont la différence de marche est établie à partir du plan focal, selon l'angle de chaque arc de cercle, et non pas à partir de la surface de la sphère. Il suffit de déterminer leur longueur puis d'effectuer la sommation en conséquence, ce qui permet d'obtenir des résultats beaucoup plus rapidement. Même s'il faut évaluer des millions de points distincts dans les environs du plan focal (chaque pixel à évaluer exige une sommation distincte de l'ensemble des ondelettes de Huygens), cela peut désormais se faire en quelques secondes, voire en moins d'une seconde.

Les champs gluoniques.

Comme moi, de nombreux astronomes amateurs ont poli eux-mêmes le miroir de leur télescope. Ils connaissent bien le "critère de Rayleigh", qui stipule qu'il faut polir la surface du miroir avec une précision d'au moins un quart d'onde pour éviter qu'il ne se produise une opposition de phase d'une demi-onde aboutissant à des interférences destructives. C'est que le décalage de phase est doublé à cause du trajet aller et retour de la lumière. Or on a vu plus haut que les ondes du champ gluonique présentent un quart d'onde de décalage, de sorte que le champ de force électrostatique qui se forme à grande distance entre deux champs gluoniques est finalement positif.

C'est pour cette raison que deux protons se repoussent tout en demeurant capables de capturer chacun un électron. C'est aussi pour cette raison qu'un ensemble de protons (c'est à dire un noyau d'atome) est en mesure d'accumuler autour de lui, mais à très grande distance, tout son cortège d'électrons. La diffraction de Fresnel produite par un tel ensemble est en effet beaucoup plus étendue que dans le cas d'un seul proton. L'atome d'hydrogène est donc incapable de capturer un électron en recourant à la diffraction de Fresnel. Son unique électron se trouve plutôt sur la couche de valence, et contrairement à tous les autres atomes qui en présentent huit, cet électron ne peut se situer que sur quatre vecteurs.

Il faut comprendre que la partie extérieure du champ gluonique rayonne des ondes dans deux directions opposées. La moitié qui est dirigée vers le centre doit, selon le principe de Huygens, produire une tache d'Airy. Malheureusement, mon programme sur la tache d'Airy est incapable de faire la sommation d'une source en trois dimensions aussi vaste. Mon ordinateur actuel ne peut pas non plus mettre en scène ce phénomène en trois dimensions dans le médium virtuel Delmotte-Marcotte. Je prévois donc me procurer bientôt un ordinateur plus performant à 16 GB de mémoire qui sera capable d'illustrer assez bien ce phénomène.

Le rayonnement du champ gluonique a pour origine l'espace situé au-delà des deux électrons.

Ce rayonnement converge au centre où il forme une tache d'Airy faite d'ondes stationnaires.

Ces ondes stationnaires constituent le champ gluonique et présentent un décalage de phase d'un huitième d'onde.

   

Ce rayonnement se fait sur un axe privilégié dans deux directions opposées, alors que l'électron au contraire émet des ondes parfaitement sphériques, donc tous azimuts. À proximité, le rayonnement gluonique n'agit donc que sur les deux électrons concernés, et pas du tout sur les deux autres. Ce qu'il faut réaliser, c'est que la charge d'un électron est toute relative puisqu'elle n'a plus de signification lorsque l'électron est isolé. C'est la combinaison de deux charges, toujours associées à un champ gluonique, électrostatique et même à un champ magnétique (tous les trois étant faits d'ondes stationnaires) qui détermine la valeur de la charge théorique de l'électron. De plus, l'intensité d'un champ de force ne peut jamais être supérieure à celle d'un seul électron, de sorte que l'amplitude des ondes du champ gluoniques peut être nettement supérieure.

Il faut ajouter à cela le fait que le proton avec ses champs gluoniques ne réagit pas de la même manière qu'un électron à un champ de force. La pression de radiation ne s'exerce pas de la même manière sur le proton. Sa résistance à l'accélération (c'est à dire sa masse) n'est pas la même. Bref, la masse de l'électron et celle du proton ne sont pas quantifiables selon le mêmes critères. Il n'y a donc pas lieu de s'étonner que la charge négative de l'électron apparaisse égale à la charge positive du proton. C'est tout simplement une application de la loi de l'action et de la réaction, ces dernières agissant à force égale.

   

Le 15 septembre 2010.

L'ancienne page de ce site portant sur les ondes stationnaires planes a été renommée Les ondes stationnaires d'Ivanov. C'est en effet M. Yuri Ivanov qui les a découvertes et analysées entre 1980 et 1990. Elle a aussi été profondément remaniée. J'ai même pris la peine de réaliser une nouvelle animation Gif dont le fichier est plus volumineux que la normale. Elle contient pas moins de 60 images avec 256 couleurs indexées pour en sauvegarder toute la qualité !

Les ondes d'Ivanov.

Je suppose que les physiciens de ce monde vont continuer encore longtemps de bouder le résultat de nos recherches parce qu'il conduit à des conclusions différentes de celles qu'on leur a enseignées. Pourtant, tout ceci est éminemment euclidien et cartésien. C'est de la physique à l'état pur. C'est tout ce qu'il y a de plus raisonnable, et c'est même appuyé par des expériences concluantes.

Comme je l'ai toujours dit, ce serait la moindre des choses qu'on en prenne acte...

Le 8 septembre 2010.

Je vous présente enfin l'expérience ultime, celle qui montre toutes les propriétés des ondes stationnaires d'Ivanov en un seul jet.

 Puisque la matière est faite d'ondes stationnaires, une telle expérience est capitale. J'ai pris soin de limiter les formules nécessaires au minimum et de les simplifier au maximum pour faire en sorte que cette expérience ne laisse la place à aucune discussion possible. Ici, vous avez des faits. Rien que des faits.

Standing_Waves_06_Doppler.mkv

Il s'agit véritablement d'une expérience puisque j'ai eu recours au médium virtuel Delmotte-Marcotte pour obtenir l'effet Doppler. Tout y est:  l'onde de phase, la contraction prévue par Lorentz, le déplacement de la structure ondulatoire à la même vitesse que celle des émetteurs et enfin, le transport de l'énergie à cette même vitesse, puisqu'elle ne peut pas franchir chaque nœud. 

Faut-il rappeler que la matière présente manifestement des propriétés ondulatoires et que Louis de Broglie a parlé d'ondes stationnaires? Il a aussi parlé d'une onde de phase et d'une vitesse de groupe. Il a même souligné que la vitesse de la lumière correspond à la moyenne géométrique entre cette vitesse et celle de l'onde de phase. Pour ma part, je m'emploie depuis longtemps à montrer que les ondes stationnaires présentent de leur côté les mêmes propriétés que la matière. Nous avons donc ici à la fois le début et la fin d'une démarche, de sorte que ce qu'il reste à trouver entre les deux est hautement prévisible. Il s'agit d'une avenue qu'il devient urgent d'explorer soigneusement pour sortir enfin la physique de l'ornière dans laquelle elle s'est enlisée depuis un siècle...

De l'origine du facteur de contraction de Lorentz.

On sait que la fameuse "aberration" dont parle abondamment Henri Poincaré, qui fut le fer de lance de la théorie de Lorentz, est une découverte de Michelson bien antérieure à 1887. C'est ce qui lui a permis d'inventer son célèbre interféromètre, qui on le sait a abouti à un résultat nul tout à fait surprenant. On la retrouve au dénominateur des équations présentées par Lorentz en 1904, que Poincaré a appelées "transformations de Lorentz" bien qu'elles aient été mises au point en réalité par Woldemar Voigt dès 1887. Il s'agit de ce que j'appelle ici le facteur de contraction de Lorentz, identifié par la lettre "g", et qui est l'inverse du facteur gamma de la Relativité.

Je suis très fier d'avoir finalement réussi à identifier la cause profonde, l'origine véritable de cette "aberration". À la seule condition de disposer de deux longueurs d'onde distinctes, j'ai en effet trouvé que le facteur de Lorentz g peut être obtenu en trouvant le rapport de leur moyenne géométrique sur leur moyenne arithmétique. On a tout simplement: g = [moyenne géométrique] / [moyenne arithmétique]. Avant même de parler de Relativité, ce facteur est donc beaucoup plus simplement lié au comportement des ondes stationnaires. Il est bien évident que dans un repère en mouvement, il se produit forcément un effet Doppler aboutissant à deux longueurs d'ondes distinctes, l'une vers l'avant (blueshift) et l'autre vers l'arrière (redshift).

Et puisqu'il est bien connu que le rapport de ces deux moyennes conduit tout droit au théorème de Pythagore, il convient d'examiner ceci de ce point de vue, comme on l'aura vu plus bas en date du 17 août.

   

Ce tableau prouve que les transformations de Lorentz reflètent sans contredit le comportement des ondes stationnaires (transformations alpha), même si j'ai dû inverser et même corriger les équations de Lorentz. Il est clair que Lorentz n'a pas su bien identifier ni définir les variables x et t car les mêmes équations s'appliquent aussi à l'électron (transformations bêta) et à la matière (transformations gamma). Il fallait donc redéfinir ces variables pour qu'elles conviennent à chacun de ces trois phénomènes. Le tableau montre qu'à partir de seulement deux données fondamentales, soit la longueur des ondes qui circulent théoriquement en sens opposé, on peut trouver la valeur de cette fameuse "aberration", et ensuite non seulement la vitesse de déplacement "alpha" des ventres et des nœuds des ondes stationnaires, mais aussi la valeur de leur contraction.

L'effet Doppler relativiste.

Ce que la courte séquence vidéo suggérée plus haut montre clairement, c'est qu'il existe une différence fondamentale entre l'effet Doppler acoustique normal et l'effet Doppler dit "relativiste" de la lumière (et aussi de l'électron et donc de la matière). Dans le cas de l'effet Doppler acoustique, la contraction des ondes stationnaires vaut le "carré de l'aberration" dont parlaient d'abord Lorentz et Poincaré entre 1895 et 1904, donc le carré du facteur g.

Mais on sait que Lorentz a découvert finalement et publié en 1904 qu'en plus de la contraction que devait subir l'interféromètre de Michelson selon le facteur g simple et non plus son carré, il devait se produire une ralentissement de la fréquence de la lumière, toujours selon ce même facteur g. Ce ralentissement, qu'on a appelé plus tard le "ralentissement du temps", s'applique également à la fréquence de l'électron et au comportement mécanique de la matière en mouvement, qui fait en sorte par exemple que les horloges indiquent des heures plus lentes.

La vidéo montre bien que dans ce cas, les ondes stationnaires se contractent seulement selon le facteur g et non pas son carré. Lorentz a vu beaucoup plus loin que Poincaré et Einstein, qui n'ont jamais voulu admettre cette hypothèse par trop commode et donc suspecte (une "étrange propriété", un "coup de pouce" donné par la nature, comme l'a écrit Poincaré) d'une contraction de l'interféromètre de Michelson. Pourtant, il devient clair que Lorentz avait tout à fait raison. Ce faisant, il n'a pas seulement expliqué la Relativité, il a aussi posé les bases de la "mécanique nouvelle", celle de la matière, mise en avant par Poincaré.

D'ailleurs, c'est Lorentz lui-même qui en a déduit que l'énergie et donc la masse de la matière devait augmenter avec sa vitesse, encore une fois en fonction du facteur g. Or il est bien connu que l'énergie des ondes est proportionnelle à leur fréquence et donc inversement proportionnelle à leur longueur. S'il y a contraction de la longueur d'onde, il y a forcément un gain en énergie.

Il faut rendre hommage à M. Yuri Ivanov.

C'est à M. Yuri Ivanov que revient l'honneur d'avoir finalement expliqué cette contraction de l'interféromètre de Michelson en faisant le lien avec les ondes stationnaires. Bien qu'il ait fait l'erreur de rejeter le ralentissement de la fréquence pour aboutir à une contraction trop sévère, il a tout de même montré que les liaisons atomiques devaient se faire en fonction d'une certaine longueur d'onde. Il a très bien montré que si cette longueur d'onde se contracte, la matière elle-même doit se contracter. Il aussi montré que la vitesse de la matière correspond à la vitesse de ces "ondes stationnaires animées" que j'appellerai du nom d'Ivanov. Il a aussi montré que celles-ci transportent leur énergie avec elles, ce qui permet d'en conclure que la matière peut de la même manière transporter l'énergie qu'elle contient. Pour couronner le tout, il montre aussi sur son site que les ondes stationnaires s'influencent mutuellement. Il montre que si deux personnes occupent la même embarcation et lancent des pierres en sens opposé à tour de rôle, on obtient une représentation très réaliste du mécanisme qui permet à la matière de modifier son inertie naturelle pour accélérer ou ralentir. Lancer une pierre, c'est modifier son énergie, et cela ne peut se faire qu'en comprimant ou en dilatant ses ondes.   

Voilà bien ce qu'il fallait réaliser : la matière et les ondes stationnaires présentent les mêmes propriétés. C'est plus qu'il n'en faut pour affirmer que c'est parce qu'elle est faite d'ondes stationnaires que la matière se comporte ainsi. Selon sa vitesse, elle se contracte et elle accroît ainsi l'énergie qu'elle transporte avec elle. Cette énergie qu'elle accumule, c'est donc de l'énergie cinétique. C'est grâce à elle que la matière peut agir et réagir avec d'autres matière à cause des ondes qu'elle émet et qu'elle reçoit, le tout selon les lois de Newton.

Les champs de force.

Et puisque les électrons qui composent la matière reçoivent et émettent des ondes simultanément, il en résulte d'autres ondes stationnaires qui se forment entre eux. Si la vitesse des électrons n'est pas la même, les ventres et les nœuds se déplacent à la vitesse intermédiaire "alpha". On parle ici des champs de force, qui sont à la base de la véritable "mécanique ondulatoire". On peut par exemple citer le champ de force électrostatique:

Le champ de force électrostatique, dit "biconvexe".

Si les électrons se déplacent, cette structure adopte aussi le comportement des ondes d'Ivanov.

   

Le "Principe d'action et de réaction" découvert par Galilée et formulé par Newton.

   

Du point de vue du champ de force, considérant la vitesse alpha, on peut parler plutôt d'un "Principe de double action".

De ce point de vue il se produit plus simplement deux actions égales en sens opposé.

   

Le 17 août 2010.

Je viens tout juste d'identifier pas moins de trois transformations dérivant des transformations de Lorentz. Elles comportent les mêmes équations mais elles s'appliquent par contre à trois phénomènes bien distincts. De plus, la définition des variables x et t et même leur précalcul diffère. C'est précisément ce précalcul qui permet de faire toute la lumière sur les transformations de Lorentz qui, contre toute attente, ne concernent pas à priori l'effet Doppler comme je le pensais jusqu'à maintenant. Je précise ici que mon Scanner du Temps peut réaliser ces trois transformations simultanément avec brio puisqu'il se passe fort bien de ce précalcul. Si j'ai bien vu, tout est dans l'onde de phase découverte par Louis de Broglie et il s'agit donc nettement d'un phénomène ondulatoire même dans le cas de la matière.

Je tiens à remercier chaleureusement M. Sèrgi Blanchard, dont les connaissances en mathématiques et en astrophysique m’ont permis d’y voir plus clair. C’est surtout son flair exceptionnel qui a fait toute la différence. Cet homme-là peut repérer juste à l’odeur les failles d’un raisonnement. Même dans la noirceur la plus totale, il est capable de pressentir la direction à suivre. Quoi qu'il en soit, ce fut presque toujours à la suite de ses observations que j’ai réussi à aplanir les difficultés. Depuis un bon moment, de sa lointaine Occitanie, il surveille attentivement ma progression à travers cet incroyable bourbier que constitue la physique actuelle. Sans lui, je dois dire que cette grande aventure aurait été autrement pénible et sans doute beaucoup moins fructueuse.

Les transformations alpha des ondes d'Ivanov.

Les ondes que M. Yuri Ivanov avait nommées "lively standing waves" (ondes stationnaires animées) se caractérisent à la fois par un déplacement selon une vitesse "alpha" et par une contraction. Elles présentent aussi la fameuse onde de phase qui a été décrite pour la première fois par Louis de Broglie. La vitesse de cette onde de phase vaut l'inverse de la vitesse alpha. Elle est donc toujours supérieure à la vitesse de la lumière, de sorte que celle-ci correspond effectivement à la moyenne géométrique entre la "vitesse de groupe" et la vitesse de phase comme de Broglie l'avait aussi montré.

Ces ondes porteront désormais le nom de M. Ivanov puisqu'il s'agit d'un phénomène fondamental qui mérite un nom plus percutant. Ce chercheur avait d'ailleurs pressenti dès le début qu'il touchait là à quelque chose d'important en montrant que la matière elle-même doit se contracter pour cette raison. Il avait toutefois donné des transformations qui ne conviennent pas à la matière, comme on le verra plus loin.

Voici les équations des transformations alpha, qu'on peut identifier à cause du recours à la vitesse normalisée "alpha". Je rappelle que j'ai dû redéfinir la vitesse alpha en l'attribuant spécifiquement à la vitesse de déplacement des ventres et des nœuds des ondes stationnaires d'ivanov. Le facteur de contraction de Lorentz g correspond à cette vitesse: g = racine(1 alpha^2).

x ' = g * x + alpha * t

t ' = g * t alpha * x

Le précalcul fait référence à une longueur d'onde partiellement contractée comparativement à la moyenne arithmétique des deux longueurs d'onde impliquées. La différence entre la moyenne simple et la moyenne géométrique correspond étonnamment au facteur g de Lorentz. Or cette longueur d'onde partiellement contractée selon le facteur g l'est encore davantage après transformation, et encore une fois selon le facteur g. On en déduit qu'en présence d'un effet Doppler acoustique ordinaire, les ondes d'Ivanov se contractent finalement selon le facteur de Lorentz g au carré. C'était d'ailleurs précisé sur mon site dès son ouverture en septembre 2002. On se rappellera que Poincaré parlait aussi en 1901 du "carré de l'aberration", ce terme correspondant au facteur g.

Voici des vidéos qui montrent ce phénomène:

Standing_Waves_01_Ivanov.mkv

Standing_Waves_02_Theoretical.mkv

Standing_Waves_03_Transformations.mkv

Standing_Waves_04_Hertz.mkv

Standing_Waves_05_Alpha.mkv

Standing_Waves_06_Doppler.mkv

La troisième séquence et le programme correspondant prouvent sans l'ombre d'un doute que les transformations alpha appliquées aux ondes d'Ivanov produisent exactement les mêmes résultats que le médium virtuel Delmotte-Marcotte. Puisqu'elles correspondent aux transformations de Lorentz mais qu'elles sont appliquées dans un tout autre contexte, ces transformations "alpha" s'avèrent donc hautement pertinentes.

Les transformations alpha.

Ci-dessous, voici l'aspect géométrique de ces transformations hautement euclidiennes, pythagoriciennes et cartésiennes.

   

   

  Ainsi donc, les variables x doivent être exprimées en longueurs d'ondes partiellement contractées, soit selon la moyenne géométrique des deux longueurs d'onde. De plus, les variables t représentent non pas le temps, mais bien la période des ondes partiellement contractées selon la moyenne géométrique, à convertir bien sûr en radians. On a donc 2 * pi lorsque t = 1 quand vient le temps d'afficher ces ondes sur l'écran d'un ordinateur. On verra plus loin que dans le cas de la matière, t indique tout simplement le temps en secondes absolues mais que les équations demeurent pourtant les mêmes.

Les transformations bêta de l'électron.

J'ai donc réalisé que dans le cas de l'électron, ce sont en fait les variables qui n'ont pas du tout la même signification. Comme on l'a vu plus haut, avant d'appliquer les transformations, il est nécessaire d'effectuer un précalcul en fonction du système considéré. C'est donc ce précalcul qui diffère. Ce qui distingue l'électron des ondes d'Ivanov, c'est d'abord que la longueur d'onde du système au repos est réelle, mais surtout que sa fréquence ralentit s'il est en mouvement selon le facteur de contraction de Lorentz:

f ' = g * f

Les variables x représentent ici la longueur d'onde de l'électron au repos, qui est constante et qu'on arrivera certainement à mesurer un jour en suivant la piste de de Broglie. Les variables t représentent la période de l'onde quand l'électron est au repos, à convertir là aussi en radians. La vitesse est bien la vitesse normalisée bêta donnée par Poincaré, et que de Broglie appelle la "vitesse de groupe". Les équations des transformations bêta de l'électron se présentent donc ainsi:

x ' = g * x + bêta * t

t ' = g * t bêta * x

Dans le cas de l'électron, la contraction se fait selon le facteur de Lorentz g simple et non pas son carré. C'est dû au fait qu'on utilise tout simplement la longueur d'onde de l'électron au repos. De toutes façons, ces transformations "bêta" produisent un effet Doppler relativiste. C'est pourquoi la longueur d'onde de l'électron vaut finalement la moyenne géométrique des deux longueurs d'onde si on compare les ondes qu'il émet vers l'avant avec celles qu'il émet vers l'arrière.

lambda avant (blueshift) = lambda * (1 bêta) / g

lambda arrière (redshift) = lambda * (1 + bêta) / g

lambda = racine(lambda avant * lambda arrière)

Les transformations gamma de Lorentz.

Aussi en date du 17 août, j'ai finalement réalisé que les transformations de Lorentz s'appliquaient dans son esprit à l'interféromètre de Michelson et donc à la matière. Même en parlant de l'électron et en appliquant ses transformations aux équations de Maxwell, son but premier était de montrer comment cet appareil se contracte de manière à annuler la différence de phase que Michelson prévoyait détecter. Il ne fait plus aucun doute que c'est cette absence de distinction entre la matière et l'électron qui a provoqué le dérapage qui a conduit à une Relativité incroyablement surréaliste.

Pour éviter cette confusion, il faut se souvenir qu'ici, le précalcul est totalement différent. Dans le cas des transformations "gamma" (il s'agit des transformations de Lorenz véritables), les variables x sont exprimées en secondes-lumière (300000 km) absolues dans un repère cartésien réputé au repos comparativement au médium éther. Les variables t sont exprimées en secondes absolues. La vitesse normalisée bêta demeure la même que celle qui s'applique à l'électron. Il s'agit de la "vitesse de groupe" dont parle Louis de Broglie, de sorte que la vitesse de la lumière correspond bel et bien à la moyenne géométrique entre la vitesse de phase (1 / bêta) et la vitesse de groupe (bêta / 1). Il en ressort que Louis de Broglie aurait mieux fait de se concentrer sur les transformations de Lorentz, qui indiquent très clairement une onde de phase sous la forme "d'heures locales", au lieu d'insister en pure perte sur la présence simultanée d'une particule "solide" justifiant la constante de Planck.

On aboutit donc exactement aux mêmes équations que dans le cas de l'électron. Mais faut-il le répéter, on sait maintenant qu'on considère tout autre chose:

x ' = g * x + bêta * t

t ' = g * t bêta * x

Il est clair que des équations qui font état de variables x représentant des distances réelles et des variables t représentant des secondes réelles selon notre convention ici sur Terre ne peuvent pas s'appliquer à l'électron de la même manière puisque dans ce dernier cas on traite plutôt une longueur d'onde et  une période d'onde. Pourtant, les équations étant identiques (c'est là toute la beauté de ces transformations!) il faut bien se résoudre à admettre que même dans le cas de la matière, on a affaire à des ondes!

Le 29 juillet 2010 (révisé jusqu'au 17 août 2010).

La page sur Les ondes stationnaires Ivanov a été revue en profondeur. Le déplacement et la contraction des ondes dites "stationnaires" (ces mal nommées !) sont des phénomènes désormais connus, mais le monde scientifique tarde toujours à les étudier. Si vous ne les avez pas déjà vues plus haut, voici de récentes réalisations qui montrent ce phénomène dans toute sa clarté et à l'aide de formules d'une grande simplicité.

Standing_Waves_01_Ivanov.mkv

Standing_Waves_02_Theoretical.mkv

Standing_Waves_03_Transformations.mkv

Standing_Waves_04_Hertz.mkv

Standing_Waves_05_Alpha.mkv

Standing_Waves_06_Doppler.mkv

C'est M. Yuri Ivanov qui en a fait la découverte en 1981. Il les a vérifiées expérimentalement en 1990. Je tiens à souligner qu'il avait dès cette époque montré que la matière elle-même doit se contracter pour cette raison. Il s'agissait là d'une découverte majeure sur la structure de la matière et son comportement, de sorte que le nom de M. Yuri Ivanov devra être cité systématiquement dès les premières pages de tous les manuels de physique du futur. N'en doutez pas, la matière se contracte bel et bien comme l'a montré Lorentz.

 Vous ne trouverez probablement aucun livre, aucune publication, ni rien ailleurs sur l'Internet à ce sujet. M. Ivanov avait nommé ces ondes "lively" standing waves, c'est à dire "vivantes", ou plus exactement "animées". J'avais moi-même parlé tantôt d'ondes pseudo-stationnaires, tantôt d'ondes stationnaires mobiles. Mais avec le recul, on se rend compte que tous ces termes apparaissent beaucoup trop faibles compte tenu de l'importance du phénomène.

J'ai donc proposé de les appeler désormais ondes stationnaires d'Ivanov, ce qui permettra de les identifier clairement. Il faudra les définir comme étant des ondes stationnaires mobiles et contractées résultant de l'addition d'ondes progressives qui se propageraient en sens opposé et dont la longueur diffère. Leur vitesse de déplacement sera normalisée en posant c = 1 à la manière de Poincaré sous le nom de vitesse alpha et identifiée par le symbole grec alpha.

Les transformations "alpha".

Je viens tout juste de découvrir (le 14 août) que les transformations de Lorentz telles que je les avais inversées et modifiées permettent d'afficher ces ondes stationnaires d'Ivanov. J'avais pressenti qu'il devait exister des transformations spécifiques. Mais en procédant par tâtonnements, j'ai finalement abouti exactement aux mêmes équations. Il faudra donc retenir que les transformations de Lorentz, si elles font état d'une vitesse alpha et non bêta, concernent uniquement les ondes stationnaires même en l'absence de tout effet Doppler. Autrement, elles font état d'un effet Doppler très particulier caractérisé par un ralentissement de la fréquence des émetteurs.

Le point important, et j'insiste là-dessus avec la plus grande énergie, c'est que dans le cas des transformations Ivanov, les équations s'appliquent aussi bien en acoustique qu'en optique, sous réserve qu'il faut établir une longueur d'onde fictive valant la moyenne géométrique des deux longueurs d'onde. Il faut se rappeler que l'effet Doppler relativiste reproduit automatiquement cette moyenne géométrique, le redshift étant exactement l'inverse du blueshift. Il faut aussi se rappeler que la vitesse des ondes, soit c, correspond de la même manière à la moyenne géométrique entre la vitesse d'entraînement et la vitesse de l'onde de phase, comme l'avait établi Louis de Broglie il y a déjà longtemps...

Le facteur de contraction de Lorentz g transposé ici pourrait porter si nécessaire l'indice alpha. Il s'appliquera en priorité absolue aux champs de force dans la "mécanique nouvelle" initiée par Poincaré et renommée mécanique ondulatoire par Louis de Broglie. Cette dernière expression est très pertinente et très actuelle, et il est dommage qu'on l'aie confondue avec la mécanique quantique. Je l'ai donc reprise telle quelle pour montrer la mécanique des champs de force. Ces deux pages constituant les bases de la physique de demain, il faudra les revoir en profondeur et les développer intensément, surtout si l'on considère que toute l'énergie disponible de la matière est concentrée dans les champs de force... Moi, j'y renonce car il s'agira d'un travail colossal nécessitant le concours de centaines de chercheurs procédant à des expériences de laboratoire (virtuelles et réelles) élaborées.

Les ondes stationnaires Ivanov des champs de force diffèrent de celles qui constituent l'électron. L'électron a ceci de particulier que sa fréquence ralentit selon le facteur g, ce qui a pour conséquence de ralentir celle des champs de force également selon une constante qui conduit finalement à des transformations alpha plus complètes qu'il me reste à élaborer. Il en résulte une invariance du même type que celle qui découle des transformations de Lorentz, et qui fait en sorte qu'un observateur donné est incapable de relever sa vitesse absolue en vérifiant la longueur d'onde de ce système. Il s'agit là d'une nouveauté car on se base uniquement sur les mesures de longueur sans devoir composer avec le ralentissement des horloges ou le temps local. Cela simplifie grandement les démonstrations.

Le facteur g alpha correspond à "l'aberration" dont parlait Poincaré avant même que Lorentz n'arrive à préciser ses célèbres transformations. On peut même affirmer qu'il a été découvert par Michelson bien avant 1887, l'année des premières expériences menées à l'aide de son célèbre interféromètre. Il est très clair en effet que ce facteur diffère sur l'axe du déplacement x comparativement à un axe transversal y ou z. C'est dû au fait que les ondes qui se propagent transversalement dans cet appareil s'inclinent selon un angle thêta valant: arc sin(v / c) et doivent donc parcourir un trajet absolu plus long. C'est pourquoi on peut en déduire un facteur de contraction g égal au cosinus de l'angle thêta. Étonnamment, considérant un aller et retour, le trajet absolu est encore plus long sur l'axe du déplacement puisqu'il correspond au carré de l'aberration.

Michelson a pu imaginer son appareil en considérant la différence. Il ignorait cependant que la matière se contracte de manière à annuler cette différence, et c'est pourquoi il s'est heurté à un résultat nul qu'il n'a pas su expliquer. Il n'a jamais songé non plus (pas plus que Lorentz) à appliquer aussi cette "aberration" aux ondes stationnaires. Il aura fallu attendre un siècle de plus pour que la découverte de M. Ivanov fasse apparaître la véritable cause de la contraction de la matière et donner enfin raison à Lorentz. Cette contraction apparaît aussi très clairement dans ma propre version des transformations de Lorentz. Comme je l'ai mentionné plus haut, j'ai dû inverser les équations de Lorentz. Il fallait que la contraction s'applique à la matière et non pas à "l'espace" dans la première moitié (x' = g * x) de l'équation ci-dessous. L'autre moitié indique la translation selon le Principe de Relativité de Galilée (x' = x v * t; x = x' + v * t; y' = y; z' = z) mais en inversant les variables x et x' de manière à attribuer plus correctement les grandeurs x et y au référentiel au repos. 

x'  =  g * x + bêta * t

On sait que Poincaré, Einstein, Minkowski et la plupart des physiciens qui ont suivi ont mis en doute l'existence réelle d'un tel référentiel "au repos" déterminé par la présence de l'éther. En pareil cas, et aussi d'ailleurs selon Galilée, on peut en toute logique confondre x et x' puisque ces grandeurs semblent parfaitement interchangeables comme le montrent les équations réversibles de Poincaré, qui ne figurent pas dans l'œuvre de Lorentz. Elles étaient également inversées dans les équations initiales de Voigt dont Lorentz s'est inspiré, Voigt s'étant sans doute précédemment inspiré du concept de Galilée. Cela explique fort bien pourquoi Lorentz a négligé de rectifier l'erreur tout en considérant malgré tout que l'éther existe. C'est à cause de ce faux pas que personne depuis ce temps n'y comprend plus rien alors qu'il s'agissait tout simplement d'un effet Doppler.

D'autres transformations que je proposerai sous peu auront pour but de transformer simultanément tout un groupe d'objets matériels selon la suite alpha déjà décrite à la page sur le Big Bang Relativiste. Il faut postuler dès le départ que le médium éther découvert par Descartes existe (et même qu'il n'existe rien d'autre qui soit matériel) puisque la matière incluant ses champs de force est faite d'ondes stationnaires qui se propagent dans ce médium. Il s'agit bien de transformations puisqu'elles sont associées ici à une translation des ondes stationnaires et qu'elles sont comparables à celles de Galilée et de Lorentz. 

On sait que Henri Poincaré avait énoncé dès 1904 un "postulat de Relativité" basé sur les transformations de Lorentz. Il s'agit maintenant de démontrer que le même postulat peut s'appliquer à un ensemble de corps matériels en expansion (ou même en contraction), et donc aux galaxies d'un univers en expansion selon la constante de Hubble. Pour ce faire, j'ai dû élaborer de nouvelles formules, en particulier celle qui permet d'obtenir la longueur d'onde des ondes stationnaires Ivanov à partir de la longueur d'onde des ondes progressives qui les composent. M. Ivanov n'avait pas donné la formule correcte parce que ses émetteurs produisaient des ondes subissant l'effet Doppler. Il a donc abouti au "carré de l'aberration", dont parlaient également Lorentz et Poincaré.

Ces transformations sont malgré tout basées sur le phénomène de la contraction des ondes stationnaires découvert par M. Ivanov, compte tenu du ralentissement de la fréquence de l'électron. Cela affecte la fréquence d'émission de la lumière et des ondes radio, et même le déroulement de tous les phénomènes physiques. On sait que les astrophysiciens ne tiennent pas compte de ce ralentissement des fréquences pour évaluer l'effet Doppler inhabituel dans le redshift des galaxies éloignées, qui s'ajoute à l'effet Doppler normal. Ils ont convenu dès l'époque de M. Edwin Hubble de l'attribuer plutôt à "l'expansion de l'univers". C'est probablement dû au fait que ni Lorentz ni Poincaré n'ont énoncé cette composante des transformations de manière claire et précise. Elle ne devient évidente que dans ma propre version de l'équation du temps de Lorentz, que j'ai dû inverser elle aussi pour que les grandeurs t et t' s'appliquent aux fréquences et non pas au "temps". J'ai même dû la corriger car Lorentz a manifestement confondu ces grandeurs, l'une s'appliquant à l'électron mobile et l'autre à l'électron au repos.

On lit donc :  t' = g * t  dans la première moitié de l'équation du temps modifiée ci-dessous. L'autre moitié indique le "temps local" proposé par Lorentz, mais désormais d'une manière bien plus claire et précise:

t'  =  g * t bêta * x

Ce phénomène capital du ralentissement des fréquences découvert par Lorentz doit être ramené en pleine lumière et intégré en priorité aux transformations alpha. Ainsi donc, la fréquence de toutes les ondes émises par la matière en mouvement subit un ralentissement selon le facteur de Lorentz g, en conformité avec les transformations de Lorentz:

f ' = g * f

Soyons clairs, c'est ce phénomène qui détermine l'effet Doppler "relativiste". Pour être tout à fait précis, il faut se rappeler que les équations de Woldemar Voigt dont s'est servi Lorentz comportaient deux constantes ayant un effet cumulatif sur la fréquence et sur la contraction. D'ailleurs, toutes les deux figurent toujours dans les équations présentées par Henri Poincaré en 1901. Il est donc possible de les modifier et de noter les changements. C'est ainsi qu'on trouve que la constante de Voigt "l" doit être égale à l'autre, c'est à dire le facteur g, pour que la fréquence ne soit pas modifiée. Or elle doit être égale à 1 pour que la fréquence ralentisse selon le facteur g. C'est pourquoi Lorentz a pu éliminer la constante de Voigt "l" de ses équations définitives de 1904.

En deuxième lieu, le rapport des longueurs d'onde vers l'avant et vers l'arrière "R" permet de déterminer la vitesse de déplacement des ondes stationnaires Ivanov. On trouve que cette vitesse correspond à la vitesse alpha déjà décrite à la page sur le Big Bang Relativiste, mais dans un contexte totalement différent. Pour éviter tout malentendu, j'ai dû redéfinir cette vitesse alpha (identifiée par la lettre grecque alpha) pour qu'elle s'applique désormais strictement à la vitesse de déplacement des ondes stationnaires Ivanov:

R = lambda arrière / lambda avant

alpha = (R 1) / (R + 1)

alpha = (lambda arrière    lambda avant) / (lambda arrière  lambda avant)

Un transfert d'énergie.

Le tableau ci-dessus montre qu'on peut obtenir la vitesse alpha de deux manières. C'est évident puisqu'on peut normaliser la longueur d'onde la plus courte à la valeur nominale de 1, R correspondant alors à la longueur de l'autre onde. Il n'empêche que la deuxième formule donne en réalité la vitesse de déplacement de l'énergie.

J'ai mentionné souvent sur ce site qu'on a tort de penser que les ondes stationnaires comportent des ondes circulant en sens opposé. Ça fonctionne d'un point de vue mathématique, mais il faut réaliser que chaque nœud constitue en fait un barrage infranchissable puisque l'énergie à cet endroit est toujours nulle. Il faut en conclure que les ondes sont en fait réfléchies sur le premier nœud rencontré et que leur énergie rebrousse chemin. Toutefois, et c'est le point intéressant, les ondes plus courtes transportent plus d'énergie. Le déplacement des nœuds a pour effet de déplacer progressivement l'énergie que le ventre intermédiaire contient. D'ailleurs, M. Ivanov mentionne ce fait sur son site de puis longtemps.

La matière se contracte selon le facteur de Lorentz.

Non seulement la longueur d'onde des ondes stationnaires Ivanov correspond à la moyenne géométrique des longueurs d'onde avant et arrière, mais elle est affectée par le facteur de contraction de Lorentz. Je tiens à répéter que ce comportement s'applique à toutes les ondes, même celles qui transmettent le son. La formule mentionnée un peu plus loin est donc de rigueur en acoustique également.

Il faut aussi faire remarquer que le calcul de Michelson était basé en réalité sur ce phénomène, même si ce dernier a plutôt évalué la différence de vitesse apparente des ondes sur deux axes orthogonaux. Il est clair en effet que son interféromètre provoque la formation d'ondes stationnaires Ivanov sur l'axe du déplacement. Par ailleurs, ce que Poincaré appelait "l'aberration" correspond bien au facteur de contraction de Lorentz qui est en cause ici. Je suis d'avis que Poincaré s'est montré particulièrement injuste en accusant Lorentz d'avoir procédé par étapes en parlant d'abord du "carré de l'aberration" en 1895 pour se raviser ensuite et trouver finalement que la matière se contracte moins qu'il ne l'avait d'abord pensé, soit seulement selon cette aberration et non pas son carré. Dans "Électricité et Optique" (1901), il a écrit:

"Faudra-t-il un nouveau coup de pouce, une hypothèse nouvelle, à chaque approximation? Évidemment non: une théorie bien faite devrait permettre de démontrer le principe d'un seul coup dans toute sa rigueur. La théorie de Lorentz ne le fait pas encore. De toutes celles qui ont été proposées, c'est elle qui est le plus près de le faire. On peut donc espérer de la rendre parfaitement satisfaisante sous ce rapport sans la modifier trop profondément."

Ce texte nous indique que, sans en être vraiment conscient, Lorentz avait déjà mis au point les principes fondamentaux de la Relativité en 1901, donc bien avant la publication de son mémoire de 1904. J'affirme depuis longtemps que la théorie de Lorentz est exacte en tous points, mais que personne ne s'est donné la peine de la vérifier avec soin. Je suis d'ailleurs le seul à la développer strictement selon les directives de Lorentz. Poincaré a écrit "La théorie de Lorentz ne le fait pas encore" sans même l'avoir vérifiée attentivement. Il s'agit d'une erreur impardonnable car il connaissait très bien le phénomène du "temps local" pour avoir lui-même œuvré à la Commission des Longitudes. En effet, tous ses textes où il est question de ce temps local, même après 1905, ne tiennent jamais compte de la contraction des distances selon "l'aberration". Or nous le savons maintenant, les ondes stationnaires Ivanov se contractent selon le facteur de contraction de Lorentz. Voilà une preuve de plus que la matière se contracte de la même manière, pour la simple et bonne raison qu'elle est faite d'ondes:

 lambda' = g * racine(lambda_avant * lambda_arrière).

Le facteur de contraction de cette troisième équation correspond à la vitesse alpha déjà obtenue plus haut: g = racine(1 alpha2). Il s'agit donc du facteur g alpha. Je m'excuse de devoir utiliser cette formulation empruntée au langage de programmation Basic car il arrive que les caractères grecs ne soient pas affichés correctement sur l'Internet pour diverses raisons. Il vaut donc mieux les éviter dans le texte. Mais puisque les images s'affichent sans problème, ces trois formules sont rassemblées d'une manière plus correcte dans le tableau ci-dessous.

Je me propose de démontrer que si un grand nombre d'observateurs A, B, C, etc. sont disposés selon une "suite alpha", il est possible de modifier leur vitesse à volonté à l'intérieur de cette suite sans qu'ils ne constatent de changement dans leur situation. En particulier, à cause de leur contraction individuelle, ils mesurent la longueur d'onde des ondes stationnaires Ivanov selon une constante tout à fait remarquable. C'est ce que les transformations de Lorentz nous indiquaient, mais il se présente dans le cas présent un niveau de difficulté additionnel à cause de l'expansion du système. Bien évidemment, le tout doit particulièrement s'appliquer à l'expansion de l'univers suite à un hypothétique "Big Bang". Ce phénomène est néanmoins vérifiable dès à présent en mettant par exemple en scène trois stations spatiales s'éloignant ou se rapprochant l'une de l'autre à une vitesse suffisante pour que la distorsion apparaisse.

Par convention, la vitesse alpha (normalisée selon c = 1 tout comme la vitesse bêta) est positive vers la droite et négative vers la gauche. Lambda_f est la longueur des ondes circulant vers la droite sur l'axe x et lambda_b représente donc la longueur de celles circulant vers la gauche sur le même axe.

Ce qu'il faut comprendre, c'est que si la longueur des ondes qui circulent en sens opposé diffère, la longueur d'onde des ondes stationnaires Ivanov qui en résultent se contracte. Elle correspond à la moyenne géométrique des deux longueurs d'onde, mais il faut ajouter une correction correspondant au  facteur de contraction de Lorentz "g". Le point important, c'est que cette formule s'applique à toutes les ondes sans exception, pour peu que le médium soit non dispersif, ce qui est le cas de l'air. Elle s'applique donc aussi bien au son qui se propage dans l'air qu'à la lumière ou aux ondes radio.

Par contre, le dispositif utilisé par M. Ivanov en présence d'un vent fort se déplaçait comparativement à l'air et il mettait en évidence le fait que, si la fréquence demeure invariable, les ondes stationnaires obtenues se contractent selon le carré du facteur de Lorentz g (le carré de l'aberration dont parle Poincaré) comparativement à la longueur d'onde obtenue en l'absence de vent. Elles se contractent selon le facteur g (et non pas son carré) transversalement:

Sur l'axe du déplacement x :  lambda' = g2 * lambda

Sur les axe orthogonaux y et z :  lambda' = g * lambda

Il faut donc souligner que les effets diffèrent finalement dans le cas de la lumière et des ondes radio. Sur l'axe du déplacement, la contraction correspond au facteur de Lorentz simple et non pas à son carré. Tout émetteur de lumière ou d'ondes radio présente en effet le ralentissement de la fréquence découvert par Lorentz, qu'on a malheureusement interprété depuis comme un "ralentissement du temps". Si donc on reproduit le dispositif de M. Ivanov à l'aide de deux antennes radio en mouvement placées sur l'axe du déplacement x et alimentées à la même source, on obtiendra une contraction moins sévère sur l'axe x et une invariance de la longueur d'onde sur les axes orthogonaux y et z:

f ' = g * f

Sur l'axe du déplacement x :  lambda' = g * lambda

Sur les axe orthogonaux y et z :  lambda' = lambda

Il faut le répéter : la fréquence de l'électron et donc celle des ondes qui véhiculent toutes les forces ralentit avec la vitesse selon le facteur de Lorentz g. Il en résulte un effet Doppler très particulier qui correspond aux transformations de Lorentz et qui justifie la Relativité. À l'été 1990, M. Ivanov avait conduit des tests au moyen de générateurs d'onde alimentés à la même source et dont la fréquence était invariable, de sorte qu'il n'avait pas tenu compte de ce ralentissement de la fréquence. Il avait aussi présenté auparavant les "transformations d'Ivanov" correspondantes, toujours sans le ralentissement de la fréquence. Elles correspondent au calcul de Michelson et elles sont donc erronées, de sorte que la contraction de la matière qu'il proposait était également erronée. Lorentz avait pourtant montré que, pour que la Relativité se vérifie, il ne doit pas se produire de contraction sur les axes orthogonaux: x' = x; y' = y.

Ne vous y trompez pas, c'est toute la physique qu'il faudra revoir en tenant compte de ce phénomène, qui explique en premier lieu les transformations de Lorentz et la Relativité. Mais il explique surtout le comportement des champs de force, qui sont responsables à leur tour de la mécanique de la matière. Les champs de force sont en effet les moteurs de cette mécanique, et il se trouve qu'ils sont eux-mêmes faits d'ondes stationnaires dites "Ivanov". En particulier, ils se déplacent forcément à la vitesse alpha indiquée dans le tableau ci-dessus. C'est pourquoi ils rayonnent leur énergie en parts égales et en sens opposé de manière à justifier l'égalité entre l'action et la réaction selon Newton peu importe la vitesse individuelle absolue de deux corps matériels en interaction.

L'une des applications les plus évidentes de ce principe concerne le champ électrostatique, qui se déplace à la vitesse alpha et donc à la vitesse moyenne des deux électrons qui créent ce champ. De son point de vue, les deux électrons semblent s'éloigner ou se rapprocher exactement à la même vitesse. Non seulement leur transformation semble la même, mais elle l'est véritablement en ce qui concerne les effets. En vertu des transformations alpha, on peut considérer qu'on est en présence d'un champ de force parfaitement au repos comparativement au médium éther et donc exempt d'effet Doppler, ce qui permet de justifier l'égalité de l'action et de la réaction électrostatique malgré la présence d'un effet Doppler bien réel.

Le 22 juillet 2010.

Cette section a été transférée le 22 juillet 2010 dans une nouvelle page :  Le Big Bang Relativiste. Vous y retrouverez ce que vous avez peut-être déjà lu ici, et plus encore. Je profite de cette occasion pour montrer ici comment évolue l'effet Doppler dit "relativiste". Les transformations de Lorentz doivent s'appliquer à l'effet Doppler des galaxies éloignées en plus du "redshift" normal, qui est donné par 1 + bêta. On a donc plutôt: lambda' = lambda * (1 + bêta) / g. En particulier, on remarque que la longueur d'onde transversale ne varie jamais. De plus, ces galaxies doivent se contracter dans la même mesure que les petites ellipses blanches.

   

   

Le 25 mars 2010.

Récemment, Sony mettait sur le marché une nouvelle caméra vidéo capable de capter des images 3-D à l'aide d'une seule lentille, et qu'on pourra visionner sur de nouveaux récepteurs HDTV 3-D dès cette année. Or je parlais de cette possibilité en 2001 dans mon ouvrage "Optique des miroirs" (section 2, modèle 30). Il s'agit de séparer la pupille d'entrée en deux moitiés, ce qui produit la parallaxe nécessaire. Dans le cas d'un miroir de téléobjectif, dont le diamètre atteint souvent 30 centimètres, on peut obtenir un effet de relief saisissant même à plus d'un kilomètre. Vous pouvez d'ailleurs vérifier vous-mêmes ce phénomène si vous connaissez quelqu'un qui possède un Schmidt-Cassegrain muni d'un binoculaire. Il s'agit de choisir les oculaires dont la focale est la plus longue possible et d'ajuster leur écart de manière à ce que la pupille de vos yeux se situe vis-à-vis les parties gauche et droite de la pupille de sortie. Je pense par contre que cette idée n'est pas la meilleure si la caméra est munie d'une seule lentille ordinaire. La distance inter-pupillaire normale n'étant pas respectée, on obtient un effet de relief limité et les choses se compliquent avec une lentille grand-angle. On obtient certainement de meilleurs résultats avec deux lentilles distinctes, et j'ai d'ailleurs construit moi-même plusieurs caméras 3-D à deux lentilles et des stéréoscopes à partir de l'âge de 16 ans. Je suis très fier de mes photographies en relief réalisées en diapositives 6x6 cm car elles témoignent de mes talents de bricoleur et d'inventeur.

Si j'en parle, c'est que je viens maintenant d'apprendre que la société japonaise Sharp met sur le marché un téléviseur équipé de pixels à quatre couleurs nommé "quattron" ou encore "quad pixel". Or cette approche figurait déjà dans mon ouvrage "Optique des miroirs". De plus, le présent site comporte une page sur "La norme à quatre couleurs" où j'explique en détails comment on peut améliorer sensiblement le rendu des couleurs en choisissant les quatre couleurs de la norme L*a*b, qui sont complémentaires deux par deux. Cela permet également de réduire significativement la taille des fichiers jpeg et mpeg. Si vous êtes un habitué du programme "Photoshop", vous aurez remarqué qu'il offre la possibilité de travailler en mode "Lab color", mis au point pour venir à bout des couleurs dites "non imprimables". Je tiens à souligner que certains éléments dans l'approche que je propose sont nouveaux. Idéalement, il faudra donc aussi fabriquer des caméras compatibles avec ce procédé, ce qui risque de prendre du temps puisque la codification requise n'est pas supportée par les écrans HDTV actuels.

Comme je l'ai mentionné souvent, j'ai mis au point des tas d'inventions de ce genre tout au cours de ma vie, mais je n'avais pas les moyens de demander un brevet pour chacune. En effet, même un seul brevet est extrêmement coûteux à finaliser. Je le répète ici : le coût d'un brevet d'invention constitue une taxe sur l'imagination. En agissant ainsi, on pénalise les chercheurs au lieu de les encourager.

Ces deux exemples démontrent que mes idées sont raisonnables et qu'elles fonctionnent. Je peux maintenant faire valoir qu'elles ne sont pas aussi farfelues que certains le prétendent. Il est vrai qu'elles sont parfois étonnantes, mais puisqu'elles s'avèrent justes, on devrait y porter un peu plus d'attention.

Je me permets donc d'insister sur le fait que j'ai inventé un Scanner du Temps qui permet de reproduire les transformations de Lorentz d'une manière bien plus efficace que les célèbres équations de Lorentz. J'ai aussi remis à neuf un ancien programme qui démontre que le véritable but des transformations de Lorentz était de produire ou de corriger un effet Doppler particulier caractérisé par un ralentissement de la fréquence. Voici ce programme FreeBASIC:

The_Lorentz_Transformations.bas

Ce programme montre que j'utilise bel et bien les équations de Lorentz pour produire ces effets, mais que Lorentz (et surtout Henri Poincaré) ont mal compris les véritables enjeux. En particulier, ils n'auraient pas dû appliquer ces transformations aux équations de Maxwell car elles s'appliquent en réalité à des ondes ordinaires et pas seulement aux champs électromagnétiques. C'est pourquoi il faut considérer la longueur des ondes et leur période, et non pas l'espace et le temps. Il est étrange en effet que la plupart des textes de cette époque traitant de la Relativité ne mentionnent jamais qu'il est question de l'effet Doppler, alors que c'était précisément le but des transformations de Voigt. Voici un programme un peu plus élaboré qui montre que les transformations de Voigt permettent de modifier la fréquence à volonté à cause de la présence de la constante de Voigt:

WaveMechanics06.bas

Le point important à retenir, c'est que la matière présente des propriétés ondulatoires, ce qui signifie que la matière elle-même est soumise aux transformations de Lorentz, et donc à l'effet Doppler. C'est ce qui permet d'expliquer non seulement la Relativité, mais aussi toute la mécanique de la matière, en particulier les lois de Newton.

Le 5 février 2010.

Le 25 novembre 2009, j'écrivais: "Dans le cadre de ces recherches, le recours à une vitesse de référence dite alpha semble très prometteur." Je ne m'étais pas trompé. J'avais montré que la vitesse alpha permet de mieux expliquer certains paradoxes de la Relativité comme celui des jumeaux ou celui du train et du tunnel. Elle permet également de montrer que les transformations de Lorentz n'impliquent pas nécessairement une transformation de l'espace ou du temps. Il est très possible en effet de conserver les mêmes mesures d'espace et de temps en passant d'un référentiel inertiel à un autre. Les images montrées le 15 janvier 2010 (ci-dessous) et le 25 novembre 2009 en sont des preuves indiscutables, et il y en aura d'autres. 

Or je viens de réaliser des vidéos qui montrent que les ondes stationnaires qui constituent les champs de force se déplacent aussi à la vitesse alpha si la vitesse des particules qui leur donnent naissance n'est pas la même. Maintenant que la Relativité s'explique et qu'elle peut enfin être reconnue comme une loi de la nature, il faut la dépasser et s'employer à mieux comprendre la mécanique de la matière dans ce qu'elle a de plus fondamental. Puisque la matière est faite d'ondes, il s'agit d'un pas en avant significatif dans le domaine de la mécanique ondulatoire pressentie par Louis de Broglie, plus précisément l'optique et la mécanique du mouvement.

Pour ceux qui prendront la peine de bien examiner ces phénomènes, tout deviendra plus clair. Peu importe la vitesse d'un référentiel inertiel à travers un éther redevenu parfaitement légitime, la matière qui s'y trouve n'en est aucunement affectée et tout s'y passe comme si ce référentiel était au repos. C'est en effet la conclusion à laquelle en était arrivé Henri Poincaré dès 1904:

"Les lois des phénomènes physiques sont les mêmes pour un observateur fixe et pour un observateur entraîné dans un mouvement de translation uniforme, de sorte que nous n'avons et ne pouvons avoir aucun moyen de discerner si nous sommes, oui ou non, emportés dans un pareil mouvement."

Voici donc une vidéo qui démontre que les ondes stationnaires qui constituent tous les champs de force se déplacent à la vitesse intermédiaire alpha.

Alpha_Field_of_Force.5c.mkv

Le programme FreeBASIC : Alpha_Field_of_Force.5c.bas

On voit dans l'encadré central que les ventres et les nœuds, même s'ils se déplacent à la vitesse alpha, continuent d'affecter la structure typique des ondes stationnaires. Ils ne sont plus "stationnaires" d'un point de vue absolu, c'est à dire comparativement à l'éther qui transmet les ondes, mais ils sont pourtant stationnaires du point de vue d'un observateur Alpha.

D'une part, puisque les nœuds représentent les endroits où l'énergie est constamment nulle, il faut en conclure que l'énergie que ces ondes contiennent se déplace à la vitesse alpha. D'autre part, les ventres de ces ondes stationnaires sembleront contenir la même énergie que s'ils étaient au repos comparativement à l'éther.

Le générateur d'ondes qui se déplace produit un effet Doppler conforme aux transformations de Lorentz. Cela signifie que sa fréquence diminue avec sa vitesse selon le facteur g de Lorentz. Il en résulte une symétrie dans la fréquence des ondes émises vers l'avant et vers l'arrière. Nous avons dans cet exemple:

Vitesse de l'électron mobile : bêta = 0,5 = v / c

Facteur de contraction : g = 0,8660254 = racine(1 bêta) ^ 2

Vitesse alpha = 0,267949 = (1 g) / bêta

Les ondes émises vers l'avant sont contractées selon :  0,57735 = (1 bêta) / g

Les ondes émises vers l'arrière sont allongées selon :  1,73205 = (1 + bêta) / g

Comparativement à l'électron au repos, le rapport R des longueurs d'onde est donc le même peu importe qu'on se réfère aux ondes émises vers l'avant ou vers l'arrière:

R = 1,73205 = 1 / 0,57735

R = 1,73205 = 1,73205 / 1

Ce rapport R des longueurs d'onde permet de déterminer la vitesse alpha par un autre chemin:

alpha = (R 1) / (R + 1) = 0,267949

C'est à cause de cette symétrie qu'un observateur mobile est incapable de déterminer sa vitesse absolue comparativement à l'éther. Cent ans avant ma naissance, Christian Doppler lui-même avait découvert qu'on n'enregistre un effet Doppler que s'il existe une différence de vitesse entre l'émetteur et le récepteur. Dans le cas du son, on peut quand même déterminer la vitesse de l'air en observant la contraction des ondes stationnaires, qui se fait selon le facteur g au carré, ou en comparant la longueur d'onde avant et arrière, qui  s'effectue selon 1 bêta et 1 + bêta et n'est donc pas symétrique. Mais dans le cas de la lumière ou des ondes radio, cette comparaison n'est plus possible. À cause du ralentissement de la fréquence, les ondes stationnaires se contractent selon le facteur g et non pas son carré, alors que nos instruments et en particulier les interféromètres se contractent eux aussi selon le même facteur. Comme ce fut le cas avec l'interféromètre de Michelson, le résultat est toujours nul.

Par contre, puisque la fréquence de l'électron au repos est invariable, les ondes stationnaires du champ de force se contractent d'une manière particulière:

Contraction du champ de force = 0,73205 = 1 alpha

Il faut admirer ici la magnificence et l'harmonie des transformations de Lorentz. Du point de vue de l'observateur Alpha, cette contraction correspond tout simplement à l'effet Doppler des ondes provenant de deux électrons qui s'approchent tous les deux à la vitesse alpha. En effet, il est lui-même contracté selon le facteur g et selon lui, la vitesse relative de ces deux électrons correspond à bêta, soit la moitié de la vitesse de la lumière. On a ici alpha = 0,267949 avec un facteur g égal à: 0,963433

Contraction des ondes de l'électron vers l'avant = 0,759836 = (1 alpha) / g

Mais il faut compenser la contraction subie par l'observateur Alpha : g * (1 alpha) / g = 0,73205 = 1 alpha

   

Voici une transposition du même phénomène pour une vitesse bêta supérieure, soit 0,707 c.

Alpha_Field_of_Force.7c.mkv

Le programme FreeBASIC : Alpha_Field_of_Force.7c.bas

   

La conséquence la plus remarquable de ce phénomène, c'est que deux électrons continuent de se comporter comme des électrons et non périodiquement comme des positrons malgré le fait que leur fréquence ralentisse selon leur vitesse. Du point de vue du champ électrostatique, qui se déplace à la vitesse alpha et qui est formé par les ondes que ces deux électrons émettent, ces derniers se déplacent en effet à la même vitesse mais en sens opposé. Ils conservent donc la même phase. C'est la même chose s'il s'agit d'un électron et d'un positron ou d'un proton, et la différence vient du fait qu'il existe une demi-longueur d'onde de décalage dans les ondes stationnaires du champ de force. Les ventres et les nœuds s'en trouvent décentrés. Dans ce cas, les ondes que le champ de force émet leur parviennent constamment en opposition de phase malgré leur mouvement, de sorte que ces particules s'attirent au lieu de se repousser.

Étonnamment, les forces électrostatiques continuent de fonctionner normalement peu importe la direction ou la vitesse des particules impliquées. C'est la même chose pour les autres champs de force comme ceux qui sont responsables de la gravité, des champs magnétiques, etc. En bref, c'est uniquement la vitesse relative qui importe, et jamais la vitesse absolue. Dans le cas des champs gluoniques, les électrons ou les positrons concernés s'enclenchent l'un dans l'autre selon une longueur d'onde précise. Alors la vitesse de tous les éléments est la même. Les ondes stationnaires qui en résultent se comportent donc exactement de la même manière que mon électron mobile, avec la même contraction en abscisses et le même ralentissement de fréquence prévus par Lorentz, et la même onde de phase prévue par de Broglie.

Sous réserve qu'il faudra désormais tenir compte de la vitesse alpha et des transformations de Lorentz, tout cela est remarquablement en accord avec les lois de Newton, qui peuvent et doivent être rétablies. Cela rejoint aussi la conclusion à laquelle en étaient arrivés les scientifiques du 19ième siècle, qui n'était pas si bêtes :

« L'éther ne s'oppose pas au mouvement. »

   

Le 15 janvier 2010.

Je rappelle que j'ai découvert l'an passé une vitesse intermédiaire Alpha qui permet de lever le paradoxe des jumeaux et le paradoxe du train et du tunnel. Si elle est appliquée à mon Scanner du Temps, comme le montre l'animation ci-dessous, il devient possible d'observer plus facilement comment les transformations de Lorentz opèrent. Cette animation prouve d'une manière indiscutable qu'il s'agit purement et simplement d'un effet Doppler.

   

Voici une vidéo qui montre ce phénomène avec plus de précision :  Time_Scanner_Doppler.mkv

Vous pouvez aussi examiner le programme FreeBASIC qui a produit ces images : Time_Scanner_Doppler.bas

Les transformations de Lorentz avaient pour but d'annuler l'effet Doppler qui se produit dans un référentiel en mouvement.

C'est exactement ce que mon Scanner du Temps permet de réaliser, mais d'une manière bien plus efficace.

C'est d'autant plus évident que l'effet Doppler a été obtenu grâce aux équations de Lorentz, que j'ai inversées de la manière suivante:

Si vous extrayez la variable x de la première équation ci-dessus, vous obtiendrez la forme originale des équations de Lorentz:

x = (x' bêta * t) / racine(1 bêta ^ 2)

Les transformations de Lorentz dans leur forme originale.

Il faut souligner que les variables x et t correspondaient au référentiel en mouvement.

Le but de Voigt en forgeant ces équations était de rendre les équations de Maxwell invariantes malgré l'effet Doppler.

   

D'une part, Lorentz aurait dû faire en sorte que les variables x et t s'appliquent au référentiel au repos comparativement à l'éther, qui est de toute évidence le référentiel privilégié. Mais il a préféré conserver la forme établie en 1887 par Woldemar Voigt. On sait que les équations de Voigt avaient pour but d'annuler l'effet Doppler et qu'elles permettaient donc de rendre les équations de Maxwell invariantes. Cette négligence a fait en sorte que ses équations sont demeurées incompréhensibles depuis. D'autre part, on obtient t au lieu de t' dans la première équation et x au lieu de x' dans la deuxième. Les équations de Lorentz conduisent ainsi à une transformation surprenante de l'espace et du temps, que Lorentz lui-même considérait comme un artifice mathématique et non pas comme une réalité matérielle. Avec le recul, on se rend compte qu'en réalité, les grandeurs x et x' représentent la longueur d'onde alors que t et t' représentent la période des ondes.

Pour obtenir le noyau central de trois quarts d'onde typique qui correspond à celui d'un émetteur d'ondes circulaires, donc en deux dimensions, il faut quand même recourir à un générateur d'ondes dont le diamètre fait une demi-onde seulement. La distribution de l'énergie doit être sinusoïdale. Si vous examinez soigneusement le code source de ce programme, vous constaterez que c'est uniquement grâce à mes équations inversées que j'ai pu obtenir tous les effets suivant:

1 La contraction du générateur d'ondes sur l'axe du déplacement selon : g * x.

2 Le déplacement du générateur d'ondes, le mouvement de translation s'effectuant selon : + bêta * t.

3 Des pulsations qui tiennent compte d'un ralentissement de la fréquence d'émission selon : g * t.

4 L'augmentation de l'amplitude des ondes émises vers l'avant, qui s'obtient grâce aux "heures locales" de Lorentz : bêta * x.

Très clairement, il s'agit donc bien des équations que je propose :

x' = g * x + bêta * t

t' = g * t bêta * x

Mes équations inversées sont bien plus logiques et faciles à gérer que celles de Lorentz. L'effet Doppler que montre ce programme est pour ainsi dire "parfait". Si on l'annule avec le Scanner du Temps, on obtient des ondes sans effet Doppler tout aussi parfaites dont les mesures telles que vues par un observateur Alpha demeurent absolues. L'échelle des longueurs d'onde demeure en effet la même avant et après la transformation.

Mais d'un autre côté, si les ondes ne présentent pas d'effet Doppler, le Scanner du Temps et donc les transformations de Lorentz ont pour effet de leur imprimer un effet Doppler. On pourrait tout aussi bien balayer la scène dans l'autre sens puisque le fait d'inverser le balayage et donc les équations produit l'effet inverse. On retrouve donc ici la même réciprocité que Poincaré avait mise en évidence grâce à ses célèbres équations symétriques. Le problème, c'est que Poincaré n'a pas voulu admettre que la matière se contracte vraiment. Pire encore, il pensait que les phénomènes optiques sont relatifs, ce qui ne correspond en réalité qu'aux apparences et non pas aux faits absolus.

Il est bien vrai qu'une longueur d'onde et une période d'onde permettent d'attribuer une grandeur arbitraire mais utile à l'espace et au temps. Mais si on y réfléchit bien, on admettra pourtant qu'il ne s'agit pas de l'espace ni du temps en soi. Il s'agit uniquement de mesures, et rien de plus.

Pourquoi alors recourir à une prétendue transformation de l'espace et du temps aussi absurde qu'inutile ? Ces résultats donnent encore une fois raison à Lorentz, et ils donnent tort à Poincaré et à Einstein. Ce ne sont pas des idées farfelues que je lance à tout vent, ce sont des preuves remarquablement solides que Lorentz avait raison d'invoquer une contraction de la matière et un ralentissement des horloges. L'idée maîtresse à retenir, c'est que la matière présente des propriétés ondulatoires. C'est une chose que Lorentz ignorait, mais que tous les physiciens savent maintenant. Contre toute attente, nous devons donc réaliser que même la matière est sujette à l'effet Doppler et qu'elle est donc sujette aux transformations de Lorentz. 

Moi, je suis peut-être un inconnu sans la moindre crédibilité, mais Lorentz fut un grand physicien, récipiendaire d'un prix Nobel de surcroît. Il serait plus que temps qu'on réexamine sa vision de la Relativité, car cela n'a jamais été fait de manière méthodique.

Tout concorde. J'affirme qu'en 1904, donc un an avant Einstein, Lorentz avait parfaitement raison. Malheureusement, par la suite, il s'est heurté à l'incompréhension générale de ses contemporains. Devant le succès phénoménal d'Einstein, qui n'a fait que copier les idées de Poincaré et donc aussi ses erreurs, Lorentz a finalement renoncé à son hypothèse initiale. C'est absolument navrant...

Gabriel La Frenière

   

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par Gabriel LaFrenière.  Courrier électronique : veuillez consulter cet avis.